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Anonyme
9/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très beau. Une ode amoureuse et une poésie fluide qui enchante l'oreille, faforise l'écoute attentive.
"Puisqu'il il y a toi, il y a moi Les espaces blafards les éclats de voix Et toutes les silhouettes aux allures de répétitions" Cela, cette dernière strophe me rappelle l'ambiance des poésies période guerre de Paul Eluard. |
Anonyme
10/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un très beau poème je trouve.
Bin il y a quelques éléments que j'aime moins : "Ce sont les putains les fantômes que je chante" je trouve ce vers un peu lourd, presque maladroit par rapport au reste. Je pense que plus que le choix des mots, c'est la construction qui laisse à désirer. "es espaces blafards les éclats de voix" là encore il y a un déséquilibre, mais je pense que c'est "les espaces blafards " qui gâche un peu le vers. Cette formulation est convenue je trouve. Par contre j'ai adoré: "qu'écoutent les guêpes aux mains tisseusent". Bref, un beau poème vraiment. |
Lunastrelle
14/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Les petites phrases de fin, peut-être un peu faciles, peut-être un peu devenues "clichées" avec le temps, je les aime bien dans ce contexte, et la manière de les amener, même si le procédé en devient lui aussi cliché... Moi ça ne me dérange pas.
En tout cas le poème en lui-même est de bonne facture, et les images sont prenantes. |
Anonyme
14/1/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai un petit problème avec ce poème : les idées sont jolies, il y a de belles images, mais le rythme est bancal.
Exceptés ces vers-ci : "Il y a tout un espace entre mes tempes Qu'il faut combler de l'encre du sommeil. Ce sont les putains les fantômes que je chante Qui couchent de deux doigts la texture de l'éveil, Puisqu'il il y a toi, il y a moi Les espaces blafards les éclats de voix" que je trouve très bien, le reste n'est pas musical. Dommage, mais ça reste agréable à lire et à imaginer. Bonne continuation ! |
LeopoldPartisan
18/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Si ce n'est ce vers qui pour moi est superflu et lourd,
"Mon nom est une ville sous le ciel des métamorphoses" J'ai vraiment apprécié l'ensemble de ce cours poème et en particulier le second quatrain d'une réellement belle spontanéité. Comme de quoi, il faut se lâcher pour obtenir un bel effet de sincérité. |
Anonyme
20/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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j'ai adoré :
"Puisqu'il y a toi, il y a moi Les espaces blafards les éclats de voix Et toutes les silhouettes aux allures de répétitions" C'est là qu'on se dit : bon sang, mais c'est bien sûr ! pour les 2 premiers quatrains. Le "Je suis amoureux." n'était pas nécessaire à mon goût. J'ai ressenti avec bonheur ces impressions particulières de l'état amoureux. Ce poème m'a vraiment plu. joceline |
Anonyme
20/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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les images sont magnifiques, un poème d'une belle originalité. Le rythme tranquille, il émane un sentiment de paisibilité dans une ville en mouvement, vivante. Le dernier vers m'a surpris, sa simplicité contrastant avec les belles trouvailles métaphoriques, mais en y réfléchissant on peut se poser la question "ce n'est pas de qui, mais de quoi est-il amoureux?" et selon mon interprétation je pense que le narrateur est tombé sous le charme de cette ville. Bravo encore pour les images qui dégagent une telle force, pour l'ambiance plein de vie qui nous envahit, et que de sensation visuelle: ciels inquiets, silhouettes aux allures de répétition, et sensitive: l'impression d'entendre ces guêpes aux mains de tisseuses. Une belle émotion est ce poème.
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Anonyme
20/1/2011
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Commentaire modéré
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Anonyme
3/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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14'12.
Un ton moins enjoué et peut-être plus pensif. Moins spontané. Un rythme plus "posé". Un engouement disons "compressé" ressort de ce texte. Et puis tout lâche d'un coup avec ce dernier vers : "Je suis amoureux". Une écriture toujours intéressante. |
Charivari
2/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup apprécié ce poème, et surtout parce qu'il nous laisse l'interpréter librement. Personnellement, je voyais ce poème sous le prisme de l'artiste, amoureux du monde, (ici, plutôt un peintre à cause des images picturales, de l'évocation de la texture, des couleurs, etc...) qui le recrée et le recrache. Je pense que le vers de la fin ("je suis amoureux") est en trop, parce que cet passion est censée se retrouver tout au long du texte, quant au vers "mon nom est une ville sous le ciel des métamorphoses", j'aurais préféré le mot "univers" ou "monde". Mais peut-être que mon interprétation est tout à fait erronée...
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