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xuanvincent
1/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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1er juillet :
Ce texte pourrait recevoir d'autres avis de lecteurs (sur les 19 lectures actuelles, au 1er juillet, 20h). Une chanson avec les paroles et la musique jointes, voilà qui est original ! (j'ai eu un peu de mal à trouver l'endroit sur le site pour écouter la chanson, d'autant plus qu'il semble ne pas s'afficher immédiatement, il faut patienter un peu avant que la fenêtre ne s'affiche). Le texte, qui m'avait paru un peu long lors de ma première lecture, m'a davantage intéressée lors de l'écoute de la chanson. Le rythme de la chanson, assez rapide, proche du rap (?), m'a fait mieux passer le texte. Le désarroi, enfin c'est ainsi que je l'ai perçu, du narrateur, face à sa mère, a retenu mon attention. Dans un genre bien différent, cette chanson par son thème m'a fait penser un peu à "Allô maman bobo" de Souchon. L'auteur dans ce texte m'a semblé ne pas manquer d'imagination. Bonne continuation à l'auteur-compositeur ! PS : cette chanson n'est pas forcément celle que j'ai préférée sur le site (notamment pour la musique). 28 juin : Ce poème pourrait mériter de recevoir des avis de lecteurs. Je ne l'avais pas encore lu. Après une lecture rapide, il m'a paru un peu long. |
David
1/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Wancrys,
C'est pas le même texte en écoute, enfin il est à la seconde personne plutôt qu'à la première, comme ci-dessus : c'est "tu" au lieu de "je". Il y a de bons passages, mais ça perd en cohérence un peu, le lien entre l'histoire individuelle, une rupture, qui en amenerait une autre plus générale, où "Hélas le monde entier fourmille des scélérats indifférents à l’inculture." manque un peu de transition, de limites, de mots-qui-s'enchainent-d'une-meilleur-façon : certains passages sont difficiles à suivre, le passages à l'oral pourrait noyer la compréhension. Par exemple, pour les images sur le lait et le miel, dans le premier long paragraphe, je ne sais pas si j'aurais tout saisi en écoutant sans lire. |
Marite
7/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Ce texte me plaît beaucoup surtout le refrain "Maman si tu savais..." Je n’ai pas la possibilité de l’écouter mais à chaque fois que je le lis, arrive , par bribes, un accompagnement musical né je ne sais où dans mon imagination. Merci à l’auteur.
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Anonyme
8/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Difficile de donner un avis précis: en fait je n'aurai pas du écouter le morceau!
Parce qu'en lisant simplement le texte, je n'appréciai pas plus que ça: c'était plutôt bien écrit, mais voilà... Et puis j'ai cliqué sur le lien, farfouillé un peu, et c'est vrai que ça prend une autre dimension une fois chanté...Ce n'est pas à proprement parler la musique qui change les choses, mais la scansion est très différente, et bien plus plaisante. C'est donc un texte à entendre plus qu'à lire, mais c'est un bon texte en tout cas. |
Anonyme
26/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Encore en total accord avec Kaos, le texte seul ne me tentait pas, mais scandé, dit, déclamé, chanté, musical, je me laisse embarquer. C'est un ensemble, le lien nous le propose et mon sentiment je le donne sur l'ensemble. Alors sûr, faut aimer le hip hop mais si on apprécie les mots du slam on ne peut négliger cette expression-là. wancyrs sait donner grâce à un ensemble défini : mots, voix, musique, de la chair et une émotion contenue à sa chanson.
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widjet
8/9/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Certes, d'ordinaire je ne suis pas amateur de ce genre de prose même si je reconnais beaucoup de talent à des IAM, MC SOLAAR, GRAND CORPS MALADE (moins des ABDEL MALIK) de part notamment leur aisance et leur maitrise des mots, leur force d'évocation, bref quand c'est bien fichu, c'est vraiment bien fichu...
Sans vouloir comparer deux secondes ce texte à ceux des auteurs sus-cités, on est ici franchement loin du compte. C'est mal écrit ("à ton cou tu t'attacherais un fil" ??...Plutot une corde non ? "Pour qu’avec honte je coure m’y cacher comme un amant" c'est laid ! ), avec un vocabulaire qui se veut plus "chiadé" ("choir", "gratifiés", "onomatopée", "juché"...) et qui se mélange avec des mots plus "urbains", hélas ça sonne faux, c'est bancal. Quelques répétitions ("mythique") et puis c'est tellement poussif dans sa recherche de rimes pauvres ou risibles ("Nez à nez avec le regard froid d’un cochon ", celle la elle veut son pesant!) que le message m'est passé au dessus de la tête. A lire, c'est pas terrible. A ecouter c'est un supplice. W |
nico84
16/10/2009
a aimé ce texte
Pas ↑
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J'ai lu ce poéme difficilement surement à cause du rythme variable et la longueur des vers elle même.
J'ai tout de suite buté sur deux vers : "Maman jadis avec fierté tu me disais que j’étais né gros, Aujourd’hui avec amertume elle me dit que je ne suis qu’un négro." Je m'explique, j'ai adoré le premier vers car je pensais que tu donnés déjà le sens implicite de ces souffrances par un jeu de mot "né gros". Cette expression pour moi était génialement trouver et cumuler deux discriminations en une à savoir l'ethnie et la corpulence. Mais ton deuxiéme vers est venu tout gacher comme un doublon, comme un jeu de mots qu'on explique cent fois pour s'assurer que tout le monde comprennen et que plus personne ne relève. Tu as tuer la magie du premier vers par le second. Ensuite, comme widjet le dit, il y a des vers maladroits dans leurs tournures. "Pour qu’avec honte je coure m’y cacher comme un amant" Je trouve ça long et complexe pour dire si peu. Ou encore "Mais en ce monde cruel mourir en paix y a toujours quelqu’un pour t’en empêcher. " Cela ralentit la lecture, de même que ces vers à rallonge voulu ou non qui empeche la respiration. Il y a beaucoup de mots parasites tel que "qu' ou que" déja présent 5 fois dans les huit premiers vers. Beaucoup de négations qui font encore perdre la fluidité au texte. Beaucoup de redondance dans les vers et les intentions, deux vers pour le mérite et le démérite (je comprends l'intention mais ça fait presque doublon malgré la différence). Dans les idées aussi comme lorsque tu cites des grands hommes (trois vers). Sur le fond, je n'ai rien à dire tant ce texte a de l'émotion et du potentiel. L'état d'esprit de l'auteur est bon, il a un beau message à faire passer. Mais son efficacité passe par l'apprentissage de l'écriture pour fludifier ces textes aussi forts soit il. |