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Miguel
24/9/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Dommage que certains vers sans mesure viennent gâter le rythme des alexandrins. Je sais que nous sommes en poésie contemporaine, mais l'esthétique souffre, à mon sens, de ces libertés. Pour le reste, un souffle libérateur, dès le premier vers, anime ce poème et se maintient jusqu'à la fin, hymne à la poésie et à l'évasion.
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Queribus
29/9/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Je salue tout d'abord la qualité et la rigueur de la poésie néo-classique (à l’exception toutefois de banc -univers et de certains vers à rimes croisées alors que d'autres sont à rimes plates), d'où quand même une impression d'entre-deux un peu déconcertante. Le thème m'a paru intéressant et plutôt bien traité et de façon originale quoique un peu "abstraite" avec un manque d'impact immédiat mais l'ensemble se laisse lire avec plaisir. Avec la (petite) réserve liée à la forme, j'émets un avis positif sur votre écrit. Bien à vous. |
Corto
7/10/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien ce thème joliment traité si l'on envoie au diable quelques règles alexandriques qui d'ailleurs n'apporteraient guère de plus value poétique.
L'assemblage oiseau/enfant/fantasme/désirs est réussi. J'apprécie aussi ce final "il y a fait son nid cet espace est en toi il est le paradis" qui montre force, détermination, avenir. |
emilia
7/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un tableau doublement expressif évoquant la libération par un coup de pied dominateur et central détruisant les barreaux d’une cage en permettant l’envolée enfin possible de l’âme-oiseau prisonnière, dans la nature accueillante, à l’image du narrateur-artiste qui délivre en mots et en couleurs ses « rêves et ses désirs » porteurs d’espoir qui s’accomplissent dans une sensation d’osmose guidée par l’instinct, la dernière strophe concluant avec bonheur et de façon émouvante sur la place unique de l’art unissant poésie et peinture pour apprivoiser et transmuer le désespoir en « nid-paradis » dans une fonction cathartique sublimée avec la satisfaction réjouissante de s’être trouvé…
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Cristale
7/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Liberté, liberté chérie, quand les barreaux d'une âme finissent par fondre dans le feu des douleurs du passé, qu'est-il de plus doux que se libérer soi-même et laisser les cicatrices dans le monde de l'oubli ?
L'oiseau avait des ailes, mais on ne lui avait jamais appris à s'envoler. |
Vincent
8/10/2021
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Cyrill
8/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé, d'emblée, cette écriture qui semble très spontanée, ce langage parlé et guidé par la passion.
On ressent la souffrance et l'enfermement qui ont préludé à l'état d'oiseau, état qui se confond avec celui de poète, celui de rêveur. Le narrateur parle à l'enfant qu'il a été, et qui a espéré, et le projette dans son présent accompli. Une lecture très agréable. |