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strega
20/5/2008
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Je suis incapable de commenter, encore moins de noter....
Mais je voulais laisser une trace de ma lecture.... Une oeil compatissant, et pas complaisant... |
clementine
20/5/2008
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Les couleurs de la vie s'atténuent avec le temps. C'est sans doute lorsque tout est devenu neutre, uniforme qu'il est l'heure de partir.
Comme Strega, je ne peux ni noter ni réellement commenter ce texte trop empreint de réalité. Juste lire et compatir. Amicalement .Clem. |
aldenor
20/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Le premier vers est une merveille.
“Pour admirer ton village natal” : “pour” me dérange, je ne vois pas le lien de causalité avec le soleil qui disparaît et « natal » est peut-être de trop. Je trouve un peu lourd “Nos souvenirs sont communs”, mais le reste de la strophe est très harmonieux. « témoignais » devait être au pluriel, non ? La fin est belle mais les deux « que » me heurtent un peu. Un poème émouvant. |
David
21/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour TITEFEE,
Les deux vers qui finissent le poême m'ont beaucoup plu, ces "voix aventureuses" m'évoquent des choses trés positives, les anciens à la conscience un peu perdue retrouvent ils les rêves d'enfance ? pas pour pueril mais pour libre bien sùr, j'ai beaucoup aimé. |
Parmerion
21/5/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Monotone, lent et beau. Ton poeme m'a fait l'effet d'un film de Wong Kar-Wai ^^
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marogne
23/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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ouf! j'en ai la bouche sèche. Emouvant et juste. Une petite larme même....
La forme, je la trouve aller à l'amble du thème, des émotions, le choix des mots apporte un je ne sais quoi de nonchalance qui renforce encore le message qu'ils portent. Bravo, et merci pour tant de sincérité. |
nico84
23/5/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je repense à ce tout ce que tu m'as déjà dit sur le sujet. Sur la douleur, le pardon et l'amour et je t'admire pour ce que tu fais malgré les anciens événements.
Bravo, madame. Je te mets un 14. 10 pour la forme et 18 pour le fond ! |
arjounimed
1/6/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Je sens qu'il y a envie de poétiser...mais la forme enchaîne... libérez-vous ce serait mieux et laissez-vous mener par Pégase au gré des vents métaphoriques... ses ailes ne supportent pas le poids de la mesure et des rimes "incrustées" de force parfois!...
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