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Corto
9/10/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cet hommage à Mouloudji nous envoie une sacrée bourrasque de nostalgie montmartroise.
Le grand saut vers "les bateaux des guinguettes" peut surprendre mais on pardonne tout avec le refrain: "tu es né dans l'amour des sons des bals musettes allumant les lampions au fond de notre tête". Pour la version chantée la musique et la voix sont bien assortis, mais qu'on me pardonne si je dis au chanteur qu'un effort sur la diction pourrait améliorer l'ensemble. Merci. |
troupi
17/10/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un brin de nostalgie dans cette belle chanson bien servie par la voix et la musique.
Nostalgie d'un Montmartre qui croule sous les chinoiseries en tous genres. Heureusement tant de souvenirs ne s'effacent pas si rapidement et les poètes et chansonniers sont encore bien présents pour nous divertir. Longue vie aux artistes. |
papipoete
28/10/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour bipol
" un jour tu verras... gentil coquelicot... ", fredonnaient nos parents, et nous aussi puisqu'il n'y avait qu'un poste radio à la maison ! mais nous ne savions pas grand-chose de ce chanteur, jusqu'à ce que débarque la télévision dans nos foyers. Notre poète-peintre nous fait ici, découvrir cet artiste talentueux, aux multiples casquettes de chanteur, acteur et peintre, mais un " poulbot " avant tout qui de Montmartre savait tout ! Et tournent les bateaux des guinguettes ; et volent les robes des filles au bras des gars à la casquette de travers. NB un tableau très vivant de ce monde où poussa Mouloudji, où naquirent tant de chansons, qu'aujourd'hui encore nous avons en tête ! l'auteur nous parle de son regard malicieux, mais je crois que tel le clown qui fait rire, ce " parigot " me semblait empli de tristesse ; peut-être que je me trompe, mais c'est l'impression que Marcel me faisait ! concernant la chanson, une fois n'est pas coutume, je trouve que PIZZI ne sublime pas ces paroles en musique ( je ne parle pas de la voix qui est celle que j'aime ) ; j'aurais préféré pour ce décor, des airs d'accordéon, des accents de limonaire, et même pourquoi pas des échos de goualeuse en fond. |
leni
28/10/2019
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Modéré : Commentaire hors charte (se référer au paragraphe 6 de la charte).
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leni
28/10/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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bonsoir
mes amis bipol et yves Votre texte a une âme il est sobre précis nuancé C'est un hommage respectueux à un chanteur que vous estimez tu courais place du Tertre entre tous les tableaux tu es toujours en fête le gamin le Poulbot tu es né dans l'amour des sons des bals musettes allumant les lampions au fond de notre tête ton regard malicieux est un bouquet de fleurs et ce finale que j'adore unisson parfait entre paroles musique et chant BRAVO les artistes Ma fidèle amitie LENI |
Vincent
29/10/2019
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Vincente
29/10/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le titre annonce en toute simplicité l'hommage au chanteur troubadour. Les moins jeunes voient déjà la silhouette modeste et sympathique du gars de Paris. Les plus jeunes devront tenter d'imaginer, grâce aux paroles émouvantes de la chanson, qui était ce talentueux bonhomme, très proche de son public.
L'ambiance musicale pleine de nostalgie va les y aider et nous plonger dans l'accompagnement en vogue dans ces années 50-60. L'accordéon va nous suivre, presque nous porter, sur une ligne en fond, comme un socle sonore, tout au long de la chanson ; ce fil conducteur offre les consonances populaires qui traçaient l'âme et le répertoire du chanteur. Tout cet assemblage est très évocateur, très réussi, l'on ne s'étonne même pas du geste amoureux débordant de lyrisme de l'auteur dans l'avant-dernière strophe ; sa passion n'est décidément pas feinte. Bravo au duo créatif. |
emilia
30/10/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Mouloudji, cet interprète, auteur, chanteur et peintre avait donc plusieurs cordes à son arc lui aussi ! Il fut entre autres l’interprète inoubliable de : « Comme un p’tit coquelicot… » avec cette voix des rues, cette voix du cœur, « l’âme de Paris, des guinguettes et des bals musettes… » ; son duo d’admirateurs a donc partagé son parcours du temps qui passe, fidèles à leur « étoile » !
Même si le passage « yeux myosotis à ton cou » accroche un peu et que la voix semble mieux enregistrée vers la fin de la chanson qu’au début où le son paraît plus assourdi, merci à tous les deux pour ce bel hommage d’estime et d’amitié… |
BernardG
29/2/2020
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Bipol,
En me baladant sur le site et je tombe sur ce troublant poème nostalgique à souhait d'un Paris qui n'existe plus ! Waouh.... En plus, le fait d'associer l'impressionnisme via Manet amplifie à la lecture les images issues de votre travail. Entre autres, j'ai beaucoup aimé ce quatrain. "Le Moulou de nos rêves au souffle d'accordéon" "tournant les midinettes cherchant leurs apollons" "ils accrochent un sourire la casquette de travers" "et des éclats de rires dans le fond de leurs verres" On oublie souvent qu'un poème peut être déclamé ou chanté...Et là encore c'est une réussite avec une légère faiblesse de la voix sur la fin qui a impacté l'articulation. Vous n'avez pas oublié l'accordéon ☺ En tous les cas, sincèrement et sans flagornerie: Bravi Bon week Bernard G. |