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BlaseSaintLuc
7/1/2019
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ça me laisse sans voix , ce n'est pas magique , mais c'est frais comme l'air du large , l'évidente "courtitude" du poème n’échapperas à personne , c'est dommage, il y avait matière .
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Anje
22/1/2019
a aimé ce texte
Bien
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Contemporain.
Ni rime ni assonance. Il me semble que çà manque pour cette catégorie. Dans cette absence, pourquoi l'inversion du deuxième vers ? Je me souviens de deux enfants qui criaient du balcon : camion poubelle ! camion poubelle ! Mais je n'aurais pas imaginé en faire un poème. Bravo pour l'idée et bravo pour la chute qui m'a fait sourire. Anje en EL |
Bidis
22/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime beaucoup cette comparaison entre les mers et les villes.
Le poème est peut-être court, il n'empêche que l'impression qui s'en dégage demeure un long moment dans l'esprit et dans le coeur. |
Anonyme
22/1/2019
a aimé ce texte
Bien
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Un parallèle surprenant et original.
" les récifs urbains " " Les fiers marins des faubourgs " Un camion benne assimilé à une frégate ! L'humour est présent, pour une lecture sympathique. |
Robot
22/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Petit texte métaphorique bien troussé et évocateur. La comparaison pourrait paraître osée, mais vu par des yeux enfantins elle se conçoit. J'ai vu plus que de l'humour, un vrai regard poétique.
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papipoete
22/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour VictorO
Oui, p'tit nouveau, oh hisse et oh ! vous réussissez pour votre première parution une gageure ; celle de " faire " court pour dire toute un histoire ! L'histoire de ces " aventuriers " du petit matin, qui prennent la vague par tous les temps et font rêver les enfants à piloter ces camions, verts ou bleus qui zigzaguent entre les récifs " habités " ! NB chaque distique semble un flash, que cette frégate visite à tire d'ailes... Savez-vous que la " frégate " a 3 sens ? l'oiseau marin, le bateau, la Renault haut de gamme de 1950...? Mais chaque sens peut convenir à votre poème, pour peu que l'on vous lise, en fermant les yeux ! je suis ému de voir mis en lumière, ces travailleurs de la rue, sur lesquels flotte souvent le mépris ; mon petit voisin est de ceux-là, et quand il parle de son poste ( tour à tour ripeur, et conducteur ), je le vois très bien en héros de votre joli poème ! |
domi
22/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Original sujet... Comme quoi la poésie peut tout.
Merci pour ce regard d'enfant qui nous fait du bien, et merci pour cet hommage... |
Vincente
22/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des yeux d'enfant et des yeux de poète qui se racontent leur histoire et conjuguent leur regard. C'est sympathique, frais comme un grand espace et bien que dans un tout petit récit nous disent de belles choses.
Ça aurait pu être un peu léger, mais le mot qui révèle et élève l'ensemble arrive à la fin comme un point d'orgue improbable. Ce terme ingrat "éboueur" a ainsi l'honneur de grandir le récit. |
Anonyme
22/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour et bienvenue, VictorO,
Ça sent bon comme un fond de spray marin aspergé dans une benne. C’est beau, rapide comme un aller-retour de l’America’s Cup. Je comprends que vous ayez voulu tirer des bords avec des petits canots-distiques plutôt que de manœuvrer avec un seul voilier, ce qui aurait fait un peu Radeau de la méduse :) Du coup on se trouve devant un artifice un peu téléphoné, du genre j’en fais peu mais je l’étale. Cela n’enlève rien à cette imagerie populaire bien revisitée, comme une estampe de colporteur un jour de marché. L’épithète fantastiques sonne la charge d’un récit épique où les enfants ne sont jamais loin. Une belle allégorie de la compassion, celle qui se penche sur les gentils, mais aussi sur les ordures de nos villes :) Un équipier qui nous visite sur la pointe des pieds, poète et sympathique. Entrez, je vous en prie. Et je vous attends sur plus long, disons le Vendée Globe. FrenchKiss Piètre marin des estrans |
Annick
22/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La métaphore est originale et le regard neuf des enfants est comme une baguette magique : tout est beau, tout est sujet à s'émerveiller.
Peu à peu leur conscience s'éveillera et le carrosse deviendra citrouille, la frégate, benne à ordure. Mais le poème reste sur une note positive. Le conte se désenchantera bien plus tard... Merci pour ce moment de ravissement. Le charme opère ! "Les fiers marins des faubourgs Affrontent flots et saisons Et font rêver les enfants Qui les saluent aux fenêtres" |
Anonyme
23/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour VictorO
C'est un petit trésor, cette métaphore filée dans une atmosphère féerique. Bel éloge de ces hommes qui sont indispensables , ces "fiers marins" ou " aventuriers fabuleux". Merci pour ce partage. |
lucilius
23/1/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Il n'y a aucune allusion à une navigation maritime dans ce texte, mais plutôt la tournée d'un camion poubelle dans une zone urbaine intense. C'est en tout cas ce que je traduis dans le dépouillement de ces vers. De là à les apprécier au-delà de toute considération prosodique, il y a un grand pas.
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Eki
26/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Au clair de cette plume, un soupçon de magie, un peu de rêve sur l'ordinaire...saupoudrés sur le petit jour.
C'est frais, innocent comme une petite douceur sur la rumeur du monde qui s'éveille. Ben, vous savez quoi ? Vous m'avez menée en bateau entre les récifs urbains. Bienvenue Victor ! Eki sur son petit rafiot |
Stephane
27/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir VictorO,
Une poésie très touchante avec ces souvenirs d'enfance au gré des circonvolutions urbaines. C'est concis mais efficace. La ville et ses remous vus par les yeux d'un enfant, bravo. Stéphane |
Myndie
28/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Et dire que j’allais passer à côté de ce poème !
Il est bref, suggestif et colle vraiment très bien à l’immédiateté d’un regard d’enfant et à la fulgurance de ses attentions. Le sens des mots s’efface au profit des images. La ville, avec ses agitations, n’est pas montrée telle qu’elle est mais sublimée par la comparaison, idéalisée par la rêverie d’un gamin. Les allitérations en « f » qui parcourent vos vers et en créent l’effet rythme évoquent parfaitement le souffle du vent à travers des voiles et le bruit de l’eau. Un vers de plus à chaque strophe et vous nous offriez ces jolis éclairs poétiques qu’on nomme haïkus. Merci pour le partage. myndie |