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StayinOliv
13/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup aimé votre poème, beau et comportant des mots que l'on a pas l'habitude de trouver dans un poème d'amour ( kama-sutra, monoi et patchouli ). Tout est facilement compréhensible et se lit très agréablement vers après vers. Qu'elle bonne idée d'avoir engagé le thème de l'érotisme qui pimente et ne rend pas pathos ce genre de poème. J'ai été par contre un peu déçu du dernier vers, la mer du plaisir, un peu cliché pour ma part, je pense que vous auriez pu trouver mieux, mais bravo !
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Lulu
16/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
je ne suis pas particulièrement touchée par le fond, mais je trouve que c'est formidablement bien dit. L'écriture est fluide, plaisante ; le jeu des rimes satisfaisant. On pourrait entendre ce texte à haute voix, sans qu'il ne dégage de fausses notes. Le ton est tout à fait agréable. Je me suis arrêtée au mot "virago". Je l'ai trouvé pour le moins inattendu, surtout avec le démonstratif "cette" qui rend le terme d'autant plus péjoratif. Mais je ne me suis pas attardée sur le fond que je n'ai pas particulièrement aimé. Je me dis que l'auteur sera peut-être une prochaine fois mieux inspiré, ce que je lui souhaite, car la forme est superbe. |
GilbertGossyen
23/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Vous avez son adresse ?
Votre poème donne envie de la connaître. J'ai bien aimé ce texte, plein d'humour. Merci |
papipoete
24/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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néo-classique
Un soir de solitude, vous faites la connaissance de cette Alice aux allures masculines, qui, du kâma-Sûtra est une infatigable et merveilleuse adepte . Vous en goûtez les délices, mais la dame volage, ne s'attache point à ces amants de passage, et vient le jour où vous n'êtes plus le bien-venu à sa " table " . Vous aussi cher poète, me paraissez infidèle, pour n'avoir qu'une envie ; celle de retrouver votre " sybarite " . NB le 7e vers mesure 11 pieds le 15e me semble bancal ? papipoète |
Anonyme
8/4/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
Une fois n'est pas coutume , je suis tombé sous le charme de votre poème , tant sur le fond que sur la forme. Merci à vous pour cette agréable lecture. |
Anonyme
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut Vincent ! Perso, j'aime et le fond et la forme...
Pour ce qui est de la forme, juste deux petites remarques : - Mais j’avais tant besoin de vive chaleur, ... Ce vers ne comporte que onze syllabes et casse un peu la lecture tout en étant facilement modifiable. -Ensuite ça serait bien d'éviter "monoï et patchouli", hiatus un peu trop visible. Pour ce qui est du thème, c'est très bien enlevé, plaisant sans jamais tomber dans l'outrance et la chute est à la hauteur de ce qui précède... Reste à savoir ce qu'en pensera Madame Vincendix si toutefois cette série de quatrains, écrits à la première personne, concerne leur auteur... ce que ce texte ne dit pas ! Un excellent poème auquel il en faudrait peu pour jouer en Classique... mais qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'Alice ! Bravo et merci pour cette lecture matinale et revigorante ! Edit... OK pour le vers 7, je n'avais pas vu ton forum ! Par contre, hormis le fait que ce texte est proche du classique et que pratiquement toutes les rimes sont riches, je ne vois pas où se situe la particularité à laquelle tu fais allusion. |
Gemini
8/4/2016
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Drôle de texte qui parait justement alors qu’on vient de légiférer sur le sujet : http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/04/06/prostitution-le-parlement-adopte-definitivement-la-penalisation-des-clients_4897216_3224.html
J’espère que votre pseudo vous couvrira suffisamment. J’ai apprécié l’image « avoir de l’envergure » que Bérurier aurait présentée autrement, et les références ; celle d’Alice de Lewis Carroll, et celle du « plaisir d’amour » de Florian qui sont peut-être éloignées du sujet, alors que celle « Sybarite » peut faire penser à Baudelaire et me parait plus en rapport. Ma lecture aura été aussi agréable que le fut votre souvenir. PS Je devine un jeu de mots dans le titre, mais bon, j'hésite à dire si ce n'est pas juste un recherche d'allitération.. Moi, j'avais déjà en carton: La chair est fable |
troupi
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Vincendix.
J'ai apprécié votre poème mais sans pouvoir expliquer pourquoi je me le suis chantonné sur un air de Brassens ( plutôt dans son style dont je suis un inconditionnel. ) et ça lui va comme un gant. Sans doute étiez-vous à cent lieues d'imaginer cela au moment de l'écriture mais j'ai trouvé amusant de vous en faire part. Bonne journée. |
Arielle
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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"La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres.
Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres" Mallarmé déjà était l'amant de cette Alice si bien campée, bottée de hauts alexandrins et joliment corsetée de rimes irréprochables. Serait-elle une allégorie de la Poésie exigeante et triomphante qui malmène son poète pour notre plus grand plaisir ? Vincent, tu n'as pas perdu l'adresse de cette fière dame ! |
madawaza
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour VINCENDIX
J'en ai connu des Alices et j'ai toujours eu grand respect pour ces sybarites... C'est bien de leur rendre grâce à travers ces jolis vers. |
Anonyme
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour VINCENDIX
J'ai toujours aimé les "syb Alices" De très beaux vers pour les remercier ne peut que me ravir. Bravo |
lala
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Vincendix,
Virago et sybarite... Tout un programme ! Sur le fond, je trouve beaucoup de respect, de nostalgie, de tendresse dans votre texte. La prostitution, mais pas côté glauque. Des répétitions évitables (était dans le deuxième quatrain et avoir dans le quatrième, étais dans le cinquième), ces verbes avoir et être pourraient laisser la place à un vocabulaire plus riche. Une lecture plaisante, rythmée, qui renvoie des parfums d'authenticité, en plus du patchouli ! |
Anonyme
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir Vincent
Alice a laissé son empreinte ....et le souvenir de toutes ces merveilles doit en faire saliver plus d'un ! Heureux Vincent qui a trouvé grâce à Elle un pays de plaisir et de jouissance:)) Je la trouve attachante d'ouvrir la porte de son jardin des délices en même temps elle doit être épuisante ,quoique c'est une belle philosophie puisqu'elle apprend à se surpasser !Donc le chemin de la connaissance passe par les voies d'Alice ...Bravo ! :-) Pour moi ce sont vos quatrains qui m'ont plongée dans le plaisir ! Tout y est ....belle écriture et belle histoire |
Anonyme
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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" Pourtant son souvenir hante toujours ma vie," Je veux bien croire que ce genre de souvenir soit toujours présent.
" Elle a dans les ébats des goûts de sybarite" ca ne peut s'oublier. '' j'ai dû faire une croix sur mon abonnement." J'aime bien " Il faut se surpasser, avoir de l’envergure, Pour expérimenter figure après figure De ce Kamasutra, son livre de chevet, Et de la gymnastique en avoir le brevet " mazette !! |
Teneris
9/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un dicton ma trotté en tête pendant ma lecture : « le cœur a ses raisons que la raison ignore ». Peut-être car, à la manière d'un dicton connu de tous sans pour autant perdre son sens, ces vers nous offrent un point de vue original et plein de sensibilité, d'un charmant parfum de nouveauté mêlée d'impertinence. D'une écriture simple mais puissante, joliment rythmée et mélodieuse, ils parviennent à nous donner l'illusion de connaître cette femme à travers le regard du narrateur, nous la faire aimer malgré - peut-être à cause de - son aspect fuyant, insaisissable. Si, comme le soulignait Rousseau, le désir, plus que sa réalisation, rend une chose aimable, cette Alice doit tenir ses liens bien des cœurs, ce que ce poème esquisse avec une superbe force suggestive.
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Francis
9/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Alice déguisée en mante religieuse laisse des cicatrices sur le corps ou le cœur de ses proies. Malgré l'attrait du pays des merveilles ou du septième ciel, faisons une croix sur le kamasutra. J'ai apprécié la qualité de votre plume.
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Curwwod
14/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoup de verve et d'humour dans cette poésie qui ne se prend pas au sérieux, affecte un ton détaché pour évoquer une situation peut-être pas si anodine que cela. N'y a-t-il pas au fond chez le locuteur une blessure maquillée en légèreté et en autodérision ?
Cette dernière strophe en italiques ne dissimule-t-elle pas un aveu bien plus sincère qu'il n'y parait sous des dehors de pirouette? Je me plais à le croire. |
francissicard
21/4/2016
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L'élégance et la nette facture du texte ravit. Bravo
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