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dom1
4/4/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Humain, en effet, mais issu d'une longue lignée d'animaux pour qui " l'amour " n'était, ni plus, ni moins, qu'une attirance nécessaire au besoin de reproduction, comme on peut le percevoir chez l'ensemble des espèces vivantes.
L'Homme n'a qu'un mérite, celui de conceptualiser ce phénomène naturel. Et c'est tout à son honneur, et d'avoir rendu l'acte d'amour forcé interdit et punissable Et c'est son cerveau plus " évolué " que l'ensemble des autres espèces vivantes qui lui offre cette possibilité... Einstein, quant à lui, ne fait que constater les lois de la nature. domi... |
Anonyme
7/4/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
C'est un très bel aveu de doutes, d'incertitudes, c'est très profond, quand on omet la première partie qui se veut une forme de démonstration par l'absurde (et en fait même pas tant que ça). Bref. Le message oui. Parce que sincèrement, le locuteur a un sacré recul émotionnel pour pouvoir admettre ses faiblesses de manière aussi humble. La dernière partie est assez poétique, les sonorités sont violemment bien maîtrisées, le rythme est plus cohérent. La première loooooongue strophe s'écoute parler. Pour moi, ça s'approche de la masturbation intellectuello-philosophique avec un fond de religieux illuminé... ouais bof, on sait que ce n'est pas ma tasse de thé poétique, et que je ne vais certainement pas adhérer à quelque chose d'aussi peu poétiquement abouti. Les jeux sur les assonances n'arrivent pas à relever le propos assez morne, assez plat, sans relief, ni relativité d'ailleurs. C'est l'avis du locuteur comme vérité unique. Et les majuscules, et la mise en page, tout me pousse à crier : NON JE NE CROIS PAS A CE QUE TU ME DIS. Et puis la fin... juste parfaite ! Selon moi l'ensemble manque de force, majoritairement à cause des atermoiements en première partie. Merci cependant, et au plaisir de vous relire ! Ananas, en EL |
Anonyme
17/4/2018
a aimé ce texte
Pas
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J'ai dû passer à côté, mais ici, dans ce trop long discours, la poésie est la grande absente, plusieurs lectures confirment mon ressenti.
Que dire de votre écrit, simplement pour ma part, je n'ai pas accroché, car votre phrasé étale une démonstration de l'Amour pas vraiment convaincante, malgré votre insistance avec ces phrases répétitives très très nombreuses, et cela dès le début, vous "martelez" le lecteur ... Votre texte manque de fluidité, d'aisance, d'originalité, de profondeur. Tout ce "blabla" pour en arriver à ces deux phrases essentielles : " Voilà où je suis rendu avec toi aujourd’hui Perdu quelque part entre ma tête et mon cœur " |
Provencao
17/4/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Toujours des difficultés pour moi, avec les textes longs...
"Et j’ai réalisé que les certitudes du rationnel ne sont que du béton froid" j'aurais tendance à penser que l' Amour puisse ici être entendu à la fois comme savoir assuré et comme discipline de soi.....enfin c'est ainsi que je l'ai ressenti. Peut-on dire qu'il ne s’agit de rien moins que de tenter d’atteindre la maîtrise critique de ses propres représentations de l' Amour afin de n’être plus gouverné inconsciemment par cette pseudo-"lumière" dont "la raison" pesante trahit "la création de l'homme". C’est « peu de chose » diront ceux qui voudraient des « c’est parce que l’être que tu aimes c’est toi-même" ou pas. Sans doute ! Mais ce n’est peut-être pas si mal après tout ! Je me suis accrochée aux vers, aux mots, aux interrogations....... Au plaisir de vous lire Cordialement |
sourdes
17/4/2018
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Bonjour wancyrs,
avec ce texte vous nous invitez dans votre monde habité par quelque chose de plus grand, dieu, l'amour, les équations, dans un ordre qui vous est propre. J'aime bien quand quelqu'un situe sa proposition dans quelque chose qui le dépasse...mais pas hors d'atteinte. Vous nous conduisez par marches successives, que vous "effritez" une à une, vers l'humain que vous êtes, que vous acceptez d'être. Et l'humain qui est en vous, c'est d'abord vos émotions face au rationnel, ce "béton froid", des émotions fortes de colère, d'incertitude, d'amour et peuplées du souvenir de votre mère. C'est une belle voie tracée, remplie d'interrogations, celles que l'on pose à l'origine du monde qui n'en finit pas de se déployer et à la vie qui tend ses fils imprévisibles, ce qui se ressent dans votre écriture. Je m'attendais à vous voir redresser la barre d'une telle plongée, mais votre cri final se suffit à lui-même. Je ne sais pas si vous avez écrit ou non un poème. Ne s'agit-il pas de confidences ou de pensées avec des accents poétiques, des pulsations, un rythme qui par moment pourraient être "slamés"? |
papipoete
17/4/2018
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour wancyrs
j'étais passé en vitesse, la " grand V ", en espace lecture à la vue de ces calculs d'Einstein, qui ne purent défier les lois de l'amour ; et puis à vous lire ici, un peu longuement à mon goût, je trouve que votre arithmétique pourrait intéresser un matheux, qui n'y connaît rien en séduction ? NB l'auteur verse une larme à la fin de son récit, pleurant son amour fané, effacé comme le problème au tableau, que la maîtresse avait écrit à la craie ... Mais un exercice complexe que le vôtre sur les règles de l'amour ! |
Anonyme
17/4/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Cette fois encore (allusion à "n'en déplaise à St Exupéry ") je n'ai pas accroché à cette forme d'analyse de l'amour.
Une analyse personnelle qui engendre, à mon sens, une lecture fastidieuse où la poésie reste le parent pauvre. Seule la dernière strophe a suscité, chez moi, de l'intérêt. |
Marite
17/4/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Ce texte m'apparaît davantage comme une réflexion sur l'amour que comme un poème, fut-il en vers libres.
Les deux derniers vers : " Et quand tu as honte d’avoir peur par amour, alors tu n’as pas encore réalisé que tu es humain… Je suis humain !" me font comprendre que ce texte, par un long raisonnement, n'est qu'un masque de mots destiné à dispenser le narrateur de simplement s'avouer à lui-même qu'il a peur par amour ou plutôt qu'il craint d'avoir perdu l'amour de l'autre, de n'être plus aimé comme il le souhaite et qu'il en souffre. Le mot "Divin" dans le titre me surprend car il s'agit ici plutôt d'un "amour humain" et le recours au "divin" n'est d'aucun secours je pense. |
Quidonc
19/4/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Wancyrs,
Une démonstration toute personnelle que vous nous faites sur la définition de l'amour. Plein de questionnement et de contradiction. Un discours plus rhétorique que poétique mais j'y vois un combat entre raison et amour. J'aime surtout les deux dernières strophes Merci Quidonc |
MioModus
20/4/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Des hauts, des bas, tout est relatif...
Votre texte est pas un poème, je ne l'aurais pas mis dans cette catégorie de poésie libre : il y a peu de liberté au fond dans votre texte ! Ce n'est pas inintéressant, je pense que vous devriez le retravailler un peu en vous penchant sur la grammaire, la rhétorique. J'espère vous lire bientôt de nouveau une fois ce travail effectué. A l'âme des mots ! |