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BlaseSaintLuc
22/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Superbe, description fascinante de l'hésitation d'un moment, je kiff à fond, l'auteur n'as pas eu peur, il nous as tout dit, tout décrit, nous étions à la table d'à coté, je dis nous, car je ne doute pas, que tous ceux qui vont lire, prendrons leurs café prés du comptoir pour ne pas en perdre une miette.
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papipoete
27/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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chanson et slam
il aime voir les filles qui passent, signes du Printemps avec tenues légères et cheveux au vent ... L'une lui sourit, comme une invitation à la rêverie et ils se frôlent, échangent des mots ; lui la voit en son coeur, pour lui au milieu d'un bonheur inventé, mais cela ne dure que le temps d'un café vite consommé à l'image de la vision de la Belle, qui s'évapore ... On est très loin de " Weinstein ", celui qui ne voit que draps froissés et honneur bafoué, quand dans sa ligne de mire parait une fille ... NB c'est bien raconté et l'on se met dans la peau de ce quidam, au milieu de sa rêverie, on voudrait lui envoyer de la poudre de perlinpimpin magique ... papipoète |
Anonyme
28/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le sujet n'est pas neuf mais je l'ai trouvé, ici, traité avec beaucoup de sensibilité et sobriété. La poésie est présente.
" Je commence à fermer les yeux Quand l’une d’elles me sourit ". On ne sait pas si ce face-à-face est le fruit de l'imagination du narrateur, ou si cette scène se passe réellement ; ce qui ajoute à l'intérêt du texte. Une remarque sans trop d'importance : les " cheveux qui ondulent " image un peu éculée. Bien sûr j'aurais apprécié que ce texte fût accompagné de sa musique, mais il se suffit aussi à lui même. |
izabouille
28/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très joli texte, ça a du rythme même sans la musique.
J'ai bien aimé le côté léger. J'étais assise à la terrasse de ce café minuscule et j'ai bien visualisé la scène. J'ai particulièrement apprécié "les bulles de savon frais qui brillent..." Merci pour ce bon moment de lecture |
Miguel
28/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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On pense aux Passantes d'Antoine Pol, si bien chantées par le grand Georges, à celle de Baudelaire, à toutes ces occasions manquées, celles des poètes et les nôtres. C'est à la fois réaliste et poétique, banal et lyrique, et touchant.
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Louison
13/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un bon moment de lecture. J'ai bien aimé le rythme, j'ai moins aimé :"j'ai envie de le tuer" que je trouve un peu excessif, mais l'esnsemble est agréable.
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Vincent
13/11/2018
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bonjour,
déjà sans musique ce n'est pas une chanson et puis je n'adhère pas au texte je ne le trouve pas poétique et plutôt simpliste, une petite histoire sans intérêt |
Annick
13/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des paroles bien tournées qui n'attendent plus que leur musique, bien composée, pour mettre en valeur l'espoir de cet amoureux transi puis le vide qui "remplit" son coeur de désespoir.
Cette sorte de coup de coeur (ou de coup de foudre) souvent éphémère mais intense est décrit avec justesse. "...Quand l’une d’elles me sourit Pas beaucoup, juste un peu Un sourire timide ou poli De ceux qui touchent à l’intérieur Qui donnent des ailes ou du courage Qui collent des papillons dans l’cœur Et cet air bête sur le visage..." |
Corto
13/11/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Bravo Toc-Art pour ce beau moment: qui ne l'a jamais vécu? Une scène de la vie quotidienne que tout garçon espère, dont même il espère tant! De très belles images "un sourire timide ou poli" qui ouvre si fort la chaleur d'un cœur. "Et même peut-être la terre entière si tout le reste ne suffit pas" On souffre avec vous dans le final "A l'intérieur mon cœur se glace et se fout de la canicule". Belle image encore. Bravo, on le vit vraiment.
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Anonyme
13/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ça pourrait être une extension des passantes de Brassens...ici ça va plus loin, si cela perd en mystère cela gagne en réel, le tout reste charmant.
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Francis
13/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Les passantes pressées glacent mon cœur de leur indifférence mais si l'une d'entre-elles me sourit ou me donne un peu de son temps alors, ce cœur en hibernation se réchauffe. La simplicité du lexique renforce la tendresse et la poésie qu'on peut trouver dans votre texte. J'ai aimé. Merci.
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Lulu
13/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Toc-art,
Quel enchantement de te lire dans un registre poétique… Je vais aller fouiner sur le site pour voir si tu n'as pas commis d'autres poèmes ! Celui-ci m'a enchantée. Je me suis représenté une terrasse vraiment superbe au coeur d'une ville, avec ici et là, quelques arbres plantés dans le décor, même si tu n'évoques rien de tout ça… C'est ça la puissance d'évocation d'un poème et de ton texte en particulier. On suit la narration, et on brode autour pour voir d'un peu plus près le coeur de ce qui s'y trame… J'ai vraiment beaucoup aimé le rythme et donc, le ton du slam. C'est très rythmé, et on peut facilement s'identifier au personnage, quand bien même on serait, comme moi, de l'autre sexe… On imagine la scène, touchante et belle dans ce qu'elle a d'éphémère et de durable. J'ai adoré "les savons frais qui brillent" J'ai adoré aussi ce passage : "Si tout le reste ne suffit pas". Tu m'as donné envie de savourer un "thé citron"... J'adore cette douceur, et me représente assez bien la scène décrite, en ce qu'elle porte de réalisme et de poésie. J'ai aussi aimé cette figure de style qui associe les contraires, l'antinomie ou l'antithèse ? Il faut que je révise… : "mon coeur se glace"... Un beau plaisir de t'avoir lu sur ce thème et dans ce registre poétique. Merci. Mes encouragements. |
Luz
13/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour toc-art,
C'est très beau, très sensible ; des passages merveilleux comme par exemple : "Je crois voir des bulles De savon frais qui brillent Suspendues dans l’espace" Vivement que le printemps revienne. Merci Luz |
Stephane
13/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Toc-art,
Un poème très émouvant qui relate une rencontre éphémère à la terrasse d'un café. Ce qui m'a le plus touché est ceci : "Mais le temps passe, je ne bouge pas Voilà longtemps que je n’bouge plus" Je crois que tout est dit. D'ailleurs tout ce qui précède comme tout ce qui suit nous ramène à ça, à cette immobilité, cette fixité, cette résignation. C'est là toute la psychologie, toute l'essence qui donne à ce personnage un côté vraiment touchant. La dernière strophe est à la fois subtile et sublime : "... Je regarde une fille qui s'efface... A l'intérieur mon coeur se glace... Et se fout de la canicale." D'ailleurs le contraste entre le coeur qui se glace et la chaleur régnant à l'extérieur est saisissante. Cordialement, Stéphane |
plumette
14/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Toc Art
A mettre en musique assurément! je trouve que vous avez su capter l'instant, un instant qui se prolonge pour le lecteur et l'entraîne dans ses propres fantasmes. un instant de désir pur entre deux êtres, certains évoquent les passantes chantées par Brassens, c'est sûr on est bien dans cette veine là, et moi je pense à "je chante un baiser" de Souchon. de très jolis moments : "Qui collent des papillons dans l’cœur Et cet air bête sur le visage On voit les veines sous sa peau nue Et c’qu’on n’voit pas on le devine En promesses d’amour retenues" j'aime beaucoup le couplet final c'est une chanson ou un slam d'atmosphère, c'est sympa de vous découvrir dans ce registre là! Plumette |
domi
14/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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En lisant, je me disais que c'était simple, que j'avais déjà lu (et même écrit) ce genre de "moments"... et puis le frisson est venu..
Pour cela, bravo et merci. (ça ne s'explique pas un frisson) |
Vincente
14/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Simple et vivant. On entre avec vous en douceur dans votre texte et puis la coulée vous emporte et les images circulent. Je n'ai pas rencontré d'anicroche, je vous ai donc accompagné dans ce sympathique moment et je ne le regrette pas.
Sur le plan du style et de l'émotion, c'est à mes yeux très réussi. Le sujet est certes un peu léger, assez banal, mais la sincérité est indéniable. Et la fin est très fine : "Je regarde une fille qui s'efface derrière ses cheveux qui ondulent À l’intérieur mon cœur se glace Et se fout de la canicule." |
Queribus
15/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Le sujet a déjà beaucoup été traité mais ici, il y a une certaine fraicheur et de la légèreté; une petite remarque concernant la ponctuation: il semble que vous ayez choisi de la supprimer mais, de temps en temps reviennent des virgules, un point d'interrogation, trois points; je pense qu'il aurait mieux fallu tout supprimer mais ceci, vous l'aurez compris est du pinaillage pour le plaisir. Le texte m'a semblé aussi un peu long mais curieusement avec ses mots simples, ses images de toujours, sa simplicité, il passe facilement. En conclusion, un bon moment passé à vous lire et puis, de toute façon, c'est la musique qui fera la différence. Bien à vous. |
Robot
15/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un slam qui a su agencer les mots en forme poétique.
C'est à souligner. J'ai pris beaucoup de plaisir à le déclamer. C'est vif et alerte. Et les images se forment simplement. |
papipoete
19/11/2018
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bonjour toc-art
assis à la terrasse d'un bar, je regarde passer les filles, et voilà qu'une d'elles des plus jolies, s'arrête et d'un sourire me demande la permission de m'asseoir ! et nos peaux se frôlent, et nos coeurs s'émeuvent, et ma bouche qui voudrait parler, mais je bafouille et l'oiseau s'envole à tire d'aile ... et la fille disparait . NB comme c'est tendre ce moment, où tous les sens s'éveillent mais ne peuvent rien ... Je me revois dans ce cas, attablé comme l'auteur, et perdre mes moyens, perdre des sourires à glaner, et peut-être un baiser ? La dernière strophe est mon passage préféré ! PS la zone de notation n'apparait pas sous mon commentaire, mais je voulais mettre " beaucoup " |
leni
24/8/2019
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j'ai pris le plaisir d'entrer dans votre monde poétique
CE sont ces vers qui m'ont donné l'envie de vous commenterJe lui offre Je lui offre un café, un verre Enfin vraiment tout ce qu’elle voudra Et même peut-être la terre entière Si tout le reste ne suffit pas Là je tire mon chapeau C'est un peu comme vous pourriez lui donner L'ALSACE et la LORRAINE UN MOT SUR LE SUJET ET LES IMAGES Le sujet a été fréquemment traité Un critique a cité un poème mis en musique par Brassens On ne peut s'empêcher de comparer Peu importe Le début du poème situe bien l'action mai l'écrit reste assez banal Là le serveur qui gesticule et les cheveux qui ondulent et je crois voir des bulles ILLUSTRENT BIEN LE MOT BANAL Qui collent des papillons dans l’cœur Et cet air bête sur le visage Le poème ne décolle pas Car ailleurs un autre l’attend J’ai envie de le tuer TUER SOIT passe difficilement Je ne suis pas une entreprise de démolition et la suite passe mieux avec le thé citron Mais on retrouve "les veines sous sa peau nue" "sa peau frémit" Il pourrait y avoir de l'émotion et il y en a j'en conviens mais elle est mise en veilleuse par des images banales Voilà mon ressenti brut de pomme normande Je prétends qu'avec ce matériau on peut écrire un très bon texte en mettant l'accent sur la naïveté Bien vôtre LENi |