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Anonyme
6/12/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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un coté spirituel au niveau du ton que j'aime assez.
le corps est un monde, une sorte de sagesse imprègne les images. il se dégage de ce texte une ambiance mystique. j'aime beaucoup cette strophe: "Quand j'ouvre tes mains L'or brûle en elle comme un soleil qui ne devrait pas éclore. Quand je les ouvre, tout bas Bustes de bronze et statues s'émeuvent. Dedans, le laurier et le lilas." les images sont magnifiques, j'ai apprécié la profondeur et la beauté des mots. |
Anonyme
9/12/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Très beau texte qui m'a pris par la main, sans relache jusu'à plus soif. Récit constamment habité, admirablement servi par un champ lexical au diapason. Merci pour cette lecture et à la prochaine : 14H12 ?
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jaimme
14/12/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour moi: l'heure d'une mort (petite?).
Un poème d'une forte inhabituelle. Qui croche ses doigts squelettiques et m'entraîne. La chair transparaît ("les bras de varices"...). Elle est espérée. Un poème que j'aime relire. Ce n'est pas si souvent! Merci! |
Astras
20/12/2010
a aimé ce texte
Bien
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"Les cendres des hémisphères tapissent nos lèvres", ainsi que nos oreilles, nos doigts et tout ce qui va avec!
J'aime bien ce texte. L'auteur n'a pas peur de s'écarter des chemins pudiques du conventionnel. Les sentiments abstraits sont biens ancrés dans la description factuelle du temps et de l'espace. Je dirais même que l'auteur serait très à l'aise avec la prose, et que cette liberté technique se dévoile dans sa manière d'aborder le poème. C'est vrai qu'il m'est difficile de voir la cohésion logique de ce qui est écrit ici dans son ensemble. Cependant, on passe sa vie à comprendre, et ce texte nous invite justement à ressentir. |
Anonyme
3/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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14'10 donc.
Ballade urbaine (avec la même personne que dans le 14'08 ?). Il y a de la vie et un enthousiasme à cet instant. Une complicité peut-être aussi. Même si l'on peut déceler par moment des restes d'amertume. Toujours cette écriture particulière et de belles fulgurances. J'aime particulièrement ce passage : "Je traîne avec moi l’ombre des buildings Où l’on conçoit la peste Du rez-de-chaussé à l’étage il n’y a plus que le reste De mes paroles". |