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Anonyme
16/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir ! Quand on a pris connaissance de l'incipit il est difficile de commenter un tel texte sur le fond dans la crainte de raviver certaines plaies qui ne semblent pas refermées...
J'aime la forme en vers courts qui donne une grande force à ce poème... que j'ai hésité à commenter. |
Arielle
24/1/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Des mots qui frappent, un rythme haletant. L'auteur a su éviter le pathos qui guette ce genre de texte.
J'aurais cependant deux réserves. Une pour le titre et une pour la dernière phrase dont la formulation prête au contresens. On pourrait comprendre que les parents sont "sous la torture" ce qui est en contradiction avec ce qu'a voulu dire l'auteur, il me semble. |
colibam
26/1/2011
a aimé ce texte
Pas ↑
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Le style incisif et percutant colle tout à fait au thème abordé. Un texte que pourrait chanter Diam’s.
Le travail sur la variation des deux premiers vers de chaque strophe est intéressant. Par contre, le traitement du sujet demeure un peu trop banal pour décoller. |
Anonyme
1/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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On sent que ce n’est pas un texte écrit à la va-vite. Y’a dû en avoir des torsions pour que ça rentre. Comme dans le papier millimétré de notre enfance.
L’émotion est là, sans artifice. Nature. Tous les mots sonnent et tombent à l’aplomb. Je trouve même la longueur parfaite. |
Anonyme
1/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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De belles sonorités dans ces vers courts et percutants.
Du rythme, aussi. J'ai apprécié, avec cependant deux réserves : Le titre : il en dit trop. meurtrissure aurait suffit. Et encore, il doit y avoir moyen de trouver quelque chose de mieux. Le dernier vers : il infirme ce que j'ai cru comprendre du poème. Je pense qu'il est mal exprimé. A moins qu'un tiers personnage soit responsable de la torture infligée, ce que je ne pense pas. Mais à part ça, ce poème m'a plu. joceline |
Lhirondelle
1/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Valli
Un travail sur la forme bien structuré, je soulignerai la déclinaison des deux premiers vers, leur agencement, leur évolution qui à chaque strophe offre une vision de la douleur différente. Le rythme est soutenu (4/4/8/8) Une préférence "technique" pour les trois derniers vers grâce à l'alternance des rimes fémines/masculines Cinq strophes incisives et sobres, chacune est-elle à lire séparemment les unes des autres ? Le tout contenant un lot lourd de "meurtrissures" et non "d'une meurtrissure" comme le titre l'indique... c'est ainsi que j'ai abordé toutes ces souffrances. La dernière strophe fait référence à Bazin alors il n'y a plus qu'à espérer que cette ou ces victime(s) ai(ent) le caractère bien trempé d'un "brasse bouillon" Un oubli de ponctuation dans le dernier vers ? Ne devrait-il pas y avoir une virgule après parents ? Un texte qui ne délivre pas tout, cinq signaux de détresses qui m'ont interpelée. L'hirondelle |
Anonyme
1/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Que dire ? Tout est en angles parfaits, une vision de l'écriture, une façon de jouer avec la langue qui prouvent une belle maîtrise.
"Fracture au poing Morsure au cœur Une blessure à l’intérieur Un mal de chien jeté au loin" De la sensibilité, un regard sans concession, un phrasé qui n'envie rien à personne. j'ai vraiment apprécié. |
Chene
1/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Valli
Un poème sans concession qui vilipende l'enfer familial mais où le recul de l'écriture s'exonère du "je" trop impliquant. En ce sens, l'incise thérapeutique doit fonctionner. Le jeu sur les mots des deux premiers vers de chaque strophe contorsionne en tous sens la souffrance morale, physique... C'est fort bien pensé et écrit. Le rythme est soutenu grâce à une métrique sans faille mais se laisse oublier pour faire la place à la force des mots. Folcoche, Brasse bouillon et le visage torturé d'Alice Sapritch me viennent à l'esprit après la lecture du dernier quatrain... Juste une remarque : l'absence de ponctuation tout au long du poème est un choix à double tranchant. Si le rythme lié à la métrique et aux rimes peut suffire, l'absence de ponctuation peut aussi être équivoque (en particulier au dernier vers) et entraîner deux interprétations contradictoires. Mais peut-être est-ce voulu par l'auteur. Merci pour cette lecture Chene |
thea
1/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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du rythme de l'invention, une certaine oreille ( meurtrissures ,blessures, fracture, brisures, sépulture etc)
le sujet n'était pas facile..l'auteur s'en sort très bien les mots sont forts parfois violents...d'où sans doute le choix de ne pas ponctuer. il y a de la recherche, du travail et les vibrations de l'âme qui font que la poésie est bien là.. et puis le clin d'œil à Bazin la cerise sur le gâteau! |
Marite
1/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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La forme épurée de ce poème convient tout à fait au fond. Pas possible de s'étendre en disgressions inutiles avec les élancements des blessures encore à vif bien que soigneusement cachées.
Les deux premiers vers de chaque strophe tels qu'ils sont écrits situent l'intensité de la souffrance. Les deux suivants expliquent ... Beaucoup de profondeur sous la surface des mots. Un poème comme j'aime. |
David
2/2/2011
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Valli,
Il y a un jeu musical avec les deux premiers vers, comme une sorte de refrain changeant autour de quelques mots. Je remarqué le titre d'une œuvre connu : "Vipère au poing". Je trouve qu'il y a un problème à la fin : "Ainsi l’enfant dans son recoin Voit ses parents sous la torture" Je ne crois pas que ce soit les parents qui soient torturés, dans le contexte, et c'est pourtant ce que je lis littéralement, le choix de ponctuation par la mise en vers seulement empêche certaines nuances, et ça aboutit à un contresens au final. |