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Queribus
29/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Tout d'abord une prosodie irréprochable apparait dans ces vers qui font que le poème aurait pu être classé en catégorie néo-classique. Bravo pour cet aspect là. Le fonds, quant à lui, se laisse laisse lire facilement, n'étant pas trop long et d'un abord assez facile. La parallèle entre Verlaine et Rimbaud me semble une excellent idée. Le tout se termine par un e note d'optimisme: "Mais le plus grand trésor reste la liberté". En conclusion, ce poème me semble une belle réussite et un modèle à suivre. |
Anonyme
8/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Parallèlement à une lecture agréable aux belles images, une petite révision des oeuvres de deux immortels de la poésie.
" Mais le plus grand trésor reste la liberté." |
papipoete
8/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Vincendix
étant plus féru d'électronique, de guitare électrique, je ne pourrai hélas point dire si ces vers ( à part le dormeur du val ... qu'on m'a volé d'ailleurs ! ) évoquent tel ou tel grand auteur ! ( mes points forts riment avec " ique ", mais guère avec les grands classiques ! ) Mais je vois tout de suite, que " c'est bien du vincendix " ! C'est justement la 3e strophe qui m'éblouit particulièrement, me fait songer que l'on découvrira toujours, à l'orée d'un bois de Haute-Saône, sur une plage de Méditerranée ... une femme, un enfant qui dort . " les laboureurs du vent ", très joli ! et le dernier vers, mériterait une rédaction à lui-seul, sur lequel pourrait se pencher celui pour qui " ça coule de source ! pourquoi, ya des endroits où liberté n'existe pas ? " Néo-classique parfait selon moi . |
leni
9/7/2018
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Passionnément ↑
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BONJOUR Vincent
TU ES LE MÄÏTRE du suggéré qui souvent est bien plus que le dire et pour t'exprimer tu n'élèves jamais la voix tes images sont fortes elles font souvent allusion à des faits relativement récents Montrant bien que tu es de ton époque Le cri de désespoir devient une prière, Une oraison du soir aux bannières de mai, Devoir de mémoire peut-être pas mais joli coup de pinceau impressionniste Et maintenant ces vers somptueux Quand le dormeur du val meurt dans l’indifférence, La tristesse s’accroche au tronc de l’amandier, C’est le bal des pendus, souvenir de la stance, Des adieux à la mer, le jugement dernier. en suite tu m'as mis ko avec un cèdre du LIBAN et avec ta finale mais le plus grand trésor reste la liberté non ce n'est pas un bordeaux frelaté que tu nous offres AMI VINCENT c'est un saint Julien qui sent le Havane et le vieux cuir je viens de passer un moment d'exception et je t'en suis reconnaissant J'ose te dire que je suis tristounet Tu n'as pas commenté mes derniers textes AMITIES mon AMI LENI |
Anonyme
9/7/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Votre poème est excellent tant sur le fonds que sur la forme parfaitement maitrisee
Bravo cher poète et merci ! Et....vive la liberté! |
Cristale
10/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une palette poétique où, à chaque touche, les couleurs Lamartiniennes et Rimbaldiennes ne se superposent pas, non, mais se fondent harmonieusement sur la toile.
Nous sommes en néo-classique donc je ne chipoterai pas en ce qui concerne la prosodie... (qui a dit "ouf!"...?) L'ensemble est fluide, musical, j'applaudis l'auteur en reconnaissant le travail et le soin apportés à cette jolie composition. Bravo et merci Vincent. Cristale |
Vincendix
13/7/2018
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Miguel
15/7/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'arrive un peu "après la bataille" (mais il n'y a pas eu de bataille) pour émettre un commentaire qui n'apportera rien à ce qui a été dit ; mais enfin je le fais comme un "billet d'humeur", je crois qu'on dit ainsi dans le monde de la presse.
Pourquoi faut-il que Rimbaud vienne me gâter Lamartine ? Ce dernier est notre plus grand "classico-romantique", et à ce titre il réunit mes deux passions poétiques. Je le vénère et suis allé me recueilli sur sa tombe. Rimbaud est le fondateur de la poésie moderne, et c'est grâce à lui que depuis plus d'un siècle on ne comprend rien à la poésie et que le public s'en est éloigné. Bien sûr il y a Le Bateau ivre, Le Dormeur du val, les Effarés, et quelques autres, mais allez vous farcir Les Illuminations et Une saison en enfer et nous en reparlerons. C'est encore pire qu'Eluard. |
Tychillios
15/7/2018
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Modéré : commentaire non argumenté.
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Kherza
10/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un beau chant exprimant la tristesse de l'époque révolue dans un monde qui paraissait alors plus magique et peut-être aussi plus attrayant... J'ai beaucoup aimé l'énumération "lamartienne" de l'avant dernier quatrain. Merci!
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