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BeL13ver
6/7/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Évocation du suicide ? De la prostitution ? De la misère ? Je n'en sais rien. Mais le titre paraît indiquer la mort et la vie à l'envers.
Pour le contenu, je ne suis pas grand spécialiste de la poésie libre, mais ce poème donne l'impression d'être un peu trop écrit au fil de la plume. La ponctuation étrange empêche littéralement de respirer. Je n'ai pas vraiment été transporté par ces vers étranges. Il n'empêche que ce poème possède une musique poignante et forte. Bref j'aime un peu ce poème, qui n'apporte pas grand chose, mais ne m'a pas fait perdre mon temps. |
Zoe-Pivers
28/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ho, ho ! Je reconnais cet univers
Cette plume à canon scié, pointée sur les 2 hémisphères de notre cerveau pour leur tirer les vers du nez. :) J'adore le visuel très surprenant, les choses, les événements prennent vie dans un cadre sans angle mort, et avec une sensibilité particulière. Merci Monsieur Von-Lukner Amicalement, Zoé |
Pouet
28/7/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bjr,
Un fort bon poème que voici. Les trois premiers vers mettent bien dans l'ambiance et j'avoue ne pas avoir été déçu par la suite. Ce texte m'a fait (un peu) penser à mon poème "L'heure de nuit" publié ici et comme j'aime bien ce que j'écris... :) C'est assez singulier et les vers sont très bien tournés. On (je) pense à une histoire de solitude, de folie. Une femme (battue?) qui trucide son mari. Le tout se terminant par le suicide de Madame. Ou l'inverse après tout, je n'ai vu aucun indice permettant de déterminer le sexe du narrateur. Y a bien la robe de mariée qui pendouille mais bon, pas réussi à réellement me convaincre que c'est une femme qui jacte même si cela me semble le plus probable.. J'ai aussi peut-être (sûrement) rien entravé du tout, parce que le titre "à l'envers", eh bien je n'ai pas bien capté à quoi il faisait référence... Peu importe. Je ne fais pas parti de ceux à qui on doit servir du sens prémâché au petit déjeuner... Une histoire très gaie quoi qu'il en soit. ;) J'ai totalement adhéré perso. Vraiment bien vu, une ambiance quoi, avec des métaphores qui me causent. Minuscule bémol: "le hurlement de la nuit" qui fait un peu "bateau" (comparé au reste s'entend) avec aussi "ils en viennent aux mains" ainsi que le dernier vers (que j'aurais aimé plus original) - expressions toute faites peut-être dispensables. Mais je crois bien que ce sont les seules choses que j'ai pu relever, c'est dire si j'ai apprécié... Allez je me fends d'un passionnément (avec une petite flèche vers le bas pour le petit bémol et parce que faut pas déconner... :) pour la singularité de l'ensemble, la tenue de l'écriture et surtout parce que j'en lis pas si souvent des textes comme ça ici. Bravo à vous. |
papipoete
28/7/2017
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Von-Lukner,
Comme un article en " une " du journal, le récit établit un fait divers, avec des photos de la chambre, de la rue et donne la température de ce sombre moment, jusqu'au bout du bout, où le héros décide d'en finir ... NB je songe à un couple qui se défait ; puis à une prostituée et son client ; à un parent et son enfant ... C'est très ambigü, et torturé comme la couleur de votre poème ! Je vais faire hurler les " libristes ", mais je redis qu'une meilleure ponctuation put éclairer davantage le lecteur . |
Anonyme
28/7/2017
a aimé ce texte
Pas
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Dès le début ce texte donne le ton de l’imprécision, de l'étrange,
de l'informe, par ces mots :"il est sans doute minuit moins ce qu'il manque". Tout d'abord, j'ai cherché de la poésie dans tout ce qui m'était raconté, et je n'en ai pas trouvé, rien de rien. J'ai eu l'impression de lire les brides d'un "polar", c'est très glauque, la confusion est entretenue, attisée par chaque phrase, qui se succède l'une après l'autre, sans ponctuation, me privant ainsi de pouvoir mieux comprendre ce de quoi il en retourne. C'est pour moi, trop un embrouillamini qui m'a rebuté. |
Anonyme
28/7/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bien qu'assez perplexe quant à mon interprétation à donner à ce texte, je dois dire que j'ai été séduit par des images intéressantes "
"il y a deux tables de nuit qui racontent deux histoires différentes ou bien la même chose mais avec des mots différents," "et une femme vient à sa rencontre pour lui signifier sa fuite ".... Mais d'autres, déroutantes : " Comme elle suce encore son pouce il ne me reste qu'un morceau de sa main et ma libido mal strangulée " |
Raoul
29/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un regard halluciné sur ce qu'on existe et ce qu'on est.
J'aime l'imagier (copieux !) dans lequel l'auteur va puiser pour construire - tout en empilements "aléatoires" - ce qui fait la vie, les vies, l'amour, les (des)amours, la routine qui fait partir en live et à vélo - livreur de journaux intimes - dans les chemins de traverses. J'aime le rythme, du jazz qui commence fort puis s'époumone, ne s'avoue pas vaincu et reprend. Une belle machine qui va du ressenti sans filtre - autre que celui du "dire" - au distancié soudain, avec plongée dans l'aquarium de la fenêtre où la vie va, un peu vaine, un peu débrayée. J'ai pensé à la prose de Burroughs - en moins c(r)amé sordide- en lisant, peut être en raison de cet essais de tout saisir en même temps; ce qui se passe derrière l'intime, les jachères du cœur, derrière la cloison, chez le voisin, au cirque des enfants, dans la rue, la ville et ses terrains vagues, au soleil et à l'ombre… à Faulkner aussi, mais je ne sais pas pourquoi, je pense aux villes un peu mortes sous la chaleur étatsuniènes, aux motels, aux vieilles Ford alors que rien, dans le texte n'est explicite géographiquement… Au passage, jolie trouvaille que ces boîtes qui grandissent pour "manger" les précédentes. J'aime vraiment bien. [Peut être qu'en prose, ça pourrait être encore plus fort] |