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Vanessa
26/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Un tableau très touchant que de lire l'impuissance de ce soldat devant sa situation. On ressent une immense solitude. Une intimité partagée avec candeur. Merci. |
lucilius
29/7/2018
a aimé ce texte
Bien
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Abstraction faite de quelques fautes (orthographe, conjugaison) à corriger, ce texte écrit avec simplicité et justesse est agréable, hormis les deux derniers vers qu'une longue énumération alourdit.
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papipoete
31/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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néo-classique
" Monsieur le Président, je vous écris une lettre ... " pourrait être le but du mot que ce soldat écrit ; mais non, tout simplement, il a le coeur en berne alors qu'au ciel le soleil se pavane sur les " gentils " sur les " méchants " . Cette terre d'Afrique où la guerre l'a déposé, est pour lui tellement inospitalière et il songe à " sa " France, son village et sa douce chérie ... NB la tristesse du troufion est ici bien rendue, et ce mal du pays, de ses aimés, le pourquoi il est là avec son fusil, coule sûrement à l'encre d'un appelé à qui l'on ne demandât pas son avis ! J'aurais tourné le 12e vers d'une autre façon ( c'est mon seul bémol ) des hiatus, des rimes non alternées ( tout ceci est permis en néo-classique ), aussi vois-je cette forme réussie . papipoète |
Anonyme
2/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Vous relatez fort bien la souffrance d'un soldat parti contre son gré combattre en algérie et n'a qu'une hâte, partir rejoindre son pays, sa chère France. L'écriture est fluide, agréable à lire et le plus important y est : L' émotion ! Bravo et merci . Sympa. |
Anonyme
12/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Vincendix,
Relatant un exil forcé, votre poème, opposant deux lieux, m'a fait penser à Du Bellay. Sa simplicité fait mouche et transmet la nostalgie et la détresse du soldat. Certains vers me plaisent plus particulièrement : " dans ce morne décor je suis un étranger" et " Là-bas vers l'horizon dans un voile diaphane" . Merci pour le partage. |
Coeurdeloup
12/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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La souffrance du soldat parti contre son gré pour la guerre d'Algérie est exprimée avec simplicité, sans tremolos… "Pourquoi faut-il subir cette désespérance Si loin de mon pays en risquant le danger ?"
Je ne commenterai pas la forme mes connaissances en la matière ne sont pas assez "pointues"... mais j'ai pris plaisir à cette lecture qui m'a ramené à cette période où certains de mes amis ont dû eux aussi partir de l'autre côté de la Méditerranée. |
Vincent
12/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
j'ai fait la guerre d'Algérie dans l'Armée de l'air, je n'ai pas du tout ce genre de souvenirs on prenait des éclats de rires derrière les bars on buvait beaucoup on jouait beaucoup au poker bref c'était plutôt gai mais je trouve votre texte bien écrit et vous relatez bien vos impressions |
Anonyme
12/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Une belle et triste évocation poétique d'une histoire sombre du pays. Comme je vous comprends et notre belle France devait vous manquer. Mais, au moins, vous êtes revenus, vous, ce qui ne fut pas le cas de tout les jeunes de cette époque. J'aime bien le coté utopique par endroit de l'écrit : comme si l'on demandait aux soldats ce qu'il convient de faire. Oui, un beau texte, une belle réflexion sur un instant passé. |
leni
12/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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salut Vincent
un regard en arrière joliment présenté On perçoit la vanité des choses et surtout beaucoup de nostalgie Mais qui a décidé de me donner une arme, De m’envoyer ici sans aucun préavis ? Telle est la question ’aimerais le rejoindre et quitter l’Algérie, Retourner d’où je viens, sortir de ce conflit, Retrouver mon village et ma douce chérie, Mes parents, mes amis, mon travail et mon lit. J'aime ce dernier vers BRAVO SAUT AMICAL LENI |
Cristale
12/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Vincent,
Chaque vers souligne le désespoir d'un jeune soldat envoyé loin de chez lui les armes à la main. À l'époque du service militaire obligatoire, les pauvres garçons n'avaient d'autres choix que d'obéir aux ordres et bien souvent de servir de "chair à canons". Ceux qui en sont revenus portent les stigmates à jamais. Néo-classique, donc pour la technique je ne sais pas trop. Le poème est fluide, très agréable à lire et c'est l'essentiel. Merci à vous. Cristale |
Damy
12/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La colonisation amena à la guerre d'indépendance, effroyable de cruauté. Des autochtones, les harkis, s'engagèrent à nos côtés, il faut voir le sort qu'on leur réserve. Eux aussi doivent rêver à leur patrie.
J'ai vécu en Algérie après la guerre, dans les années 1970, au titre de la coopération technique et j'en suis tombé amoureux: la gentillesse des gens, la beauté des paysages, l'essence mystique du désert. Merci d'avoir combattu et risqué votre peau pour Elle malgré vous dans ce combat perdu d'avance et qui dura 8 ans. Aurait-il pu être évité ? Comme je vous comprends: "Retrouver mon village et ma douce chérie, Mes parents, mes amis, mon travail et mon lit." |
Robot
12/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce texte nous fait bien ressentir la solitude dés le 1er vers
"Assis sur un rocher je rêve de la France,". Le récit poétise sur l'environnement hostile: "Arbustes rabougris poussant dans les cailloux," "Tout là-haut dans le ciel, le soleil se pavane, C’est le maître absolu, il me brûle la peau," Les vers disent bien à la fois l'incompréhension, l'incertitude et l'impuissance d'un jeune garçon du contingent placé contre son gré dans cette situation. "Mais qui a décidé de me donner une arme, De m’envoyer ici sans aucun préavis ?" Son espérance en forme de souhait aussi exprimée par les beaux vers de la strophe finale. Je me souviens, j'avais 11 ans. Dans le quartier populaire où tout le monde se connaissait les gendarmes sont venus prévenir une famille de la mort de leur fils. Ils étaient nos voisins. Bien qu'étant enfant, je crois avoir pris conscience ce jour là de ce qu'était l'horreur de la guerre en étant témoin de la souffrance et du désespoir des parents de ce jeune homme et de ses plus jeunes frères et sœurs qui étaient mes amis. D'autant que l'un de mes frères était parti là-bas depuis peu. Votre poème m'émeut en faisant revenir à la surface ce souvenir tragique. J'ai toujours retenu en mémoire le prénom de la victime: Armand. |
Anonyme
12/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une période angoissante et très difficile pour un grand nombre de jeunes soldats français dont beaucoup ne sont pas revenus.
Avec simplicité et sincérité, l'état d'âme de la situation est bien rendu par l'auteur. " Mais qui a décidé de me donner une arme, De m’envoyer ici sans aucun préavis ? ". Ceux d'en haut, les décideurs, ne se sont jamais embarrassés de ce genre de scrupules. De tous temps, et ça continue.. " Je voudrais tant marcher sur ma terre fertile " Les environs de Bône n'étaient pas qu'une terre aride avec des " arbustes rabougris " ; il y avait aussi des vignes, des orangeraies ... |
izabouille
12/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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En lisant votre texte, j'ai ressenti la solitude et l'exil. J'ai aussi ressenti le fait d'être là où je n'aurais pas envie d'être, à faire des choses que je n'aurais pas envie de faire. N'ayant pas connu cette guerre, je ne peux qu'imaginer. Votre poésie rend beau un sujet qui ne l'est pas tant que ça, je l'ai vraiment apprécié.
Bravo |
wancyrs
13/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Vincent,
Une si belle complainte, si on peut dire ! C'est difficile le métier de soldat, et cette complainte le prouve. L'écriture est belle, fluide et simple. On se sent assis sur le rocher avec le soldat et on ressent ce qu'il ressent. Merci ! Wan |
Quidonc
13/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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La guerre d’Algérie. Gros sujet comme toutes les velléités humaines.
Mais sujet traité de main de maître. On ressent toute l’absurdité et l’incompréhension face à la guerre. L’auteur l’a vécue et on ressent Presque d’une façon matérielle l’hosti lité qui régnait à l’époque. Jusqu’à L’agressivité du soleil. Très beau travail de mémoire aussi. On doit se souvenir pour ne jamais recommencer. |
Vincendix
13/8/2018
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Miguel
20/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le vers 12 manque de grâce. Pour le reste, quand je me rappelle le stress que ce fut d'aller effectuer mon service militaire en temps de paix à cinquante kilomètres de chez moi, je comprends ce que peut ressentir ce soldat d'Algérie (on en a en outre tant de témoignages de proches...) Mais ce soldat prend une dimension universelle et son cri de détresse et de révolte est une dénonciation de la guerre : tout le prix de la vie apparaît dans ce quotidien, dans cet ordinaire dont il rêve à présent.
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Ioledane
31/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Ce texte me touche par sa simplicité ; l'incompréhension et le désarroi sont clairement exprimés, sans affectation.
Les rimes "arme / gendarme" et "préavis / avis" sont discutables ; le reste est plutôt bien composé. "Tout là-haut dans le ciel, le soleil se pavane" : je trouve ce vers particulièrement poétique, il dénote même un peu par rapport à la tonalité de l'ensemble, mais je trouve cela bienvenu pour éviter la platitude. Le dernier vers, très 'haché', clôt le poème de manière solide et appropriée. |
BernardG
28/10/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un poème qui fait écho à la chanson de Boris Vian....Par le thème évidemment mais aussi par l'efficacité du vocabulaire où chaque mot délivre un message clair sans ambiguïté. Tel Paimpol, sa falaise,la paimpolaise qui attend au pays breton, j'ai beaucoup aimé la chute de votre poème. Merci pour le partage Bernard G |