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papipoete
7/1/2020
a aimé ce texte
Passionnément
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bonjour
il arriva par le passé, que je n'écoute pas la musique, ou bien séparément de l'écriture du texte ; mais là, j'avoue que l'air et la voix m'ont étripé ! ( la guitare électrique semble bonne-amie du musicien ! ) les pentasyllabes, fort rares en poésie, servent ici à merveille le thème de l'espoir après lequel on court, toujours ! Surtout, en ce début d'année quand on voit se profiler guerre, mort de la planète etc... Toutes ces petites strophes séduisent, sans se prendre la tête... Un infime bémol : quel dommage que le chanteur dans le refrain, ne fasse pas la liaison pour " tournent en ronds " ! je trouve à l'oreille plus agréable " tournent...ten ! bravo pour l'ensemble ! papipoète |
Corto
24/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'ambiance créée par cette chanson est assez envoûtante. La voix et la musique y sont pour beaucoup.
Le texte pris isolément ressemble à un cri intime et personnel. Cette interrogation existentielle peut être largement partagée par tous ceux qui se questionnent sur leur vie, leur destin, leur place sur la terre et dans le monde. En quelque sorte une quête d'un mode d'emploi pour une vie utile et heureuse. Dans ce sens ce texte/chanson se partage entre inquiétude et réconfort. Comme un instant de méditation. Un léger bémol: le refrain "Répétitions Pressées Tournent en ronds Lacés" me parait un peu faible par rapport au niveau de questionnement sous-tendu par ce poème. Grand merci à l'auteur. |
STEPHANIE90
24/1/2020
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour à bipol et au musicien-chanteur "Nicolas Rigulo",
un superbe moment passé à écouter cette chanson et lire le texte tout en beauté simplissime. Merci à vous deux, c'est doux, c'est mélancolique et le fond parle a beaucoup dont moi-même évidement. La musique et la voix magnifique se prête bien à ces vers, un grand bravo à l'artiste et au poète. Juste parce que j'ai modifié involontairement en chantant avec vous le refrain en final : Répétitions Pressées Tournerons en Lacés Un grand merci pour cette jolie découverte de bon matin à vous deux, Stéphanie |
Anonyme
24/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Marc.
Un très bon texte. Oui, on passe beaucoup de temps de sa vie à courir après quelque chose. " On court toujours Mais après quoi Tous ces désirs Sont éphémères " Cette course permanente est fort bien traduite par des vers courts ; et c'est là qu'intervient ma remarque pour la musique choisie par Nicolas. J'aurais mieux apprécié un phrasé plus enlevé, avec un tempo moins lent. De plus (et c'est un avis très subjectif) l'omniprésence des accords de guitare avec les mêmes frappes m'a gêné au bout d'un moment. Indépendamment de cette remarque (qui m'empêche le "Passionnément ") c'est une belle réalisation. Bravo ! Mes amitiés à vous deux. |
Annick
24/1/2020
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
Bravo à Nicolas qui porte le texte magnifiquement bien : très belle voix au timbre singulier, très belle interprétation. J'ai d'abord lu le texte et j'ai aimé le rythme, les phrases courtes. Ensuite je suis allée écouter la chanson, et là, le texte a pris, pour moi, toute sa signification, sa dimension : un feu d'artifice d'émotions. Bravo à vous deux pour cette symbiose qui se nourrit de vos talents. |
Pouet
24/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bjr,
je salue à mon tour la qualité de cette composition même si ce n'est pas forcément mon style musical. Texte, voix, musique, le tout s'assemble très bien pour donner une chanson ma foi plus qu’honorable qui n'a rien à envier à bien des chansons connues de variété française. Bravo, donc. |
Cristale
24/1/2020
a aimé ce texte
Passionnément
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Un texte qui dit bien des choses profondes sur des vers très courts mais d'une grande amplitude sensorielle qui me touche à deux cent pour cent.
Je ne suis pas experte en musique mais j'ai aimé l’interprétation et la voix du chanteur qui a réussi le rythme et la mélodie sur des vers de quatre syllabes, même moins pour les plus courts. Bravo à vous deux ! Cristale |
Vincente
24/1/2020
a aimé ce texte
Bien
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Le propos soulevé attrapera bon nombre d'entre nous, tant la question nous inonde de ses contingences dans le monde contemporain.
Ce qui m'a semblé pertinent, alors que le sujet est assez banal, c'est que je ne me suis pas senti dans une redite convenue, qui en deviendrait presque insignifiante. Non, il y a une force touchante dans le déversement de cette impression lancinante d'être voué à une course constante ; l'écriture "efficace" et sensible y participe, la voix habitée assez déchirante du chanteur aussi. La lancinance. L'ambiance musicale, et son rythme lent qui s'étire de vers en vers, remplit très justement cette expression. Une course. Par contre, je trouve tout à fait à l'opposé de l'axe de l'évocation la mise en musique. Alors que les vers courts scandent des séquences multiples et brèves, très en accord avec le propos, le chant (intéressant dans le timbre) n'en finit pas de lisser la "rapidité" qu'impose la vision d'une "course". Je me suis consolé en voyant ici une "course lente", mais je ne crois pas que l'auteur pensait à celle-ci dans son évocation. |
Davide
24/1/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour bipol,
Un constat sans appel sur la frénésie consumériste dont souffre une partie du monde aujourd'hui. De prime abord, l'extrême lenteur du rythme de la musique (4 temps très lent) m'a beaucoup étonné ; si les vers courts et les petites strophes se prêtent particulièrement bien au thème traité, je me serais attendu à ressentir, par figuralisme, cette frénésie dans l'accompagnement instrumental : valse hypnotique, voire marche rapide ou polka. Cette lenteur, je l'ai trouvé contre-productive, d'autant plus que le texte, lui aussi, a tendance à "tourner en rond". Les affirmations et jeux de mots, s'ils sont plutôt sympathiques dans le premier couplet (à part "De s'en aller / Dans l'univers / Qui est le sien / Et le trouver", un peu confus), me paraissent très peu clairs dans le deuxième ; par exemple, je n'ai pas compris "L'instant divin / Sur le divan / Qui nous rapproche / De son vivant / Qu'on va aimer / Intensément", ni même la référence à la peinture ou à la poésie. Dans le dernier couplet, l'allégation "Savoir tenir / Ses sentiments" (comme "Ne pas chercher / À retrouver / L'ombre cachée", même si je doute de la signification de "l'ombre cachée") ne me semble pas, par exemple, une solution au problème de cette course effrénée. Le refrain, en revanche, me plaît bien, en particulier le verbe "lacer" (qui fait entendre "lassés"), employé judicieusement après "Tournent en ronds". Même si le traitement du sujet m'a paru simpliste, voire superficiel par endroits, ce genre d'initiatives me paraît bien nécessaire à l'heure actuelle ; et rien que pour ça, je remercie très fort bipol et Nicolas Rigulo pour le partage. J'ai d'ailleurs pris du plaisir à l'écoute du morceau. ;) |
leni
24/1/2020
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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bonsoir mes AMIS
Je suis très en retard pour des raisons indépendantes de ma volonté Et je dois à la chance d'être là Voici une chanson qui nous situe bien dans la course folle Le temps nous embobine Vous avez choisi de le gueuler fort au risque de se casser la voix c'est un beau duo et la musique colle pil poil avec le texte J'ai toujours lRépétitions Pressées Tournent en ronds Lacése plaisir de rechercher les images qui me frappent le plus LE TON EST DONNE et il sera tenu jusqu'à la fin HEUREUX ceux qui peuvent s'évader Dans la peinture La poésie Ou la sculpture Dans l'harmonie Comment guérir D'être agité EN PRENANT LA FUITE COMME VOUS lE FAITES DANS L'IMAGINAIRE BRAVISSIMO AMITIES LENI |
Stephane
24/1/2020
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bonjour et bravo bipol pour cette formidable chanson. C'est, à mon sens, la meilleure que vous ayez jamais chanté sur Oniris et je lui attribue donc la note maximale. Le message est profond et la musique stylisée. Il y a un vrai rythme et une vraie mélodie. Tout y est, c'est parfait.
Encore bravo. Stéphane |
emilia
24/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le narrateur dénonce le fait que les journées de chacun tournent en rond et se répètent au pas de course, à travers un refrain efficace et en prenant le temps de se poser pour analyser le phénomène observé entre rêves, espoirs et quête de soi, jusqu’à en faire une généralité exprimée par ce « on »… ; à la lecture seule, une impression de monotonie pour signifier le train-train quotidien et mécanique, avec parfois un enchaînement étrange ( à quoi rattacher l’expression « De s’en aller… » ?), mais à l’écoute, le texte mis en valeur s’anime vraiment, tant la voix, l’interprétation prenante et la musique enrichissent les mots simples, leur donnent leurs reliefs et retiennent l’attention, avec des accents émotionnels qui aident à partager le message implicite d’un « petit supplément d’âme »…
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Vincent
25/1/2020
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Queribus
10/2/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Des mots et une musique qui me font dire que tout n'est pas perdu dans le petit milieu de chanson. Le texte est superbe de poésie avec des mots "hachés" et une rythmique lancinante (bravo que pou les notes de guitare qui s’égrènent ça et là) , ce qui a pu, bien-sûr à en désarmer quelques-uns mais vous avez ce choix tout à fait honorable d'une "opposition" entre texte et musique. Ce qui m'agace un peu, c'est de savoir que ce genre de chanson est beaucoup trop bien pour la radio ou la télé( en général) qui préfèrent le "tout venant", plus digeste pour la plupart des auditeurs. Je pourrais aussi ajouter que la voix s'allie fort bien à tout le reste. An conclusion, une fort belle réussite avec tout de même cette petite remarque: la chanson me semble un peu longue (six minutes ça fait beaucoup) mais comment faire puisque tout est bon chez elle, y 'a rien à jeter. Préparez-nous vite d'autres chansons de ce niveau-là. Bien à vous. |
Groscoco
29/2/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Merci pour cette chanson dont j'ai apprécié les thèmes et la construction. Le refrain me touche particulièrement, le dernier mot lacès interpelle. Comment guérir d'être agité? C'est bien un nœud pour moi Groscoco |
MARIAJO
13/11/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bipol bonjour
J'ai beaucoup aimé cette poésie aux mots accessibles qui m'ont permis de vivre pleinement la question du être: pourquoi, pour qui et comment? J'ai relevé la strophe suivante, car avec le confinement, on vit un moment propice pour se retrouver avec soi-même, tranquille dans sa chambre (Pascal) et se demander: "Quel maux m'agite?" Parce qu'avant de se guérir il faut l'identifier. Et pour l'identifier il faut, peut-être, se confiner en soi. Ce serait bien Oui mais voilà Comment guérir D'être agité |
MARIAJO
13/11/2020
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Bipol rebonour,
Flaubert dans "Lettre à Mlle Leroyer de Chantepie" dit: Le seul moyen de supporter l'existence, c'est de s'étourdir dans la littérature comme dans une orgie perpétuelle". |