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| Brume
13/12/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
On sent bien l'angoisse qui porte vos vers. Vous n'en faites pas trop, l'émotion cogne très fort mais n'explose pas. La plume est à la fois sensible et aiguisée, angoissée, et très belle. Touchée du début à la fin, j'aime la fragilité et la violence retenue qui émanent de votre poème, et l'expressivité des images est sobre, intense. -" Dans mes bras dort un ange blessé, je m'enfonce sous son aile abyssale. " - la classe ! |
| Provencao
17/12/2017
a aimé ce texte
Bien
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Une belle réflexion à mon sens de la peur en cette poesie libre où vous vous aventurez, dans "cette nuit qui delivre ses secrets »
" Je me sens disparaître puis revenir, jamais ne cesse cette envie de fuir. Le ciel gronde, la terre se soulève, la peur s’installe indigne et criminelle, sur les ruines du passé l’orage aiguise ses lames." Apparaît alors « de mes feuilles, terre de mes racines, que sont ces mots si froids, si liquides. N’être pour rien, ignorant, soumis, sans un doute invoquant la fin. Les promesses de paradis annoncent l’enfer. L’imposture entrave mon chemin de poussière, L’astre solaire patiente." marquant le jour où le jour est égal à la nuit ; par la suite, le jour ne cesse de croître jusqu’au paradis qui est une promesse la plus attendue et l'astre le plus court de l’année. J'y ai entendu comme une résurrection. ... Au plaisir de vous lire Cordialement |
| Anonyme
28/12/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'interprète ce texte comme une allusion à des évènements tragiques qui se sont produits (guerre, répression ..?) et ont engendré une peur morbide " Le ciel gronde, la terre se soulève,
la peur s’installe indigne et criminelle ". Peut-être aussi un exode imposé par ces évènements " Arbre de mes feuilles, terre de mes racines ". " Les promesses de paradis annoncent l’enfer." |
| Anonyme
28/12/2017
a aimé ce texte
Bien
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Voilà une "Peur" qui semble tenir bien trop de place,
en ces mots, elle est bien trop impérieuse, vous lui donnez le beau rôle "La peur s'installe indigne et criminelle". Un écrit que j'ai pris le temps de lire et de relire, il est d'une grande fluidité. La douleur qu'il exprime, est décrite par un phrasé à la fois parlant et mystérieux. Simplement je vous dirai, à chacun ses peurs ... je préfère tenir la vôtre à distance ... |
| MissNeko
28/12/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
On ressent bien ce mal-être, cette peur qui rode à travers ces vers. Une présence angoissante plane : l ange dont il est question me paraît être l ange de l angoisse avec ses ailes abyssales entre lesquelles on s enfonce. Je vois ici la fuite dans le sommeil : le réveil est souffrance matérialisé par l Aube sanglante. J aime moins la dernière strophe que je trouve de moins bonne qualité À vous relire |
| wancyrs
2/1/2018
a aimé ce texte
Bien
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C’est dur ces angoisses qui par moment, en pleine nuit s’emparent de nous ! Vous le rendez si bien ! Merci !
Wan |
| Gabrielle
24/5/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Un poème qui renvoie au rêve éphémère de l'écrivain, perdu entre nuit et jour, rêve et réalité, paradis et enfer.
La peur et le doute se confondent. La chute renvoie au rêve de l'écrivain malgré "L'imposture" à laquelle il fait référence. Un excellent exercice qui montre le talent de l'auteur. Merci à vous. G. Michel |
