|
|
BlaseSaintLuc
22/11/2024
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
|
Je n'accroche pas à ce comptoir-là, désolé.
Rien ne m'emballe, je ne trouve pas de tempo. Plusieurs rimes me semblent laides, un fardeau ! Les quatrains se succèdent sans succès. |
Ascar
29/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
A mon avis, ce n'est pas votre meilleur texte Vincent. Mais la ritournelle ' sur le comptoir" me ramène à un décor en formica un peu comme la chanson 'dans la salle du bar tabac de la rue des martyrs"
En cela, je lui trouve un certain charme désuet merci du partage |
Provencao
29/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
Bonjour Vincent,
Une poésie sombre, presque noire ou attendre c'est figer. Les confins réalisés ici dans ces sensations sont les traits même de la mort. Par opposition aux profils rigides, les innocents, les pas perdus, le desespoir, les addictions sont une frange indécise, ni vraiment de l’instinct, ni vraiment de l’inconnu, une pensée sournoise et secrète. Votre écriture, Vincent, s’écrit dans les marges, brouille les lisières, gomme les frontières. Méandres, cadres, délimitations imaginaires... J'ai bien aimé ce vertige . Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
30/11/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
|
bonjour Vincent
Des brèves de comptoir, aussi noires et grises les unes que les autres, où je ne comprends toujours pas, que ces bars puissent attirer, aimanter celle-ci, celui-là. Radotant une fois encore, je redis mon aversion pour le monde de la picole, alors que je connus le spleen qui précipite au fond du ruisseau. NB je peux quand-même être attendri par la 3e strophe, et le refrain... je suis sûr que sur une musique de PIZZI, ou autre Djibedjean, vos vers purent être moins âpres à l'oreille. |
Vincent
1/12/2024
|
|
Yannblev
9/12/2024
|
Bonjour Vincent,
L’itération convient bien au genre « chanson ». Je pense qu’il faut cependant une certaine continuité, un prolongement, entre chaque proposition pour que le récit coule de couplet en couplet. Si j’en crois le refrain le thème soutenu est celui du « comptoir » et ce qu’il peut sous-entendre mais on entend surtout une succession de comptoirs et l’on ne trouve pas vraiment le fil qui de l’intro à la coda fait résonner une chanson en lui donnant son sens. Ici en dépit des bonnes illustrations et d’une écriture appliquée on se perd un peu. A vous lire, vous entendre |