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leni
11/6/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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voilà une bien jolie chanson La mélodie est superbe et la voix bien maitrisée Le refrain se retient d'emblée Et j 'aime beaucoup l'image de la nacelle Le texte est simple comme bonjour J'ai un faible pour le couplet:Fermer la porte...Le texte et la musique collent parfaitement l'un à l'autre
EDIT j'ai réécouté plusieurs fois cette merveilleuse chanson qui coule vraiment de source La mélodie laisse la place à un forte joliment chanté C'est un texte simplissime comparable à ceux qui sont chantés par Franck Michael Celui-ci interrogé lors de la sortie de son dernier CD a déclaré:"Je ne suis pas un poète je suis un chanteur populaire"Cette chanson de Bipol est une chanson populaireC'est je pense la deuxième fois que je note EXC Bravo |
LeopoldPartisan
3/6/2013
a aimé ce texte
Un peu
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Il n'y a dans ce texte qu'un quatrain que j'aime bien. Curieux n'est pas. Peut être par ce que là le narrateur partage avec le lecteur ce qu'il a réellement perdu :
" Fermer la porte en parenthèse, Sur tes mots doux et tes photos, Quand tu posais au Père Lachaise, A moitié nue en court manteau." C'est vraiment bien tourné avec en plus un sacré accent de vérité. C'est en plus vraiment bien imagé. Pour le reste désolé, mais ce côté pleurnichard seul dans sa mongolfière à pleurer sur son sort en ressassant des poncifs et des lieux communs, non merci, on a déjà tellement donné. PS pour ce qui me concerne, je ne vais jamais écouté la mise en musique et en parole. J'estime que même en chanson, le texte doit se suffire à lui seul. |
Laroche
11/6/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Echanger ici, c'est nouveau, Bipol. Bonjour. Je n'ai pas compris que c'était une chanson et j'ai lu ce texte comme un poème en octosyllabes. Je ne l'ai pas trouvé pleurnichard. C'est drôle, mais je n'ai pas perçu le narrateur comme un aéronaute, plutôt comme un hunier dans sa nacelle tout en haut du mât. cela ne doit d'ailleurs pas avoir beaucoup d'importance. Le prosaïsme des vers est une grande réussite, et j'ai été tout particulièrement sensible à:"Le restaurant au port le soir."
A bientôt. Marc Laroche |
funambule
11/6/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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La musique est à mon goût et j'aime le brin de voix donnant vie à ces mots. Le souci que j'aurais est que le texte est, même si la mélodie reste agréable, récité de façon un peu mécanique, il manque quelques "arabesques" à l'interprétation. Mon ressenti concernant le texte est qu'il est honnête, riche en pathos... sans doute un peu trop monolithique pour aider l'interprète dans des variations qui tireraient l'ensemble vers le haut.
Sans doute à retravailler à plusieurs niveaux... mais agréable et intéressant! |
brabant
11/6/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Bipol,
Beaucoup aimé l'interprétation et la musique qui enlèvent de sa gravité au texte écrit, où l'on s'aperçoit que l'absente continue d'habiter l'auteur et magnifie sa vie. Cette parenthèse lui restera à jamais absinthe au fond de sa nacelle. Beau travail que le produit fini :) |
Pimpette
17/6/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'adore!
Une préférence pour le texte nu!...Quoique... le climat répond exactement au titre et c'est ce titre qui m'a donné envie de lire et d'écouter. On déambule avec monotonie, nostalgie, au fil des mots et ça résonne dans la mémoire... Mon petit extrait préféré et pour cause: Tourner en rond dans sa mémoire, Le bord de mer et les galets, Le restaurant au port le soir, Les mâts tremblants dans les reflets. Il me semble que j'ai déjà rencontré Bipol et cette fois, je ne vais pas l'oublier! |
Vincent
18/6/2013
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La musique et l'interprétation sont de Sylvain Cura
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David
19/6/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Bipol,
Cette chanson pour l'absente ne retient guère mon attention, comme "chanson à texte" il est dit peu de chose, ça semble plutôt convenir pour accompagner une mélodie qui lui donnerait de l'ampleur. Je ne peux écouter malheureusement, faut que j'installe un truc... Il n'y a pas de passage qui ressortent, heureux ou malheureux, mais c'est cette image de montgolfières que j'aurais aimer voir mieux se déployer, pour donner un peu plus de singularité au texte, une meilleure place à l'imaginaire. |
Anonyme
17/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Mots détresses, mots tendresses, nous font frissonner tant ils sont bouleversants, j'ai touché des doigts cette douleur crée par l'amour qui "désunit". Tout l'ensemble est en parfaite harmonie.
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