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Anonyme
5/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ton autre poème publié parlait du Rwanda si je me souviens
bien... La guerre est donc un sujet qui te tient à coeur, si j'en crois aussi "l'espèce humaine" dans tes centres d'intérêt. Sur la forme, je trouve celui-ci plus réussi que le premier. Le point de vue de "l'intérieur" convient mieux à ce genre de sujet à mon sens. Toutefois, et même si je ne veux en aucun cas minimiser les horreurs de la guerre, il me semble que l'amour peut y résister, ne résiste-t-il pas à tout? Ainsi le dernier vers ne me semble pas coller à la réalité. N'a-t-on pas entendu des histoires magnifiques d'amants palestiniens et israéliens, bravant tous les interdits moraux et physiques pour se retrouver? Alors si la Saint Valentin ou la Saint Amaharak est bien pour les enfants d'Irak, que leur resterait-il sinon? Les guerres n'empêchent pas l'amour, parfois elles le retarde mais il arrive à destination tout de même... Faisons lui confiance! Edit. Je me permets d'éditer à la vue des commentaires ci-dessous. Oui, ce qui empêche la st valentin ici c'est certainement la mort de l'être aimé mais tel n'était pas mon propos. La mort frappe aussi en temps de paix... Son amour périra de vieillesse, d'accident... Je parlais du rapport amour/guerre simplement... Et du caractère incorrect du dernier vers pas dans le poème mais au niveau "universel" si j'puis m'permettre. Car la st valentin, la st doudou ou la st dushy est pour tout le monde et particulièrement pour ceux qui souffrent. Voilà, sur ce... |
Anonyme
5/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Sujet douloureux s'il en est. On ne peut y rester insensible.
Tiens c'est drôle, je n'ai pas la même lecture que Notrac : si la St Valentin n'a pu être fêtée par le couple, n'est-ce pas en raison de la mort de l'aimée ? Lecture aisée. J'ai bien aimé ce texte. |
Anonyme
5/3/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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"La Saint-Valentin n'est pas pour les enfants d'Irak" : Il ya deux idées différentes, euh...je pense :
La première, il n'y a plus d'amour possible, plus de fête à fêter sans l'être aimé sûrement mort ! la deuxième est que cette phrase est symbole de la grande déchirure, comment peut-on fêter dans un pays couvert de drames une cérémonie qui dès lors semble futile, dérisoire, et de toute manière plus appropriée. La Saint-Valentin n'a plus de sens. Le jour où la paix reviendra, la Saint-Valentin sera chaque jour qui passe. Je pense que Toscanelli a voulu cette dernière pensée comme un reél symbole du manque d'amour extérieur qui déchire l'intérieur. Si je pense à cette idée c'est qu'en Irak, la Saint6valentin n'existe et n'a jamais existé, d'où pour moi ce symbole. La chute fait couler de l'encre, et c'est donc un poème réussi. J'ai croisé une répétition en fin de vers "mort" qui m'a sonné l'oreille, et celle-ci est très bien vu, car l'amour : cela marche par deux, mais la mort, cela marche aussi par deux. Je vois aussi la répétition du mot "herbe", la première fois calcinée, et la deuxième verte, le vert de l'espoir, ce n'est donc pas un pléonasme car trop évident pour l'être mais un appui, un fort désir d'avenir serein et de calme. Bien vu encore une fois. Ce qui me sidère, c'est qu'en général l'homme meurt au combat, pas la femme. Ce basculement, ce malheur civil hélas habituel voir quoitidien me touche plus que tout. Les vers ne sont pas égaux et qu'importe, la guerre est-elle de droit ! Amahark ou l'âme de l'Irak ! Bravo |
clementine
5/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Touchant et perturbant ton poème, je pense d'ailleurs que tel est ton désir.
La guerre, injuste, terrible qui nous fait désespérer en nous enlevant les êtres aimés. J'ai bien aimé le fond et la forme, c'est la musique que je n'ai pas réussi à entendre. Peut-être est-ce cela la guerre: ne plus entendre la musique mais seulement le bruit des bombes. |
Anonyme
5/3/2008
a aimé ce texte
Bien
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Récompenser ce travail il me faut ! Sur la forme ce serait plus à écrire en prose.
Je pense qu'une poésie doit transcender exacerber les mots, la il s'agit plus de narration... |
David
7/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Toscanelli,
Le début m'a beaucoup plu, j'ai accroché à la quatrième strophe, la rime lui/amis...aprés j'ai eu l'impresion que la narration l'emportait sur la poesie, pas à chaque vers mais comme des à coups... J'ai eu des préjugés j'ai pensé au poêmes "souviens-toi Barbara" La chute est poignante et j'ai été surpris par "Saint Valentin" et "Irak" |
Toscanelli
24/3/2008
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Je voulais tous vous remercier pour ces commentaires, ils me donnent des forces pour la suite. Merci.
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