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Alfin
6/1/2020
a aimé ce texte
Bien ↓
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Merci pour ce poème pornographique, rien de tel pour commencer une belle journée...
J'ai du mal pourtant à m'en réjouir et je m'en excuse. Le poème érotique est très difficile, car cela dépend des pratiques de chacun. Ce qui pour chacun est érotique ou pornographique. Là où l'érotisme est poétique, la pornographie explicite l'est beaucoup moins. La force de ce poème est de ne pas tomber dans le champ lexical habituel de l'érotisme (les fleurs que l'on butine ...) mais je trouve les maladresses nombreuses, trop explicite tout en assumant pas. De plus, certaine phrases sont mal tournées : dessiller quand les yeux entrebâillent... Merci d'avoir ouvert le débat ! Au plaisir de vous lire, Alfin en EL |
Anonyme
20/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Voilà un texte ou l'incipit est le grand éclaireur, beaucoup devrait s'en inspirer pour aiguiller le lecteur dans sa lecture et éventuellement son commentaire. Tout est dit avec délicatesse et poésie. Dommage que la vieillesse transforme la cerise en une myrtille bien sèche dans une eau de vie passablement altérée. Enfin, en principe. |
hersen
20/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voici un texte très joli, très subtil.
Oserais-je dire mi-figue mi-cerise ? Tout est délicatesse, métaphore, ce qui fait que le plaisir en ressort d'autant plus. Et que le texte est vécu comme une épopée, une quête, dont il ressort un respect. mention spéciale pour le double sens de gerce, suivi de brindille. Merci pour cette belle lecture ! |
papipoete
20/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour Vincente
Commencer la semaine onirienne par un jeu de piste, dont l'on fut participant... et savoir qu'à son terme on ne gagne pas un prix, mais un fruit béni ! NB pas un jeu pour scout, plutôt pour sauvageon déluré, quand on n'a pas l'âge... mais un parcours du combattant pour lequel on rempile, quand on a l'age ! C'est délicieusement érotique, comme murmuré pour ne pas effrayer le " petit minou " qui dort... Tout est à savourer... sans modération ! mais la 3e strophe est vraiment désirable ! |
leni
20/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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blr Vincent
après avoir un peu réflechi j' accoste en érostime discret il n'y a pas de voyeurs Du discrètement dit Et je me plais à traduire les images en parler de banlieueLe poète est riche de son imagination µes plus belles images son faites de deux mots qui n'ont rien a faire ensemble dans la la viee courant banale c'est simplement mon avis Paupières à peine entrebâilléesJ'ébrouais mes sens quand J'ai humé l'extrême finesse d'un fumet… … promesse J'écartai les brindilles éparses qui la dissimulaient l'attention de ma langue improbable sourcier J'avance le doigt éclaireur Et l'eau pure se change en eau de vie Trèsbelle mise en scène C'estavec plaisir que j'ai frappé les trois coupsC'est un poème surprise surprise Bravo Ami vincent Tu m'emmènes dans un monde poétique qui n'est pas habituel Et je découvre la violette qui se cache sous l'herbe MERCI Pourquoi tu ne fais pas allusion à un parfum LENI |
Cristale
20/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Pour parodier un célèbre poète : Parce que le sujet est délicat, la métaphore jaillit plus intense...
J'ai pensé que cet homme se réveillant ressentait une grande soif, mais de nos jours on ne va plus chercher l'eau à la source à moins d'être puisatier. Ensuite, au lieu de se lever, il pose sa joue sur le sol jonché d'une rosée odorante puis voici qu'il écarte des brindilles, (là je me dis qu'il devait dormir sous une tente), pour suivre l'odeur de la rosée et bingo, son doigt tombe juste dessus ! Mais voilà que l'eau se change en "Mon chéri" dès qu'il la goûte. C'était sans doute un rêve ^^ Innocente que je suis. Un premier degré de ma part pour le plaisir de sourire car j'ai lu, vous vous en doutez, bien autre chose d'une grande délicatesse. Dire sans dire, écrire sans décrire, faire du bruit en silence et voilà un joli texte sensuellement érotique. J'ai déniché sous leurs airs de liberté quelques alexandrins réguliers, (nonobstant les hiatus permis ici), d'autres déstructurés. Le chant musical plutôt gai se joue sur une partition libertine où se succèdent et s'enchevêtrent rythmes pairs et impairs. Le sujet s'y prête bien évidemment. J'aime beaucoup l'enchaînement du titre avec les premiers vers : c'est original et astucieux. Bravo et merci Vincente ! Cristale |
emju
20/1/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Que dire ? Du déjà lu. Je ne suis pas très sensible à ce genre de poésie. Je reconnais que c'est plaisant à lire mais sans plus. La femme, toujours la femme, la cerise à l'eau de vie. Et bien moi elle me laisse un goût amer mais bon je suis une femme...
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Lebarde
20/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Puisque même les petits vieux ( je dirais plutôt surtout) ont toujours besoin de se désaltérer ( peut être un peu souvent quand même ) allons gaiement à la source et buvons!
Joli poème subtilement écrit, un tantinet dérangeant parfois, mais s’il a le moyen de mettre l’eau à la bouche, pourquoi pas. Je ne m’enthousiasme pas mais j'apprécie volontiers le poème et son sujet. Merci Lebarde |
STEPHANIE90
20/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Vincente,
quelles joyeuses diableries dans ce poème olé-olé à l'écriture chastement grivoise. A en rosir d'émoi. Mais moi, mais moi, mais moi... je ne sais pas écrire ainsi et je vous admire pour cela, c'est fait avec subtilité et une certaine grâce. 2 petites réserves sur le titre, que je ne trouve pas adéquat, hors contexte et le terme "finesse d'un fumet" pas vraiment attirant (cela fait un peu jambon... Lol) ni très fin justement ; "d'une effluve" peut-être ? Ce sont deux petits détails... La strophe finale est très belle... Bravo à vous et merci pour cette lecture qui s'effeuille sans "trop" de délicatesse, Stéphanie |
Davide
21/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Vincent,
Le titre, avec son imparfait, se découvre comme un prélude (mais à quoi ?) ; pourquoi ne dort-il plus ? L’exergue y répond, ou plutôt, laisse entrevoir une réponse alléchante, infléchit le mouvement, s’arrête avant la révélation. Pour en savoir plus – et confirmer notre soupçon – il nous faudra lire le poème. Les dispositions sont bonnes. Dans les deux premières strophes, l’allitération en [s] s’accommode d’un souffle érotique à peine dissimulé par des draps trop chauds. J’ai beaucoup aimé l’enchaînement des mots "disposée", "reposé" et "rosée" ; outre la sensualité du [s], la proximité de ces trois mots fait entendre un écho bien suggestif : "osé". Un mot à double sens ? Les sens sont en éveil, animalisés ("J’ébrouais mes sens", "humé"/"un fumet" en écho de sonorité), à tel point que les doubles sens des mots "gerce" et "brindilles" m’ont paru très ingénieux ; le mot "empreinte" parachève la métaphore menuisière (un clin d’œil à l’ancien métier de l’auteur ?). Cette métaphore filée de la recherche d’eau (de nourriture) pour évoquer l’appétit sexuel du matin donne au texte un attrait quelque peu singulier, d’autant plus que la forme, ciselée par un savant jaugeage des mots et de leur impact, suit une progression rigoureuse ; rigueur à laquelle s’oppose l’aisance de l’écriture, des vers très libres, et l’assurance "mutine" du narrateur que l’on devine à travers les mots. Comme s’il s’était reculé pour laisser entrer le lecteur… Aucun état d’âme n’est exprimé clairement, à part cet "espoir", mais la qualité de l’évocation invite diligemment et inconsciemment son lecteur à y superposer ses propres émotions, ses propres ressentis. Une belle osmose ! Après cette lecture coquine, je me suis plu à relire le texte avec des yeux d’enfants pour y voir ce que j’y avais entr'aperçu lors de ma première lecture : un animal domestique (chat/chien) narrateur, nonchalamment étendu dans un coin moelleux de la maison, se réveille, s’étire et va satisfaire sa soif dans un verre de liqueur malencontreusement oublié sur la table. Le vocabulaire animalier et les métaphores ("j’ébrouais", "humé", "fumet", "gerce", "brindilles", "heurt", "langue"/"lapa") participe de cette double compréhension. Cette idée de "quête" trouve ainsi une belle justification dans ces dessins animés ("Les Looney Tunes", "Tom et Jerry"...) où les animaux doivent braver des dizaines d’obstacles avant d’arriver à destination. En vrai, cette notion de quête donne une réelle substance au poème, elle permet une démarche créatrice assez drôle, car en apparence éloignée de la scène qui se déroule sous nos yeux (mais en apparence seulement !) : "Jusqu’au lieu inédit", "J’écartai les brindilles qui la dissimulaient", "J’avançai", "éclaireur", "sans détour"... Très improbable aussi, le mot "sourcier" ; le regard en devient déroutant, comme manifestant l’exultation du narrateur, qui s’amuse, et celle de l’auteur, qui s’en amuse… J’adore ! Enfin, dois-je parler de cette "cerise" sur le gâteau qui nous laisse, nous lecteurs, sur notre fin / faim ? Pour pinailler, un détail : le poème étant écrit au passé simple/à l'imparfait, le troisième vers n’aurait-il pas dû être au passé simple : "Me vint le besoin…" ? Un poème bien sympathique ! :p |
Vincente
25/1/2020
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sauvage
23/2/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je n'ai compris le sens profond de la poésie que dans un deuxième temps. Et je n'ai pas eu de plaisir particulier à le trouver, désolé.
D'un manière générale, je reste ici sur ma faim alors je vais tenter de l'expliquer : - Je ne comprends pas le choix du passé composé utilisé dans les 2 premières strophes puis le saut au passé simple. - Beaucoup de locutions qui alourdissent les phrases (alors que, ainsi, et voici que, mais). - "et voici qu'il lapa" ; je me suis demandé sincèrement quel est le sujet de la phrase, le narrateur, le doigt? Et juste avant est évoqué la "langue"...Je me suis égaré. - "...promesse" coupe complètement le récit. -l'utilisation d'un vocabulaire naturel, animal manquant de charme (par exemple "j'ai humé l'extrême finesse d'un fumet"). - à mes sens, des maladresses avec par exemple"Que l'on trouve délicieux en croquant... / Une cerise à l'eau de vie", car croquer cette cerise-là me semble douteux. J'ai longtemps hésité à mettre mon appréciation à la vue des commentaires précédents mais je préfère être franc. Au plaisir de vous lire à nouveau. |