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Robot
9/4/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Sur la composition musicale:
Le rythme donne bien l'impression de cette bille qui dévale l'escalier du temps. Moins séduit par la voix pas tout à fait ajustée. Sur le texte: J'ai apprécié les images de la plupart des quatrains à l'exception des cinq et huit dont le message me paraît simpliste. Une réception mitigée donc mais dont j'ai apprécié cependant une part de la réalisation musicale et littéraire. |
Provencao
9/4/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Vincent,
Ce n’est que sous le regard de " l'escalier du temps" que la durée peut s'identifier comme linéaire ; et, à la lectrure de votre poesie, elle se décèle nécessairement linéaire. "Nous sommes liés à la cadence De nos désirs dans l'existence, Ces quelques marches de descendance, Alors vivons sans discordance" Comme si nous pouvions soudain regarder nos désirs face à face ... Pour la signature musicale et le chant: Merci Au plaisir de vous lire Cordialement |
ferrandeix
9/4/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime bien
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Difficile, me semble-t-il, de fournir une appréciation d'ensemble sur ce poème car j'y ressens une grande variabilité de l'intérêt. Certains quatrains me paraissent artificiels, peu significatifs, quoiqu'il ne s'agisse pas de poésie hermétique, mais justement pour cette raison. La recherche de la rime à tout prix semble responsable de bizarreries préjudiciables. Le premier quatrain, par exemple, me semble abstrus, en revanche, ces beaucoup mieux à partir du 3e, me semble-t-il. Le thème principal, le termps qui fuit et emporte notre existence, ce qui justifie une injonction de carpe diem. Pour ce mètre court, les effets rimiques sont perceptibles lorsqu les rimes ne sont pas embrassées. En revanche, l'effet est renforcée pour la 5e strophe par exemple où elle se retrouve pour tous les vers de cette strophe. Une grande diversité de formules rimiques qui peut désarçonner le lecteur, sauf s'il ne le remarque pas, ce qui est finalement le mieux.
Quelques cacophonies parmi les plus gênantes: "Comme elle saute plus loin" (ces 2 e post-accentuels de "saute" et de "elle" si près l'un de l'autre me paraissent difficilement négociables oralement) "de descendence": attention aux dentales trop proches "elle descend au tempo" idem ou alors préférer oralement une cacophonie de voyelle "en" "o", ce qui est le moindre mal, me semble-t-il. Au final, je retiens quelques belles, voire très belles strophes au milieu du poème, notamment la 3. Et l'image de l'escalier, qui est reprise, me paraît très bienvenue. |
Vincent
11/4/2024
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BlaseSaintLuc
21/4/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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"Salut, c'est le casse-gueule dans l'escalier, dès l'entrée avec le pléonasme du rêve virtuel... J'aime beaucoup la première strophe, carrément moins la seconde. Les pieds se prennent dans le tapis plusieurs fois par la suite. Le thème est pourtant bien représenté, les descriptions sont justes. Peut-être trop répétitives ?"
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