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Papillon26
5/4/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonsoir,
Je suis la première à commenter votre texte, et c'est "ma première" dans cet espace. J'aime assez vos ciseaux, qui découpent une version du monde plus beau. Cependant, je pense que ce vers : et enfin en ensemble ; comporte une erreur de forme. Pour moi, "en ensemble" ne signifie rien. |
Brume
9/4/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour
Je ne comprends pas ce découpage. Le rythme manque cruellement de fluidité. La forme entrave la légèreté du fond. Dès la 1ère strophe ma lecture est freinée dans son élan. Je vous propose : -" Avançant sur les traces de ce ciel incertain " C'est vraiment dommage car le fond invite à la rêverie. C'est beau. Votre poème aurait pu être léger comme une bulle. |
papipoete
10/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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libre
ça y ressemble, mais n'en sont pas, des haïkus ; ces mini tercets tels " petites mains ", découpent et façonnent le vélin jusqu'à la création ... d'un papillon . NB le costume " du dimanche " naît de doigts de fée, sous la plume d'un artiste maniant les couleurs, et les formes géométriques, jusqu'au ravissement quand enfin pour le jour " J ", il est prêt et resplendit ! papipoète |
Anonyme
23/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Idée originale que ces '' ciseaux " qui " découpent des rêves aux charmes envoûtants " puis " quelques coups précis
dans le génie des courbes " afin de créer un papillon de ciel. J'ai bien aimé. |
Robot
23/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Rien que pour la vision originale je trouve que ce texte a de l'allure. Aprés une entrée ordinaire l'ensemble des strophes présente une poésie qui sort du libre formaté. Un texte bien conduit qui nous parle de la création artistique.
Ce découpage m'a fait penser à l'art du jiànzhï chinois appliqué à la poésie. |
Marite
23/4/2018
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A première vue de ce texte la similitude des strophes donnent l'image d'une poésie mais, à la lecture le découpage excessif des vers m'a déroutée et j' en ai perdu le fil. Le souffle ne s'accorde pas aux images évoquées. C'est dommage.
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Anonyme
24/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je n'ai pas vraiment aimé ces "aller à la ligne" pour un oui pour un non constant. Ce découpage "intense", endommage de beaucoup la limpidité de cet écrit.
Pour ma part, j'ai lu votre écrit, en faisant abstraction d'une partie, de trois, je suis passé à deux pour les premières strophes, et trois au lieu de cinq pour la dernière strophe ainsi "Les ciseaux", s'expriment bien mieux, ils n'ont pas besoin de tout cet "emballage". Vos images diverses, sont légères, sensibles, touchantes, il y a une intéressante cohésion dans leur descriptif, une invitation à la rêverie. Un peu de mal pour "en ensemble" mais rien de bien méchant. |
Lulu
23/4/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Bipol,
J'ai bien aimé ce poème, même si je ne l'ai pas trouvé extraordinaire. J'ai été un peu gênée par le découpage des vers, mais cela va bien avec le thème du texte. On découpe à la fois les images et les mots... J'ai particulièrement apprécié les trois dernières strophes, plus libres et plus aériennes, je trouve, que les premières. "le génie / des courbes" : cela est très beau, plus suggestif, comme je peux l'apprécie dans ce type de poème. Puis, l'arrivée de la dernière image, bien belle, clôt à merveille l'ensemble. Bonne continuation. |
leni
23/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Avançant sur les traces
dans ce ciel incertain ils découpent des rêves aux charmes envoûtants le ton est donné j'ai aimé ta façon de dire Et j'ai vu un papillon s"envoler BRAVO |
Vincent
24/4/2018
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Ombhre
26/4/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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un rythme original et prenant, et on dégringole tout au long du poème pour arriver à la chute, tout en douceur. Une belle vision, et le charme du papillon qui s'envole. Bravo !
Une réserve toutefois sur: des morceaux de l'espace envahissent la lumière J'ai trouvé la formulation plus lourde et moins musicale que le reste Merci pour le partage. Ombhre. |
Gabrielle
27/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Dans ce poème, je note la présence de nombreux termes se rapportant à la terminologie de la vie : "rêves", "lumière", "jour", "vie" comme une ode à la vie.
Le tableau de maître prend forme et prend vie lors de la chute. Excellent partage. Cordialement. Gabrielle Michel |