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Gabrielle
15/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une lueur d'espoir en ces temps troublés.
Le lecteur se voit propulsé dans un monde où le rêve et l'imaginaire sont présents en attendant non pas la fin d'un calvaire mais les retrouvailles entre êtres aimés. Merci à l'auteur(e) pour ce texte merveilleux dont le message est porteur d'optimisme. |
chVlu
16/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une ambiance ultra marine qui donne un air de vacances paradisiaques à ce confinement
Rêver de chez soi comme un ailleurs, j'ai cru assister à une évasion en soi. La poésie est légère évocatrice des pensées qui divaguent, de l'auteur qui rêvasse son texte! Tous les ingrédients ont paru bien dosés à ma lecture. Une petite oeuvre ouvragée sans trop en faire ! |
Corto
7/5/2020
a aimé ce texte
Un peu
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En lisant ce poème une question me vient: 'la poésie peut-elle tout ?'
Une voix intérieure me susurre "Non". C'est sans doute pour cela que je n'ai pas été captivé ni par le thème ni par le ton de ce poème. Il est très éloigné du ressenti, du réel même sublimé. Les images sont volontaristes sans être convaincantes. Que l'auteur me pardonne ma réticence. |
Provencao
7/5/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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"Ensemble nous inventons
En audacieux funambules Des orchestres qui conversent À travers les océans " J'ai beaucoup aimé le versant optimiste affirmant que l’histoire a un sens ; et que ce confinement indique les prises de conscience et de maîtrise croissante de l’homme sur sa destinée et celle de son espèce. C'est ainsi que j'ai perçu votre poésie. Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
7/5/2020
a aimé ce texte
Bien
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bonjour VictorO
comme sur une île isolée, nous voici prisonniers, mais sans geôlier...mais les temps modernes que Charlot eut apprécié, nous permettent de se voir sans se toucher, amis et famille éloignés... NB je préfère de beaucoup que l'on évoque la sentence, douce pénitence pour " favorisés de résidence ", mais difficile arrêt de la cour pour qui des murs de chambre sont l'unique décor ! l'on pourra deviser à épuiser des encres, sur cet état où l'on vit contraint... différemment pour citadin, campagnard ou logé dans une barre HLM ; différemment pour qui chôma contre son gré ; différemment pour qui travailla à nous sauver ; différemment pour qui la vie ne changea point, en ramassant poubelles, en veillant à notre protection... Le poème qui nous occupe ici est habilement tissé, et l'on se prend à jouer Robinson Crusoé sur un ilot chaque jour jusqu'au Vendredi... la vie s'égrène là au rythme de l'écran que l'on allume pour un coucou, jusqu'à demain... |
Davide
7/5/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour VictorO,
J'ai plutôt bien apprécié le lyrisme des trois premières strophes, la métaphore filée océane, naufragés en pleine mer, loin des terres rassurantes. Il aurait toutefois été possible de l'initier (cette métaphore) dès le début, ce qui aurait - à mon sens - accru la force du poème. Par exemple : "Le Temps a jeté son ancre Nous constituant naufragés Sur ces îles reculées Là où s'efface l'écume" Les deux premiers vers de la quatrième strophe (avec l'emploi du mot "raccrocher", trop familier dans le contexte, l'impératif "rappelons" et la locution "sans tarder") me sortent d'emblée du registre des premières strophes. En fait, le jeu de mot "téléphonique" me semble bien plat, sinon trivial, au milieu de cette évocation. C'est dommage, car j'ai trouvé belle la répétition des vers 3 et 4 pour emmener le vers final, isolé (lui aussi ! ;)). Merci ! |
Myo
7/5/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Un écrit qui ne m'a pas apporté grand chose.
Une lecture décousue, quelques formulations intéressantes : Le temps a fermé ses grilles Là où s'efface l'écume Parmi le sable des mots Mais d'autres qui me semblent mal choisies et ne mettent pas le thème en valeur. Nous "constituant" prisonniers Il faut "raccrocher" Mais "rappelons" sans tarder Désolée.. |
Robertus
7/5/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour VictorO
Je vois que vous avez soigneusement choisit de vous cantoner à des vers de 7 syllabes. Mais cette restriction est d'habitude récompensée par des rimes ou des sonorités truculentes. Or là je n'ai ressenti que la rigidité de la branche de l'arbre sans avoir pu y goûter de fruits. J'ai l'audace de penser qu'avec plus de liberté et de recherches sonores il m'aurait fait un tout autre effet. J'aime beaucoup le message du poème. |