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dom1
16/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime beaucoup votre façon de poser une onde sensorielle qui marque la d'une période riche et courte dans laquelle on laisse quelques plumes et quelques illusions.
domi |
Alcirion
1/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il y a une volonté de modernité dans le style et les images, malgré un choix de "mise en texte" plutôt classique.
Le champ sémantique donne une impression décandentiste, la plupart des mots ayant une connotation négative, et participe d'autant à l'ambiance mélancolique. Rythme et sonorités me posent parfois problème parce que les vers sont longs, mais c'est plus affaire de goût je pense (j'ai un peu de mal quand ça dépasse les 13 ou quatorze pieds :) Un texte original dans ses choix d'images et de métaphores. |
Anonyme
1/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Originalité dans les mots et les images pour décrire le déclin de l'amour ; " le temps des coeurs qui se craquèlent puis qui éclatent ".
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Marite
1/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Wancyrs,
Les nombreuses variations de rythme des vers ont gêné ma lecture. Mais les expressions et images originales se rapprochent, à mon avis, davantage de la prose poétique. La première phrase m'a séduite (sous forme de prose) : - Et voici qu’arrive le temps des cœurs craquelés, arides comme les terres sahéliennes que l’harmattan des absences a séché. Mais aussi : - Les mots blessés ont des pansements aux yeux ... La bouche esquisse un sourire échaudé ... elle revêt les frissons des matins d’automne quand l’été des baisers a pris la poudre d’escampette. Enfin, il faudrait presque tout citer. Texte reçu comme une confidence. |
SQUEEN
1/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il y a une certaine rugosité dans l'épanouissement de la souffrance. Les mots ne "coulent" pas et cela renforce cette impression de crescendo dans la douleur qui me semble intéressant. La forme épouse intelligemment et joliment le fond.
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Anonyme
1/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il y a de la douleur à redescendre de l'échelle.
Vous le dites bien. Même si des mots appuient trop sur le classique pour que cela me coule agréablement dans l'oreille. L'harmattan, est un exemple. Un mot qui ne me plaît pas. Je sais pas expliquer pourquoi. De coeurs craquelés en coeurs essorés, la chute en coeurs éclatés est inévitable. |
papipoete
2/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour wancyrs,
Comment en images mouillées, évoquer un coeur qui se craquèle, frissonne et s'éteint peu à peu . NB une peinture riche en images de ce sentiment qui bientôt ne sera plus ! " l'arme à l'oeil, l'iris s'apprête à plonger dans les eaux salines de la peine " est mon vers préféré ! |