|
|
Anonyme
10/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
C'est...
Just thanks. |
xuanvincent
10/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
J'ai apprécié ce poème. Se dessinent mot à mot le portrait d'un homme et une femme qui se croisent sans oser se rencontrer.
Les images m'ont plu. Notamment ces expressions "Il se ferait journal...", "Il se ferait gros titre, ...." Détails : j'ai moins aimé "lorsqu’elle traverse ici." (ici me paraît trop vague), "petit" pour qualifier un port de tête m'a intriguée. Une belle passante, ai-je envie de dire, que Brassens aurait sans doute remarquée. |
ristretto
10/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
inconnus gravés dans la mémoire émotion
brassens bien sûr mais aussi une chanson de bazbaz :"la femme que j'ai regardé..." agréable lecture |
Anonyme
10/8/2008
|
Oh j'aime ses tranches de vie banales, poétisées..
Poétiser ? Euh pas assez à mon goût (mais ça n'engage que moi) certains mots détonnent "clairon" "gros titre" d'autres cèdent à la facilité "pas sage" (un peu usé) "mots velours" (aussi).. Bref. c'est tout de même très agréable à lire et l'idée m'a séduit (confidence;)... Des mois que cela dure ? Hum. Il a quoi comme problème ce bonhomme ? Moi si une femme me plait ça ne va pas durer des mois .. ) |
TITEFEE
10/8/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
suis assez d'accord avec certains commentaires qui disent que certains clichés pouvaient être évités mais l'histoire de cette non-rencontre est quand même agréable à lire
http://boomp3.com/listen/bzvc2fnqa_k/transports |
Janel
11/8/2008
|
moi je n'ai rien contre les clichès, tout dépend de la sauce qui les accompagne, c'est à dire de la façon dont on les utilise, de l'histoire qu'ils racontent. Moi j'aime bien celle-ci et du coup, le poème aussi.
courge |
belaid63
11/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
merci pour cette friandise violoncelle
|
Melenea
11/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Hé bien moi j'ai bien aimé navigué dans ces interdits, ces envies, ces pas-sages qui nous font vivre, et espérer...
Mél |
Olalla
11/8/2008
a aimé ce texte
Bien
|
C'est le titre d'un livre de Paul Fournel... j'ai donc été attirée !
Agréable à lire, j'aime bien la mise en relief de la fausse banalité des gens : tous recèlent des pensées secrètes, des désirs, une vie intense, invisible, retenue. Mais, pas transportée. O. |
FABIO
15/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
J ai adoré et puis les thèmes cliché çà n'existe pas.
Il suffit juste de savoir en tirer de belles choses Au fait, il l'a revu ? |
Anonyme
16/8/2008
a aimé ce texte
Bien
|
Juste merci. Le voyage est plaisant...
|
Flupke
11/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un peu désorienté par « pour être pris comme si » je ne sais pas si c’est fautif ou pas mais mon cerveau en pilotage automatique à corrigé en « comme ça » ou alors la phrase n’est pas finie après broche ? Mais il y a un point.
Ca m’a fait penser à la chanson « Parfait inconnu » de Jeanne Cherhal et à un degré moindre à Quatrième de couverture de Vincent Delerm. J’ai bien aimé Elle file, le temps aussi. Chouette poème « universel ». Plein de gens peuvent s’y reconnaitre. |
Anonyme
1/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
J'ai tout aimé. Ce cache-cache, cette écriture délicieuse, cette grâce poétique, ces mots et ces phrases qui se suspendent. C'est un poème points de suspensions dans le sens où l'incertitude, l'hésitation règnent.
Transportée. "Il ne sait goutte d’elle, Sinon ce doux parfum lorsqu’elle traverse ici. Seulement, le bruit d’étoffe, Le petit pas pressé, Le clairon d’une voix qui salue au pas sage" |