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Gemini
21/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Poème à la Sisyphe ? La simplicité m'a plu, et j'ai trouvé l'éphémère bien traité. J'ai présumé que l'auteur était sur les traces d'Aline. J'aurais mis "vague" au pluriel vers 3.
Poème à la Sisyphe ? |
izabouille
21/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai bien aimé le début, jusqu'à "les emplit de sa teinte" (où je mettrais un 't' au lieu du 's').
Ensuite, ça ressemble plus à une énumération, une liste de choses qui se lit dans un rythme plutôt saccadé auquel je n'ai pas vraiment accroché. |
Anonyme
22/8/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Un poème de douce sensualité. Agréable et simple, il se laisse lire, sans cependant me laisser une "empreinte" très marquée. Le second vers "Je pose des empreintes" avec ce verbe "poser" doit pouvoir être modifié pour mieux résonner. Bonne continuation, Éclaircie |
papipoete
25/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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libre
pieds nus sur la plage tout seul, rien ne se passe . pieds nus sur le sable avec toi, la mer jalouse efface tout, mais je suis heureux de faire des jaloux ! NB fraiche et joyeuse, votre plume chante ce bonheur si simple, de laisser derrière soi la grisaille, et cueillir devant soi des grappes de soleil . papipoète |
lucilius
26/8/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour, je ne suis pas franchement emballé par ce texte que je trouve un peu mièvre. La répétition des pieds nus dans un texte aussi court et les deux vers "je marche" "tu marches" y contribuent. Une écriture d'adolescent qui offre une image agréable, sans plus.
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dom1
28/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Simple et efficace. Rien à rajouter à cet été-là...
domi... |
Ombhre
29/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Un joli poème, même s'il est difficile de repasser derrière "les feuilles mortes". Mais l'ambiance est là, simple, légère, cette éternelle marche des amants sur le sable volage.
Le passage: "L'eau qui vient par vague Les emplis de sa teinte Bleue Ciel Azur" manque un peu de rythme et est à mon sens un peu convenue. L'ensemble se lit avec plaisir, et se relit. Merci pour le partage. |
Gabrielle
30/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème qui traite de la difficultés à laisser des traces des instants de bonheur et de vie.
Le narrateur dépeint des instants heureux tout en soulignant la fragilité de la pérennisation (sous la forme " d'empreintes") de ces moments de bonheur et de vie : '"Et l'eau....empreintes de nous". Un texte qui porte sur le souvenir et qui prépare à l'avenir. Merci à vous. |
Anonyme
9/9/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé la première partie de ce poème avec cette image de l'eau qui remplit les empreintes, " Murmure des vents du large
Mouvance des flots ". La deuxième m'a rappelé la chanson de Prévert. Toutefois, ici, il n'y a pas de mélancolie ; au contraire l'eau est jalouse de cet amour présent. Une lecture simple et agréable. |
Robot
10/9/2018
a aimé ce texte
Bien
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Cette promenade a deux sur la plage à toute ma sympathie. Elle éveille quelques réminiscences, sauf que les miennes sont par un ciel sombre sur une plage grise et fraiche de la mer du nord, ce qui n'était pas moins agréable. Car comme dans ce texte, l'important c'est d'être en compagnie, en osmose de pensée avec l'autre, en défiant la jalousie de la mer qui s'efforce d'en effacer le souvenir.
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JcJaZz
10/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est tendre, beau et poétique
La métaphore est bien trouvée pour sublimer l'instant présent J'adhère à cette ballade amoureuse sur la plage aux empreintes éphémères Pourquoi le "je" seulement au 2ème vers et pas le nous ? "Pose" au vers 2 et "qui" au vers 3 cassent un peu le charme Je me permets une proposition qui n'engage que moi bien sûr : "Pieds nus sur la plage Dans le sable nos empreintes L'eau vient par vagues Les emplir de sa teinte" Merci |
Eki
11/9/2018
a aimé ce texte
Bien
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Pour le petit côté délicat et insaisissable...
Eki très vague |
Diogene
9/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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C’est fascinant comme parfois des mots peuvent être utilisés seuls. "Bleu Ciel Azur" posent un cadre aux bords ouverts en laissant dans la tête du lecteur toutes les images que ces seuls mots évoquent.
Trop de poèmes de ce genre, en vers courts et libres, finissent par une succession de petits vers dont le sens nous échappe, et rendent le texte hermétique. Ce n'est pas le cas ici. Simple, tendre, beau, il suffit de quelques mots bien placés pour donner à un poème un rythme fort, de l'intensité des sentiments qui lient deux personnes, et à la fois très doux, de cette douceur du partage, de l'amour, et de cette eau jalouse qui efface nos empreintes tendrement sans colère ni rancune. Un poème très agréable à lire. Amicalement, D PS : "Je marche, tu marches, à mes côtés" s'agit-il d'un homme et d'une femme ou d'un parent et un enfant ? |