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Robot
14/9/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Belle évocation d'une Afrique que personnellement je ne connais pas. Beaucoup (une majorité) d'alexandrins dans ce poème dont les ruptures sont souvent placées à l'intérieur des vers. Ce qui le rythme agréablement. On sent à la fois le calme du camp et l'agitation discrète de la nuit. Un doute: Je croyais les hyènes charognardes, ce qui me semble en contradiction avec des proies chaudes et frémissantes. Mais ce n'est qu'un détail.
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leni
2/10/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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BonjourTroupi
une jolie description d'un ambiance que je ne connais pas mais qui m'a séduit par sa simplicité Il y a comme à l'accoutumée de belles images dans ton poème...Leurs grands yeux...proies...le ce rempart dérisoire..feu sentinelle...beaucoup de vers sont joliment sonores on peut difficilement dire plus simplement dans ce cas je pense toujours à cette phrase de Daudet:monsieur Seghin n'a jamais eu de chance avec se chèvres on ne peut plus simple Ton texte est est un peu plus long et c'est très bien Merci Troupi Salut Cordial à Toi Leni |
Pimpette
2/10/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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Avec'les lionnes' et "Les déserts" tu continues avec un beau talent une évocation de cette Afrique dont nous rêvons sans la connaître.
je dis évocation car les poèmes strictement descriptifs m'ennuient souvent et que là, tes mots enchantent et parlent au coeur: On passe cette nuit avec toi autour du feu et c'est inoubliable |
Arielle
2/10/2013
a aimé ce texte
Bien
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Je continue avec bonheur cette virée africaine en ta compagnie, Troupi. Quand je t'aurai avoué qu'un de mes films préférés est "Out of Africa" tu comprendras combien je peux frémir à ces évocations dont tu nous combles.
Pourtant, ici, comme souvent dans tes textes, trop de détails tuent le mystère. Il y a dans cette nuit africaine des évidences dont tu aurais pu te passer en faisant confiance à l'imagination de tes lecteurs. Par exemple pourquoi préciser que l'obscurité de la nuit s'étend "juste avant son sommeil" "les idées de proies" sont-elles plus impressionnantes d'être définies comme chaudes et frémissantes ? Le rempart de la toile est dérisoire, certes, mais qu'il soit suffisant me semble impliqué par tout ce qui précède, il ne me parait pas nécessaire de le souligner. Enfin, les voix de la nuit africaine sont indubitablement" sauvages" et cet adjectif alourdit le dernier vers sans nous apprendre grand chose. Si je me permets ainsi d'insister sur des détails qui ont gêné ma lecture, Troupi, c'est parce que j'aime particulièrement tes textes et l'ambiance que tu leur donnes. Il suffirait d'un peu plus de concision, à mon avis, pour les rendre parfaits. Mais ce n'est, bien sûr, qu'un avis parmi d'autres ! |
Anonyme
2/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Joli tableau poétique d'une nuit africaine, sans emphase, dont les images bien choisies laissent notre imagination le matérialiser.
J'aime bien, entre autres, "ce rempart dérisoire mais pourtant suffisant" . |
ikran
2/10/2013
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Je ne connaissais pas les nuits africaines mais vos images et votre musique m'ont permis d'y goûter sans avoir à acheter un ticket chez Ryanair.
Parce que l'expérience vivante est aussi très forte entre les mots, et entre les vôtres. |
Anonyme
2/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Simple et nature.
C'est ce que je retiens de ce sympathique petit poème qui de par sa manière claire de dire, permet au lecteur d'imaginer aisément la scène. J'aime notamment ce passage pour son approche de la menace : "Éclaboussée d'étoiles elle frissonne d'ombres ; Fantômes qui louvoient au travers des arbres desséchés. Leurs grands yeux affamés ont des idées de proies" Juste un bémol en ce qui concerne : "se sachant épiés", j'aurai mieux vu - se sachant repérés - dans la mesure où ce sont ces regards qui guettaient dans l'obscurité. Enfin si j'ai bien compris. Bref, j'aime en général la poésie de voyage et ce poème me convient dans son ensemble. |
Anonyme
2/10/2013
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir troupi. J'ai couru l'Afrique durant une dizaine d'années mais, je l'avoue humblement, sans jamais coucher sous la toile de tente car je trouvais toujours au cours de mes virées professionnelles une " case de passage" prête à m'accueillir... Ce n'était bien sûr pas le désert mais la brousse où... l'animal le plus dangereux pour l'homme reste malgré tout le moustique... surtout la nuit !
Vous savez certainement que la hyène ne représente pas vraiment un péril pour les bipèdes que nous sommes... Elle se nourrit plus spécialement des charognes qui trainent après le repas des grands fauves. Cela dit il émane de votre poème un parfum Nuit d'Afrique qui a ravivé chez moi une nostalgie certaine et je vous en remercie... |
Anonyme
3/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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On dirait que ce poème a été écrit en trois temps La première strophe est carrément inspirée, riche de belles et fortes images comme ce soleil qui meurt sur les dunes et le sable qui boit sa lumière.
Ensuite nous avons deux strophes qui n"on plus rien à voir sur un registre et un ton de de prose dénué de cette fièvre métaphorique qui constituait l’Essentiel de la première partie. Il s’ensuit une rupture de ton et d'harmonie qui nuit un peu à la cohérence du tout. Je lis et relis le troisiéme strophe et je me crois dans un journal de voyage.Le problème est que les deux textes me plaisent bien mais dissociés. Vraiment, Troupi, je crois qu'il vous faut choisir entre le quasi lyrisme de la première partie et le prosaïsme de la seconde. Après avoir publié mon commentaire, je relis celui d' Arielle et je me dis "Ah oui " sois plus concis, dis moins et tu diras plus. Je me suis longtemps livré à cet exercice, après avoir écrit un poème, d'en fusiller une bonne moitié. Sur le coup, ça fait bizarre, parce que ce que tu a écrit, tu le crois essentiel, mais tu reprends le truc deux ou trois jours après et tu t'aperçois que tu a gagné en densité. J'avais un copain, "rédac chef" d'un journal régional auquel j'adressais des articles et qui à chaque fois me les renvoyais avec une mention du genre "ton article fait 20 lignes, je ne t'en ai réservé que 12. A chaque fois j'arrivais à calibrer mon propos et ça le faisait hachement mieux. Bien cordialement. |
motscoeur
16/10/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il y a du primitif dans ton texte, qui nous rend attentif à la primale adversité de la nuit...
En prime il est bien mené! |