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izabouille
23/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le texte est très beau jusqu'à:
"cet autre dans ton âme hors de toi disparu que tu trouvais infâme si souvent malvenu celui qui faisait peur n'est plus à demeure il n'était qu'un enfer qui retourne à la mère" Je trouve que ça ne colle pas avec ce qui précède, et je ne comprends pas ce que signifie 'il n'était qu'un enfer qui retourne à la mère'. Cette fin me laisse perplexe par rapport au reste. Ou alors s'agit-il de quelqu'un qui est réellement "habité"... Je ne comprends pas non plus pourquoi le narrateur dit "ce désir fou enfin était entre VOS mains" alors qu'il utilise le tutoiement tout le reste du texte Le premier couplet est très beau, notamment la partie "tu construisais ta toile pour t'en servir de voile", il invite au voyage mais j'ai l'impression qu'il finit mal. Merci |
Anonyme
25/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai écouté le morceau en lisant le texte. J'aime beaucoup la musique, son rythme global, ses changements de tempo. L'interprétation aussi est agréable à découvrir avec l'écho qui accompagne certains couplets. Le texte en lui même est plaisant et bien réalisé, seul le dernier vers me semble moins pertinent. Merci du partage Éclaircie |
Queribus
29/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des mots simples pour parler de la vie avec les rimes heureuses de la poésie néo-classique. Un beau moment d'écriture; de plus, la musique m'a enchanté et j'ai cherché à en deviner le rythme( Je pense qu'il s'agit de la calypso ou de quelque chose comme ça).
Quoi qu'il en soit, j'ai passé un agréable moment à vous écouter. |
leni
29/8/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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c'est du travail de pro
Le texte est simple Les images sont belles à loisir n déroulant ta vie sur le fil des espoirs Ce début en est un exemple à l'horizon de toi VOICI l'image qui me plait le plus dans ta barque avançant enfin dans le même sens Ce texte est léger il coule de source Venons-en a la musiq j'ai reconnu mon Ami MICHEL C'est merveilleux J'adore les échos de voix CHAPEAU Bravissimo LENI réunis vers l'avant Voilà qui est bien dit |
LylianR
11/9/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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L'intro est magnifique, la musique est comme une ritournelle un peu entêtante qui vous happe.
J'ai aimé l'écho, comme un double de soi, "cet autre dans ton âme". La chanson est simple et agréable à écouter. Le couplet que j'ai le plus apprécié : En déroulant ta vie sur le fil des espoirs pendant des décennies inventions de tiroirs tu construisais ta toile pour t'en servir de voile tu y voyais ton être à travers ta fenêtre |
Anonyme
11/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il ne faut pas se contenter d'une seule lecture afin de bien percevoir le fond de ce texte.
Une sorte de dualité, la présence de " L'autre " dont la dernière strophe nous fait comprendre que l'auteur s'en est enfin débarrassé. " cet autre dans ton âme hors de toi disparu que tu trouvais infâme si souvent malvenu celui qui faisait peur n'est plus à demeure " De bonnes images telles que : " En déroulant ta vie sur le fil des espoirs " " tu naviguais le soir ton cœur en incendie à l'horizon de toi " "dans ta barque avançant enfin dans le même sens " Une mise en musique intelligente, sur un tempo léger de rumba. Bravo à vous deux. |
papipoete
11/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour bipol
une chanson pour dérouler le fil de la vie, peut être sérénade, peut être ritournelle sur une eau de Nogent, et pourrait être un hymne sur une galère ! Là, le héros en a fini de vider ses tiroirs d'hier, et " dans le même bateau ", il et elle regardent devant comme Jack et Rose en proue du Titanic ! Et pour mieux affirmer cet accord, le chanteur propose un écho ... qui lui répond ! L'air est enjoué, et j'ai même perçu un solo de guitare électrique, qui me ravît ! la conclusion a bonne moralité ; il ne faut jamais désespérer de l'homme ... il peut nous épater ! |
Bidis
11/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce que raconte ce poème m'interpelle et me touche. De très jolies images, des mots qui me parlent. Quel dommage : par deux fois, le rythme fut rompu.
-"c'était ton rêve d'"enfant", sept pieds soudain et cela aurait été parfait si tous les derniers vers avaient eu sept pieds. - "n'est plus à demeure", et là cinq pieds au contraire, je ressens encore plus la rupture. Mais tout de même j'aime beaucoup. |
jude-anne
12/9/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Traiter d'un sujet lourd sur un air léger en utilisant des mots simples,c'est la complexité de l'art populaire.
Un pari réussi pour cette chanson. J'ai particulièrement aimé : "Balançant tes mémoires au vent des utopies" et surtout cette dernière phrase : "Il n'était qu'un enfer qui retourne à la mère" Moi aussi je rendrais bien à ma mère un peu de l'enfer qu'elle m'a fait vivre. Dans l'imaginaire collectif une mère ne peut être qu'amour et bienveillance. Pourtant les cas ne manquent pas dans les faits divers... Et les enfants maltraités deviennent des adultes névrosés voire psychotiques qui traîneront leur triste enfance toute leur vie comme un boulet à la patte. Merci beaucoup |
Vincent
12/9/2018
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Provencao
18/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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"cet autre dans ton âme
hors de toi disparu que tu trouvais infâme si souvent malvenu celui qui faisait peur n'est plus à demeure il n'était qu'un enfer qui retourne à la mère" J'ai beaucoup aimé cette strophe où le sujet ici ne jouit pas d’un trop-plein de l’image, sidéré par le manque dans l’image il s’engouffre dans l’autre. Cette sublimation à mon sens pose question: est-ce à ce prix que le masochisme détourne l'être d'une menace de l'autre? Au plaisir de vous lire Cordialement |