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Geigei
6/7/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un voyage, des lieux classés au patrimoine mondial de l'Unesco au plus profond de l'intime.
"La passion de chacun" est une expression délicate pour dire le lien entre la spiritualité et la fabrication du beau. Avec un rappel sans majuscule : "menant au paradis". Suivent les images, un peu carte postale, des charmeurs de serpents pour le Maroc et Botticelli pour Florence. Dans "Leur union ouvre en moi ce fabuleux sésame " le mot-clé est bien union. L'Orient et l'Occident réunis par le beau. Merci pour ce voyage. |
Provencao
6/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Vincent
J'aime beaucoup cette passion de la vie vibrante en ces lieux magiques, qui restitue l’écho oublié du tourbillon qui immortalise l'âme. En son éternité, votre poésie est « un fabuleux sésame »,avec cette vitalité jusqu’au bout parcourant dôme et minaret. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Mintaka
6/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Vincent,
Un très joli moment de poésie, tendre et intime comme parlé à soi-même. Une balade méditerranéenne qui nous emmène visiter deux belles cultures bien différentes. J'apprécie beaucoup le ton, le rythme, en bref la poèsie qui se dégage de votre texte. Merci Vincent pour ce partage. |
Marite
6/7/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Très beau poème dont les images évoquées ont fait voyager mon imaginaire. Il est comme cela des lieux qui éveillent nos sensibilités en offrant la possibilité d'allier leurs particularités. Petit bémol à la lecture car, instinctivement j'ai lu : Le dôme et le minaret ... La terre, le soleil et le vent ... sans doute la volonté de respecter le rythme des alexandrins a conduit à supprimer les articles devant minaret puis soleil et vent.. Je pense que la poésie contemporaine offre la possibilité de se départir des règles parfois contraignantes de l'écriture poétique classique.
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Quidonc
6/7/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Ce poème explore le thème de l'union entre deux villes qui représentent respectivement l'Orient et l'Occident. Le poète utilise des images évocatrices pour décrire la beauté de ces deux endroits et comment ils se fondent harmonieusement dans son cœur.
L'utilisation des contrastes, tels que les rayons de soleil qui s'entrelacent et les dômes et minarets veillant sur les humains, crée une atmosphère poétique et romantique. Les références à la nature, telles que la Palmeraie et la Toscane, renforcent cette idée d'harmonie entre les deux cultures. La bipolarité mentionnée dans le poème peut être interprétée comme une dualité intérieure, où le poète se sent à la fois attiré par les influences orientales et occidentales. Ce thème de choix d'identité est intéressant et peut susciter une réflexion plus approfondie sur les influences culturelles et personnelles. La description des danseurs, des charmeurs et de la Vénus de Botticelli apporte une dimension artistique au poème, mettant en avant l'expression artistique des deux cultures. Les tapis, les vitraux et les fragrances ajoutent également une touche sensorielle, créant une atmosphère riche et vivante. Le dernier vers, "Leur union ouvre en moi ce fabuleux sésame", laisse entrevoir une ouverture vers un monde merveilleux et mystérieux. Cela suggère que l'union de ces deux cultures ouvre des portes vers de nouvelles possibilités et expériences. Cependant, un point à prendre en compte est la cohérence de la structure et de la métrique du poème. Par exemple, certains vers peuvent sembler un peu longs ou avoir une structure rythmique inégale, ce qui peut affecter le flux et la musicalité du poème. En révisant ces aspects, le poème pourrait gagner en fluidité et en harmonie. |
Cristale
6/7/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime beaucoup
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Bonjour Vincent,
Les anaphores en alternance apportent ce supplément visuel et musical particulier. J'aime bien l'absence de ponctuation en fin de vers et de quatrain, une originalité, une prise de liberté qui me séduit. J'aurais préféré une alternance féminine masculine en ce qui concerne les rimes et des alexandrins mieux construits mais cela ne correspond peut-être pas aux goûts de l'auteur. La musique et les couleurs de ce poème trahissent agréablement le talent du parolier peintre et poète. Joli mariage que ces deux villes splendides et jolie façon d'en offrir les images. "Marrakech et Florence, ma bipolarité Reflet de l'au-delà, mes Orient-Occident Carrefour de ma vie et choix d'identité Ce sentier d'univers me guide à chaque instant" |
AMitizix
7/7/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour,
Je n’ai pas spécialement aimé cette poésie, sans la trouver mauvaise pour autant. Disons que, globalement, je suis resté assez indifférent. Pour commencer, la forme choisie pour ce poème m’étonne un peu : en effet, les alexandrins font souvent un peu plus de douze syllabes (ce qui fait que ce ne sont plus des alexandrins d’ailleurs). Je trouve cela un peu gênant car, sans préjuger des intentions de l’auteur, la présentation du poème incite à lire en respectant les règles de prononciation classique (notamment les « e » muets ou sonores, ou les terminaisons qui se prononcent), et leur non-respect défigure un peu le poème et entache beaucoup sa fluidité. Ainsi, il me semble que le poème prend trop de liberté par rapport aux règles classiques dont il tente pourtant de conserver l’esprit par l’adoption des alexandrins ou de la rime. De plus, le non-respect du compte des syllabes n’est pas qu’un point de détail sur la forme (qui, finalement, m’est plutôt indifférente quand il s’agit d’apprécier un poème, en tant que critère particulier, même si elle pèse bien sûr sur le ressenti) : il gêne vraiment la lecture. Passé ce désagrément, j’ai relu en prononçant « dans l’esprit de l’auteur », pour respecter l’alexandrin. Peut-être que cet emploi irrégulier de l’alexandrin, d’ailleurs, est voulu ; mais dans ce cas, son objectif, qui m’échappe, n’est pas atteint en ce qui concerne ma lecture, qui en fut compliquée sans regagner ce désavantage sur un autre domaine. Peut-être (je ne fais que supposer) que ce mode d’expression convient mieux à l’auteur, qui juge qu’il peut exprimer plus en respectant moins ces règles (ce qui est l’objectif du néo-classique) : en ce sens, je suis d’accord avec lui ; mais je suggère alors, soit de s’émanciper totalement du cadre classique, soit de revenir à une application un peu plus rigoureuse de ces règles, au moins en ce qui concerne le respect du nombre de pieds des vers. Toujours en ce qui concerne la forme, la ponctuation irrégulière m’a parfois semblée bizarre, voire arbitraire : on ne trouve une virgule qu’à l’hémistiche du dernier vers de certains quatrains, sans que je comprenne ce qui motive cet ajout (ou cette omission si on considère le point de vue inverse). Ce détail, toutefois, ne gêne pas trop la lecture. Pour ce qui concerne l’esprit du poème, les descriptions, je n’ai généralement pas été touché par les mots de l’auteur, les images évoquées ne me semblant souvent pas assez puissantes ou ancrées dans le poème. En ce sens, elles m’ont paru trop légères. Cependant, j’apprécie quand même cet « aperçu d’horizon », en regrettant qu’il ne soit pas plus développé ou plus percutant. Plus entraînant, en somme, pour voyager plus loin. Je remarque aussi certaines formules qui m’ont beaucoup plu, malgré les imperfections pour la prosodie, et notamment les deux premiers vers « Marrakech et Florence sont mariées en mon cœur/Leurs rayons de soleil s’y enlacent à cette heure », ou encore le « mirage de mes mots ». En conclusion, je reste assez mitigé sur ce poème, qui me semble pouvoir être amélioré. Sans l’apprécier énormément, je ne regrette certainement pas de l’avoir lu. Alors, merci à l’auteur, et bonne continuation ! |
Vincent
8/7/2023
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