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Anonyme
27/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Y en a une qui a dû lire Hugo!
De très beaux alexandrins qui ne ménagent pas leurs effets de violence... De la belle ouvrage! |
FredericBruls
27/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh bien, mazette, cela ne manque pas de souffle ! Le style épique, le ton d'orgue par instants, font en effet penser à Hugoth le barbare !
Lecture réjouissante, assurément. Du romantisme flamboyant. |
Anonyme
27/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un nouveau chapitre à la Légende des Siècles... Même le père Hugo n'aurait rien trouvé à redire ! Un vrai régal pour qui aime cette forme un peu désuète de la poésie française, et bien sûr, j'en suis ! Merci ma fée... Un détail que je n'ai pas approfondi, c'est "déchiquettent". Je pencherais naturellement pour déchiquètent, à moins que les deux versions soient correctes...
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David
27/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour TITEFEE,
Au chapitre 3 il y a la rime terre/colère et au chapitre 4 terre/cratère, je dirais que le sont de terre est un é, à cause des consonnes doublées, et la rime se trouve apauvris é/è, mais c'est moins évident juste à l'oreille. Ces chapitres semblent apartenir à plusieurs histoires, à moins d'imaginer des malheureux qui, après avoir survécu à une razzia, ont embarqué sur un navire qui fit naufrage, avant d'échouer sur une île, où une éruption volcanique viendra encore les pourchasser ! L'enchaînement serait venu plus facilement si le premier chapitre avait relater le pillage d'un navire par des pirates par exemple, pourquoi ont ils dû embarquer sinon alors qu'ils venaient de connaître une ruine... Le cratère qui s'ouvre à la fin, "l'enfer de Dante", est vraiment bien trouvée, le naufrage se finira dans une mer de feu... |
xuanvincent
27/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Quel souffle !
Le sujet de ce long poème (au point de pouvoir être divisé en chapitres) est bien terrible... et en même temps je l'ai trouvé très beau, fort bien dit, comme sait le faire Titefee. Les premiers paragraphes m'ont tout particulièrement parlé, car ils m'ont rappelé des paroles entendues. |
Marite
30/3/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Epopée magnifiquement écrite. Les images jaillissent à chaque strophe avec force et réalisme.
Récit fantastique ? Depuis la nuit des temps des évènements semblables se répètent régulièrement. Cela commencent par les hommes et se termine par la nature qui fait un grand « nettoyage »… Sommes-nous réellement à l’abri ? Merci Titefee pour ce rappel à nos mémoires collectives. |
colibam
23/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Dans le premier chapitre, on survole des paysages post-apocalyptiques.
Puis, au fil du flux et reflux, le ton s'apaise, l'aube se lève, la lumière diffuse son haleine douce et la nature couvre les plaies ouvertes par les hommes. De belles envolées lyriques sur les sombres paysages d'un autre temps. |
Anonyme
12/6/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Quel souffle ... !
Quel poème surtout, l'intrigue est parfaite, le vocabulaire ingénieux, et puis quel plaisir à le lire, c'est aussi sa la poésie ... Ca m'a plus, j'ai aimé, j'ai beaucoup plu, j'ai ... Oui bon j'ai aimé =P Je m'en veux de ce pas lire les prochains chapitres qui n'attendent que mon impatience ... |
Anonyme
23/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour TITEFEE. Quel déchaînement et quel rythme ! Juste le début de la phrase "L'air était embaumé..." m'a interpellée...
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Damy
11/4/2010
a aimé ce texte
Passionnément
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Poème engagé magistral évoquant le drame des boat people, dans une prosodie parfaite, selon moi,avec beaucoup de rimes riches, doué d' un vocabulaire simple, accessible au plus grand nombre et des mots, des images parlant à l’émotion profonde (difficile de retenir ses larmes ou sa colère). Bref une grande maîtrise du clacissisme poétique (merci) au service d'une cause noble moderne: LA CLASSE...
Tremble hélas la terre d’asile, où se crache la violence éruptive des volcans inhospitaliers (camps de Sangate, Calais...) loin des petits crabes roux (petits, roux mais crabes tout de même - les passeurs peut-être…). Violence mortelle quand ils (les boat people) ont échappé aux massacres (à coups de machettes ou à coups d'épées....) de la terre originelle Est-ce que je me trompe? Quelques remarques de forme (je suis un peu perfectionniste parce que j’aime qu’on le soit envers moi) : « Mais qu’en le rabaissant on se croit un guerrier » : à quoi se rapporte « le » ? « mettront le vin en perce » : perce ? est-ce la définition suivante : La perce est la forme intérieure du tuyau d'un instrument à vent? Je n’ai pas très bien saisi. « Dans le jour qui pointe vont se compter les morts » : un peu dommage le e à l’hémistiche… « …évoquant leur mère » : ne faut-il pas le pluriel – leurs mères ? A moins que le mot soit générique pour désigner « la patrie » ? C’est, jusqu’ici, mon poème classique préféré que je reviendrai lire avec…plaisir !? |
Anonyme
31/5/2013
a aimé ce texte
Bien
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Tout bien mais la fin est un peu en queue de poisson je trouve... C est quoi ? la fin du monde ? Le premier chapitre est plein d' émotion... Ca reste celui que je préfère... Pour le reste la découverte vaut le coup d' œil : ) en bref, pas mal du tout. C est tout ce que j ai a dire.
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