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inconnu1
12/9/2021
a aimé ce texte
Bien
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Visiblement une volonté de bien faire, une belle histoire mais je retiendrai surtout plusieurs imperfections
- C'est un détail mais Lisa Minelli ne s'appelait pas Elsa. Le changement de prénom est-il volontaire? - Vous changez régulièrement de règle en ce qui concerne l'élision des e muets. Parfois, il faut les prononcer (lune rose, ils rentrent fatigués), mais la plupart du temps, il ne faut pas les prononcer pour rester dans des dodécasyllabes. C'est très compliqué pour le lecteur de s'y retrouver et on doit s'arrêter à chaque vers. Cela nuit nettement au rythme de la lecture et, pendant qu'on s'arrête sur la forme, on en oublie le fond. - Dans la 5eme strophe, Petit Prince rime avec... son prince. Personnellement, je trouve que ces points seraient à améliorer pour que l'on apprécie à leur juste valeur les efforts que vous avez faits et pour apprécier le rythme de la poésie Bien à vous |
Cristale
23/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un poème contemporain que, malgré le respect aléatoire volontaire des règles de versification, j'ai lu comme le texte d'une chanson.
L'auteur a fait le choix de n'accompagner ses vers d'aucune ponctuation et c'est justement ce point précis qui est remarquable car le rythme lui-même impose naturellement la respiration du lecteur/auditeur. Une palette de mots en couleurs posés en touches légères où se rejoignent poésie, chanson, peinture et c'est au final original et très joli. Merci Bipol. |
Corto
23/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Bipol,
J'avais remarqué en Diaponiris la photo de ce tableau que j'aime bien. Une plongée dans l'impressionnisme avec un salut respectueux à Monet. Bien sûr les deux papillons paraissent gigantesques, mais puisque le poème sera en leur honneur... La première strophe est très poétique et j'apprécie beaucoup "près de la lune rose ils ont des sentiments". Dès lors l'imaginaire est ouvert. Après, je saute volontiers vers la dernière strophe pleine de joie, d'énergie, d'amour encore "et pourtant ils sont vieux". Je vois l'ensemble comme un rendez-vous où l'on admire, on partage quelques moments de bonheur, avec des évocations multiples qui partent un peu dans toutes les directions. Peu importe si l'on sait que les papillons ne vivent pas très longtemps. Bravo. |
Vincent
24/9/2021
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Cyrill
24/9/2021
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bonjour Bipol,
J’ai lu ce poème comme on boit à une source bienfaisante. On est dans le merveilleux, les papillons s’enlacent et c’est le soleil qui est amoureux… de la lune rose peut-être ? On continue dans un foisonnement de couleurs avec les nymphéas, on danse avec Astaire et Minnelli, il y a de la musique et les paillettes de Hollywood, plein les yeux j’en ai eu ! Et puis toute une vie passe mais ces deux-là s’aiment encore et toujours. Et je ne peux m’empêcher de voir des papillons géants et fripés, restés enfants à jamais ( et c’est ce qui les rend si attachants ), dans un bouillonnement permanent ( le tourbillon du manège ), et dans ces mots sans doute volontairement brouillons, ce langage parlé, sans ponctuation, comme écrits sans lever la plume (du moins est-ce l’impression que j’en ai). Bravo et merci pour le voyage. |
papipoete
25/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour bipol
Des papillons dansent, batifolent sous le vent, se posent aux nymphéas et dansent Fred Astaire et Liza Minnelli, virevoltent sous un réverbère tout près d'un manège à chevaux... NB un poème à lire en chantant, sans faire attention à ce verbe absent, ce C.O.D. imaginaire et se voir à Giverny, puis se transporter à Paname, et danser dans un tourbillon sans cotillon, alors que le Petit Prince s'émerveille... Des vers comme jetés sur une partition, où les notes de musique règlent une chorégraphie, où la ballerine est libellule ou... papillon. Comme tout est léger comme plume, " coléoptère " fait un peu trop sévère ; mon seul bémol dans cette chanson muette, qu'on improvise au gré des vers... |