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BlaseSaintLuc
9/6/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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En plus du titre, fil rouge du poème, j'aurais peut-être mis "le chemin" à chaque début de strophe, mais c'est plus un choix qui tient au style de chaque auteur, qu'une affirmation définitive, je me suis repris à deux fois avant de capturer la piste sur laquelle l'auteur nous mène.
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Anonyme
3/6/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Un chemin que j'emprunte et lis à plusieurs niveaux. On peut y trouver le réel cheminement dans une nature aux divers éléments mais aussi un chemin amoureux sur le corps d'un partenaire et encore un chemin au travers de la vie. Quelques expressions seraient à revoir, à mes yeux : "me pousse au bord" n'est pas très gracieux, "fuyant au loin" me semble assez convenu, "sous l'éternité céleste" assez grandiloquent et un peu bateau. Globalement une promenade agréable qui pourrait l'être encore plus. Bonne continuation, Éclaircie |
Marite
9/6/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ma foi, il m'a semblé reconnaître ce chemin Vasistas ! Ces vers libres, simples mais évocateurs à certains détours, me plaisent : pas de sophistication dans l'expression, seulement le ressenti ...
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papipoete
9/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Vasistas
le chemin, terme qui ponctue un récit ; qui qualifie un souhait ; un mot que l'auteur emprunte à toutes les couleurs ( réelles ou spirituelles ) Concret en longeant la falaise . Ecartant les fougères ... et Il passe par le ciel/effarouchant les étoiles Il déploie son âme ... NB le dernier quatrain m'évoque le long et sinistre chemin, de ces gens errant avec toute leur vie dans une valise ... je m'interroge sur le sens du 16e vers ? Je marche avec une canne, mais me prenant par la main, vous avez su me guider sur " tous " vos chemins ! |
Anonyme
9/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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Je n'ai pas cherché un second degré ; j'ai simplement suivi le narrateur sur ce chemin " entre les herbes, jusqu'à la plage, au flanc des collines ... ".
Une lecture agréable, sans fioritures. |
Anonyme
9/6/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je suis un peu déçu par ma lecture, le sujet "Le chemin" m'a déjà conduit sur un tracé identique, c'est sans surprise ...
J'aurais aimé être davantage dépaysé même si je reconnais que les images exposent une belle vision de ce que la nature propose à un regard attentif et attentionné. Peu à peu se découvre "Le chemin" de la nature, de la vie, l'un et l'autre étroitement lié. Un peu plus d'originalité aurait agrémenté mes lectures de manière à me procurer un ressenti plus enthousiaste. |
Gabrielle
11/6/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Ce poème porte sur la "traversée" du chemin de la vie vu sous l'angle des émotions et leur immatérialité.
L'auteur(e) nous renvoie sur les sensations associées au parcours par le narrateur : "vertiges" '1ière strophe), "mon coeur s'illumine"(2ième strophe). Puis la nature prend le relais des émotions "frissonne la brume" (3ième strophe). Le chemin devient "fiévreux" (4ième strophe) renvoyant à nouveau aux émotions ressenties lors du parcours par le narrateur. Puis, "je le devine" (5e quatrain). L'association de "passion" et "inhumaine" renvoie sur un ressenti de dépassement de soi (6e quatrain). "les yeux grands ouverts" (7e quatrain) et "la trace de nos pieds" (8e quatrain) renvoient sur le côté matériel du chemin évoqué ici. La chute renvoie au côté éphémère de la vie "le temps nous efface" qui s'oppose alors à la "trace de nos pieds" qui renvoie sur le côté matériel du chemin de la vie (ce qui reste). |
jude-anne
28/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai aimé vous suivre tenue par votre main tout au long du chemin.
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Ombhre
30/6/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé ce texte, et ai suivi le chemin avec vous avec plaisir, imaginant les paysages que vos yeux ont vu.
Quelques cassures de rythme pénalisent, selon mon ressenti, un peu ce voyage, par exemple: "traverse mes vertiges, me pousse au bord." ou: "les yeux grands ouverts sous l’éternité céleste." J'ai trouvé aussi quelques formulations qui mériteraient d'être retravaillées,: "une clairière d’amour." ou "effarouchant les étoiles." (pourquoi la lourdeur d'un participe présent ?) ou "sous l’éternité céleste." La fin est magnifique: "Il est la trace de nos pieds, de nos vies sans racine. Chaque pas nous libère, le temps nous efface." Ces quatre vers terminent cette promenade, et ouvrent sur une autre, et une autre, et une autre. Merci pour le voyage |