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Menvussa
9/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Pas mal du tout. J'ai bien aimé et la forme et le fond... surtour le fond.
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Anonyme
9/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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N'y aurait-il pas aussi une sagesse à admettre que la société , les modes de vie évoluent?
Regarder dans le rétroviseur, et magnifier le passé m'a toujours paru une perspective trompeuse. Sur ce , j'aime beaucoup votre poème , avec ses détails: l'emblématique chêne séculaire, les disciples assis en tailleur autour de leur maître, les paroles de bon sens. Mais vivons avec notre temps, que diable! Et améliorons-le! |
marimay
9/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Vicomte,
Je suis bien d'accord avec la fin de votre poème: on ne garde souvent que les meilleurs moments du passé. Et dans quelques années, nous aurons sans doute aussi oublié tout ou presque des problèmes qui aujourd'hui nous gâchent la vie. J'aime beaucoup la façon dont vous avez développé le sujet autour du vieux sage. |
Ephemere
9/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour, en fait, plus une fable qu'un poème. Ce vieux s'ennuit de choses bien connues, des poncifs.
Je regrette quelques erreurs : "Les nuits où mille", pas de verbe principal, "Ne voyageait pas en avion, Au pas du cheval ils allaient", passage du singulier au pluriel et un vers trop long, l'antépénultième, plus les rimes approximatives. J'adhère à la morale. FMR |
FABIO
10/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Jolie et bien pensé, comme il est bon de garder l'héritage des vraies valeurs, celles qui traversent les époques et qui font encore de nous des humains. Votre texte enrobé de belles rimes est un hommage
à ces valeurs. |
Anonyme
10/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Comme un instantané de sagesse africaine.
"Les ennuis et la tristesse" ne connaissent pas le "progrès". "Ne pas aimer son temps", et parfois... L'écriture. |
Nongag
11/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Je cherche, en vain, un sage dans ce poème...
Je ne perçois qu'un vieil homme, sympathique, certes, mais qui "distille Les péripéties de sa vie" comme vous dites... Je suis d'accord avec le dernier quatrain (si je le comprends bien): rêver d'un autre monde est inutile, les regrets sont lourds à porter et ne servent à rien. Alors je perçois un déséquilibre dans ce texte qui me semble danser entre deux visions incompatibles: un "sage" qui attire la jeunesse mais n'a rien d'autres à partager que de vieux souvenirs jaunis et "On encense toujours ce qui n’est plus"... Pas clair pour moi... |
FredericBruls
12/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
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De bonnes idées dans ce poème, un parfum de nostalgie douce-amère sur le temps qui passe et la manière de l'appréhender, mais je regrette malgré tout une construction brouillonne, et surtout des incohérences grammaticales :
IL n’avait pas de télévision, Ne voyageait pas en avion, Au pas du cheval ILS allaient. On passe du singulier (le vieil homme) au pluriel (les anciens, je suppose ?). Le passage est trop abrupt et nuit à la clarté du texte. L'expression "superlatifs joufflus" me paraît également peu heureuse, mais bon, pourquoi pas ? Bien pour le fond, mais la forme me laisse un peu sur ma faim. Pas grave, ce n'est que mon avis. |
Anonyme
28/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Oui...
C'est assez rythmé, assez plaisant à l'oreille, mais sans plus. Le fond de plus ne m'a pas particulièrement touché, même si il doit y avoir du vrai là-dedans. La première et la dernière strophe me plaisent bien toutefois : les superlatifs bien joufflus m'ont beaucoup plu. |
FIACRE
4/3/2009
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Comme si s'asseoir sur ce temps déroulé nous faisait toujours trébucher sur un "meilleur " perdu.
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