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Lulu
23/2/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un poème sur l'autre, un poème sur soi qui s'interroge ("pourtant j'écris mais suis-je lu") face aux doutes. Ainsi ai-je compris l'ensemble où le soi fait face à son miroir, son autre jumeau...
La mélodie est sympathique. Elle sert bien le texte que je trouve intéressant, excepté le "tralala" que je trouve encombrant. Il s'agissait de trouver une rime, mais peut-être y avait-il mieux ? Je ne sais, je n'ai pas de suggestion à faire dans l'instant. En tous cas, l'ensemble me semble convenable, plaisant. |
papipoete
11/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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bonjour bipol; se voir dans la glace est terrible pour le reflet de soi que le miroir envoie (même un "canon" ne se trouve pas beau dans la vitrine!) Le magnétophone, cousin de psyché délivre une voix qu'on rejette tant elle déçoit! Ce corps tordu, ce nez en patate, ces jambes de sauterelles! Les gens peuvent bien se moquer de moi, s'ils ont de mon image, la même vision!
A part le 12e vers et son "tralala", j'imagine une chanson facile à chanter (au 2e degré). (je n'écoute la musique qu'après avoir posté mon commentaire) |
Anonyme
11/3/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Ah cette voix qui me rappelle tant le grand Georges(Moustaki) ! J'aime bien la musique et les paroles mais séparément. En effet, je trouve l'ensemble des deux un peu monocorde et monotone : il manque peut-être un couplet en refrain pour casser le rythme ? Le texte est rempli d'humour plus ou moins dérisoire : le premier quatrain exprime bien cela. |
Anonyme
11/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai d'abord lu le texte avant d'écouter.
Une expression sentencieuse, sans concessions, qui traduit une analyse dure de soi-même. De bonnes images comme: '' qui se reflète dans l'avenir '', '' ce corps tordu dans les vitrines '', '' pour me comprendre en contre vue ''. Un bon texte, Marc. J'ai ensuite écouté m'attendant à un mode mineur pour la musique. Eh bien, là, Djibedjian m'a surpris. Sa mélodie donne au texte une autre approche, plus orientée vers l'auto-dérision et c'est, d'après moi, un très bon choix. Alors bravo à vous deux. |
funambule
11/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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Il fallait qu'un "truc" se passe (musicalement ou vocalement) dans le troisième couplet (et forcément le sixième). Dommage parce que j'aime beaucoup le timbre de la voix de Jean-Marie Djibedjian, sa façon à la fois nonchalante et malicieuse de porter les mots.
Le texte traduit for justement ce que chacun de nous peut traverser sans empirisme ni emphase de mauvais aloi; une économie qui sert plutôt l'original sujet. Si je devais formuler une critique (le puis-je sans m'écarter de la charte) elle concernerait la majorité des structures de l'auteur qui sont dans la plupart des cas interchangeables et se déclineraient aussi bien sur cette musique. Lorsque la maîtrise est là, il faut oser explorer d'autres pistes, s'en remettre à plus d'audace, ça aide beaucoup les compositeurs (même si ça leur complique la vie). |
leni
12/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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salut les amis artistes
Ce sujet a été souvent traité A chaque fois je me rappelle " le revenant de Jehan Rictus"que j'ai mis en musique et qui a été chanté par Monique Morelli Dans "Mon autre" que j'ai beaucoup aiméJ'ai apprécié la malice au coin de l'oeil et la simplicité du propos lorsque j'ai vu mon autre tête je ne me suis pas reconnu il m'a fallu un interprète pour me comprendre en contre-vue Je réécoute et j'ajoute+ Ces quatre vers résument tout AVIS sur Paroles et musique c'estune mélodie très cool j-Marie Ta traduction en LALALA en Iroquois n'était pas indispensable pour moi car je connais bien cette langue Annie Cordy dirait comme moi C'est une belle chanson "non peut-être" J'ai passé un excellent moment Merci les Artistes Salut cordial Leni |
Disciple
11/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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La musique manque un peu de variété: un refrain ou un pont, par exemple auraient été les bienvenus. C'est dommage, car texte et voix sont bons et sont porteurs d'un humour dont la finesse et la sincérité m'ont fait grand bien!
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Pimpette
11/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Beaucoup aimé la Pimpette!
ça cascade d'un bout à l'autre très gaiement et sans prétention! Cet autre là...Je le reconnais: -C'est moi!!! je vais écouter la musique de Jean Marie; J'espère qu'il nous a pondu un truc bien en rapport. je retourne dans ma poubelle avec mes mots! Impossible de choper la zique, dordel! |
Anonyme
11/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Mon autre" est celui qu'on aperçoit dans le miroir ; ce n'est autre que soi-même, cet autre moi qui n'est ni vraiment soi, ni vraiment l'autre...
L'homme a passé beaucoup de temps dans la rue et il est méconnaissable. Il écrit pour tuer le temps. Qu'il soit lu ou non, il découvre un jour son visage dans une vitrine et ne se reconnait pas. Du coup il cherche une explication sur ce visage inconnu qui est pourtant le sien. C'est beau et triste à la fois. Une réflexion sur l'homme et sur le monde... |
Vincent
12/3/2015
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Robot
12/3/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Se regarder dans le miroir et se découvrir différent de ce qu'on suppose être. Un texte et une chanson sur la dissociation de sa propre représentation que je trouve bien exprimé. Peut être manque-t-il l'aspect personnalité en complément de la référence à l'image.
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Anonyme
19/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un beau discours sur l'image de soi en relation avec soi-même, mêlant incompréhension, jugement, abaissement de nous même face à notre propre reflet.
On ne peut avoir de juge plus sévère que soi-même. Mais aussi la découverte de soi, on est jamais ce qu'on pense être. Est-ce une dissociation entre le soi personnel et le soi social ? J'ai beaucoup aimé le concept de la musique et des paroles chantées, ça me donne envie d'en avoir plus. Continuez. |
Pussicat
27/3/2015
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bonjour bipol,
Je me souviens d'une phrase d'un de mes textes, en prose ; l'homme se regardait machinalement dans le miroir accroché sur le mur du couloir et ne se reconnaissait pas... je ne me souviens plus de la phrase exacte mais cela ressemblait à : "je jette un oeil dans le miroir, mon reflet m'ignore...". Votre texte a résonné en moi... cette impression que chacun a pu ressentir - je pense - de ne pas se reconnaître en se regardant dans la glace - ici les vitrines - voir un autre soi-même... le reflet que vous renvoie le miroir, une photographie, cette image forge une identité presque malgré soi, cette impression disais-je est agréablement posée ici sous couvert d'une chanson guillerette. Je trouve la chute un peu brutale, une strophe supplémentaire aurait peut-être pointé ce malaise avec plus d'acuité, ou deux... je ne sais pas, au lieu de reprendre la 1ère strophe... Une question sur le dernier vers de la 1ère strophe : "des yeux hideux qui me font fuir" je n'arrive pas à l'accrocher au précédent : "je prends la poudre d’escampette" Je trouve sa construction un poil bancale... ou n'est-ce qu'une mauvais lecture de ma part. j'aurais lu : "ces yeux hideux..."... c'est vrai que ce "qui" est bien pratique... mais en cherchant bien. "tralala" est un peu faible mais il fait sens avec "gala", aussi cela ne me choque pas plus que cela. Une lecture agréable, une mélodie sans grande originalité mais l'ensemble se laisse écouter. A bientôt de vous lire, et de vous écouter, |
Anonyme
9/2/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Nous avons une idée peut-être pas toujours juste de notre image, tantôt nous la trouvons conforme à notre attente, d'autre fois plus sévère, nous la trouvons "moche", rien ne nous plaît de son reflet, et plus le temps passe et plus l'image se transforme, plus elle se déforme, c'est dans ces moments là, qu'il faut se dire, que le plus important ce n'est pas le contenant, mais le contenu.
J'ai aimé la composition de Jean-Marie, qui comme toujours sait habiller les mots, de bien belle manière, car ces mots méritaient cette "harmonie parfaite", faisant oublier toutes les imperfections de l'être ici énoncées, être qui n'est qu'apparence. |