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Lulu
8/5/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
j'ai bien aimé lire ces mots, même si parfois, j'aurais souhaité de la ponctuation. On a bien les points de suspension pour marquer l'hésitation, alors pourquoi pas le reste ? J'aurais notamment mis une virgule après "bois", ici : "Le soir au feu de bois c'est encore ton sourire qui embue mon regard ..." J'ai trouvé ce vers trop long : "Et quand je veux coucher sur un morceau de toile une idée de ciel bleu". Cela nuit au rythme. Peut-être que j'aurais enlevé "sur un morceau de toile" pour épurer le vers... Indépendamment de ces remarques, j'ai bien aimé l'ensemble. Les pensées passent bien. J'ai bien aimé, par ailleurs, "les notes bancales". |
Pimpette
1/6/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Troupi
Ce texte est si touchant entre un amour inoubliable et la musique d Bechet que j'hésite à bavacher! La forme libre et choisie seulement en fonction du propos est tout à fait ce qui convenait Tu as un youtube remarquable 'Dans les rues d'Antibes' mais tu connais probablement, "Il me faudrait changer mes accords de guitare… Ça fait bien trop longtemps que je joue en mineur" Merci pour cette lecture du matin... |
Robot
1/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Autant le dire, je suis enchanté par la lecture de ce texte. Par ma lecture, car je le lis sans ces points de suspensions exaspérants (en fin de vers) qui n'ajoutent pas au texte et qu'une ponctuation classique aurait avantageusement remplacé. Une poésie qui supporte bien l'oralité.
"Et quand je veux coucher sur un morceau de toile une idée de ciel bleu ou un bouquet de fleurs…" Ici, justement à cause de l'oralité, j'aurais inversé la proposition ainsi: Et quand je veux coucher une idée de ciel bleu ou un bouquet de fleurs sur un morceau de toile, Je ne pense qu'à toi… |
Anonyme
1/6/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai aimé " les notes bancales, le piano blessé, les os du vieux Bechet, le bord de son printemps, mes pas vieillis au souvenir des tiens, de ces vieux pinceaux je ne tire plus rien, j'attendrai patiemment assis le jour nouveau, et le temps est bien long pour qui vit à moitié…". J'ai aimé une grande partie de votre texte en fait. Mais, peut-être, manque t-il de rythme, de musique justement, pour un texte qui parle d'instruments joués, de sons, d'accords... Belle évocation de l'être qui n'est plus, en tous cas, mais je reste un peu sur ma faim quant à la forme. Un peu dommage pour moi. |
Marite
1/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Nostalgie et mélancolie s'étirent dans le temps :
" Au chêne centenaire… Ton image adossée… J'en ai presque oublié la tempête assassine qui l'a jeté à bas depuis dix ans… Déjà…" En fait, une déchirure, une profonde blessure qui n'a pas été soignée et dont la cicatrice, mal refermée, reste douloureuse : " Et le temps est bien long pour qui vit à moitié… " Ce poème en vers libres est une confidence murmurée, enfin c'est ainsi que je l'ai reçu. La seule chose qui me semble "inutile" ce sont les lignes de tirets. |
Anonyme
1/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Troupi, c'est superbe ! J'aurais tant aimé que ces vers tombent de ma pauvre plume...
De "Petite fleur" de Bechet à ce vers ultime qui résume les états d'âme de l'auteur, Et le temps est bien long pour qui vit à moitié, j'ai parcouru avec lui ce chemin qui est aussi un peu le mien mais que je n'ai jamais su décrire avec ce talent qui est le tien... Véritablement touché par cette pensée matinale ô combien poétique... je ne puis que te dire Bravo et merci ! |
papipoete
1/6/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour troupi ;
malgré ce soleil de Printemps, je vis toujours en Automne depuis que tu es partie . J'essaie de jouer un air, je sort mes couleurs et mes pinceaux, et comme d'habitude, j'abandonne ; je n'ai plus envie, sans toi ... Ces vers " au chêne centenaire ... " sont mes préférés, dans ce poème languissant . |
madawaza
1/6/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Troupi
Du renoncement et c'est dommage, vous avez encore tant à écrire. Pas très féru de poésie, j'ai beaucoup apprécié ces vers libres. Merci |
Pouet
1/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Hé bien c'est beau, émouvant.
Rien à dire de très constructif, ni envie d'ergoter. (sur mes sempiternels lieux communs...) Une très belle écriture, des sentiments bien dits. Superbe lecture, merci. |
Anonyme
1/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Nostalgie voire tristesse omniprésentes dans ce texte, illustrées par de belles images. Entre autres : " Petite fleur" maladroite sur le piano blessé "
" Au chêne centenaire… Ton image adossée " " Et le temps est bien long pour qui vit à moitié ". " Ça fait bien trop longtemps que je joue en mineur " le mode mineur n'est pas foncièrement triste... |
rosebud
1/6/2016
a aimé ce texte
Pas
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Il y a beaucoup de choses qui me déplaisent dans ce poème et elles ont toutes en commun d’être des expressions convenues, attendues, rebattues. Ça ressemble à ces vieilles recettes qui ne manquent jamais, mais qui ne surprennent plus depuis longtemps.
Les « notes bancales » et le « piano blessé » par exemple me sont particulièrement désagréables, parce que je vois la grosse ficelle des sanglots longs des violons de l’automne. Après Verlaine, on pourrait passer à autre chose, non ? « Je joue en mineur »; là aussi ce truc a été utilisé mille fois. Ce n'est même plus une image, c'est un cliché pris avec un appareil automatique. Et même le chêne centenaire a déclaré forfait. Ce n’est pas très gentil de ma part, j’en conviens, mais il me semble que, par définition, la créativité doit créer et pas ressasser. |
Ascar
1/6/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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des images sans surprises mais bien alignées ce qui rend cette éloge touchante. Le but est atteint pour moi
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Anonyme
1/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Troupi,
Vos lignes d’introduction sont une très belle inspiration ! C’est avec « Petite Fleur » en guitare et en sourdine que j’ai fait le voyage dans votre belle et douce nostalgie. La chanson sied à ravir vos mots, et vice versa, vos mots s’y coulent avec bonheur. Vous avez rangé vos pinceaux, dites-vous, mais vos souvenirs sont ardents, colorés et votre écriture si tendre que cela a été un vrai bonheur de vous suivre dans ce poème. Je lis vos pointillés comme si vous ne vouliez pas achever l’histoire – il vous restait encore tellement de choses à faire, à dire, n’est-ce-pas ? A mon avis, la mélodie que vous avez réussi à imprimer retransmet très bien ce sentiment et n’a nul besoin de ponctuation pour marquer davantage. J’affectionne tout particulièrement la poésie dite libre. C’est pourquoi je vous invite à vous défaire de toute cette ponctuation qui l’entrave. Autorisez-lui (il faut essayer au moins une fois) de déployer ses ailes sensibles, défaites tous les pointillés, au bout des vers, entre les strophes, revenez à la ligne autant que nécessaire, et je puis vous assurer qu’un bonheur très particulier vous guette au bout de cette relecture. ^^ Vous me direz ? Merci pour le bon moment passé à vous lire. |
emilia
1/6/2016
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Une chanson, nostalgique s’il en est, qui doit évoquer pour le narrateur un souvenir très personnel et très sensible et qui lui reste à jamais attaché, dont il traduit dans ce récit l’émotion si palpable qui le traverse par quelques notes maladroites lui permettant de convoquer le souvenir de l’être cher disparu, de son bonheur passé dont l’image reste vivace malgré le temps qui fait son œuvre, en réveillant la souffrance de ne plus pouvoir partager avec l’autre, dans le sentiment d’un bonheur perdu qui a emporté avec lui « ses notes et ses couleurs… », sans se préoccuper de vouloir faire joli, d’éviter les hiatus (…à aller hésiter…), de paraître banal ou convenu, mais dans le témoignage fort d’une peine infinie qui étreint le lecteur par ses accents de sincérité dans lesquels certains peuvent se retrouver…
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plumette
1/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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en lisant ce poème, je me suis dit que j'aimerais être cette absente à laquelle on pense ainsi!!
je me suis demandé s'il s'agissait d'une absence due à une rupture ou à la mort de l'être aimé. les images m'ont parlée, la nature avec les chemins, la brume et le chêne. Et puis l'évocation de la musique et de la peinture empêchées, une créativité asséchée par une perte dont le poète ne se remet pas. C'est nostalgique et doux, c'est triste et beau. Plumette |
Anonyme
1/6/2016
a aimé ce texte
Bien
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Le dernier vers résume bien l'ensemble du poème, à savoir "Et le temps est bien long pour qui vit à moitié…"
Une atmosphère nostalgique pour décrire un passé qu'on voudrait voir renaître, en vain... Wall-E |
Anonyme
2/6/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un texte intéressant sur la nostalgie et l'absence de l'être aimé.
J'ai beuacoup aimé l'évocation des souvenirs, des lieux ou des musiques qui s'y rattachent. mais je trouve que ce texte souffre un peu d'un manque de rythme, il a quelque chose d'un peu trop formal qui casse la leture. Par exemple: "Alors je les repose car de ces vieux pinceaux " la conjonction me parait de trop. "Le soir au feu de bois c'est encore ton sourire qui embue mon regard…" le pronom "qui" alourdit là aussi les mots. Mais ça reste un texte bien sympathique et un agréable moment de lecture. |
Lylah
13/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Comme j'ai aimé cette poésie ! Tout est dit en demi teintes et pourtant il s'agit bien plus d'une douleur poignante, souveraine, omniprésente.
Une seule remarque, les points de suspension, trop nombreux à mon sens. De simples espacements plus grands, pour les "blancs", la respiration, le rythme lent auraient été plus "percutants". Un plus pour "Du bord de son printemps le soleil m'encourage à aller hésiter sur un de nos chemins…", mais l'ensemble m'a réellement touchée ! Bravo. |
MissNeko
16/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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On entendrait presque cet air de Bechet quand on lit votre texte.
C est léger et délicat. Les mots se posent comme des notes. Un bel hommage à l autre moitié Merci pour ce partage. |
Alcyon
20/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour
lecture très émouvante une belle tristesse si j'ose dire je suis vraiment touché en plein coeur |