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Anonyme
9/10/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
A la lecture de votre texte, à mon tour je peux dire: désolé mais le temps passe et rien ne se passe. Peut-être n'ai-je pas trouvé la clé, le code, suis-je resté sourd, muet, immobile dans ma camisole ? A bientôt peut-être, à vous relire. |
Pimpette
27/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Immobilité douloureuse d'un homme dans une cellule!
Temps dont on pense qu'il passe alors que justement il ne passe pas IL file du silence et du sur place.... ""Du soi face à soi'' Je ressens vos mots ainsi. Essai réussi sur un sujet difficile à dire... |
LeopoldPartisan
27/10/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai un ami qui va bientôt nous quitter qui je crois aurait vraiment apprécié ce texte, comme je l'apprécie et même encore beaucoup plus tant il m'a raconté son coeur écroué et sa voix inaudible.
Sacré force que cette poésie aux mots si simples mais aussi si singuliers dans leur intense solitude. Le temps passe... Bravo Wancyr pour cet instant d'une rare intensité. |
belaid63
27/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour Wancrys
cela fait longtemps que je ne suis pas passé par la je découvre la un poème léger, qui se laisse lire agréablement et qui tricote tout au long de son parcours une prison pour un coeur solitaire j'aime beaucoup merci pour ce partage |
Anonyme
27/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
belle écriture pour dire l'enfermement et/ou l'immobilité. Il y a quelques images particulièrement belles et fortes je trouve, je ne vais pas recopier le tout, seulement celle que je préfère : "Poussières de faïence Du soi face à soi" bon, comme j'hésite, j'ajoute : "À crier d'une voix inaudible la vie des cœurs écroués " Petite remarque : je préférerai : "Dans une diatribe de sourd-muet," sur une seule ligne et pareil pour "Qui enserrent les corps immobiles", à mon avis ça amplifierait un peu le souffle (ou le cri silencieux) du poème, à contrario ça en accélérerait un peu le rythme (je crois) ce qui ne vous conviendrait peut-être pas. À vous relire C. |
Anonyme
27/10/2015
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Bonjour wancyrs
En peu de phrases vous créez l'émotion et vous ouvrez l'imaginaire du lecteur Ces prisonniers sont-ils derrière des barreaux ou sur un lit d'hôpital ? Je penche pour la seconde hypothèse En tout cas, c'est rudement bien ciselé Merci wancyrs et bravo |
Robot
28/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le temps emprisonne le corps, prisonniers ou malades, ou tout simplement vieillissement.
Ce poème qui laisse au lecteur sa propre interprétation est superbement suggestif. |
Pouet
28/10/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien la métaphore des "cœurs écroués".
Un texte sur la fuite du Temps et l'immobilisme des Cœurs... Concis et bien écrit, une lecture agréable, merci. |
Vincendix
28/10/2015
a aimé ce texte
Pas
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Même si ce texte veut exprimer un enfermement, je le trouve tout de même un peu trop condensé.
Que veut dire poussières de faïence ? |
cervantes
28/10/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Un texte dense par sa longueur et pourtant sans véritable densité...
Il y manque pour ma sensibilité ce je ne sais quoi d'émotion, de sentiment... Seule résiste l'inutilité de la vie, du temps... Je n'ai pas vraiment adhéré. |
lala
28/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour WANCYRS,
Combien quelques mots peuvent être évocateurs ! Vous exprimez les souffrances de l'attente d'êtres déshumanisés, vous les appelez des corps, pas des personnes. Ils sont immobiles, seuls, oubliés, ni entendus ni entendants. Il ne leur reste qu'un cœur prisonnier dans leur corps. Et le temps passe, sans avenir, avec un horizon lointain qui ne promet plus rien. Le temps si lent ressemble à ces corps immobiles. Profond. |
Louis
29/10/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Je suis surpris par l’idée fausse sur laquelle repose ce texte. D’autant plus que d’autres poèmes de vous m’ont semblé bien plus pertinents.
Le « temps passe », et vous en faites la cause d’un emprisonnement, par ce passage même ; vous en faites la construction d’une prison pour les cœurs et pour les corps. Le temps, en effet, tricoterait les mailles d’une « camisole de force » qui « enserrent les corps » de façon à les rendre « immobiles ». Quel paradoxe ! Comment des corps peuvent-ile êtres immobiles, donc sans mouvement, sans changement, alors qu’ils sont soumis au temps qui est devenir et changement ?! Le temps engendrerait-il son contraire ? Ce qui est dit ne vaudrait que pour les « cœurs troués ». Il faut sans doute comprendre par là, les cœurs percés, les cœurs douloureux. On sait que le temps paraît lent à celui qui souffre, rapide à celui qui est heureux, mais en quoi pourrait-il constituer un enferment pour les corps et les cœurs ? Sans le temps, il n’y a pas de possibilité de sortir d’une situation de souffrance, pas de libération possible, parce qu’il n’y a pas d’avenir. C’est parce que le temps « passe » qu’il y a un présent, un passé, et un futur. Le temps n’est donc pas cause d’un enfermement, mais condition nécessaire d’une libération. L’enfermement est possible, malgré le temps, pas à cause de lui. Le « cœur » peut être prisonnier d’un passé, d’un passé douloureux qui justement ne veut pas passer, non faute du temps, mais par une sorte de refus du temps. Si le corps est prisonnier, « immobile », c’est qu’il est effectivement enfermé dans le présent, seul notre esprit peut voyager dans le passé ou dans le futur, mais le présent, lui, n’est pas immobile, il est sans cesse changeant. Le présent, c’est maintenant, mais un maintenant toujours nouveau. Le temps passe « et rien ne se passe », ajoutez-vous. Rien ne se passe indique que rien de nouveau ne survient. Le temps se fait répétition du même. Mais pour que cesse cette répétition, faudrait-il que le temps ne passe plus ? Le temps reste la condition de l’émergence d’une nouveauté. Si le même revient, ce n’est pas la faute du temps. La situation douloureuse que vous décrivez a son origine ailleurs que dans le temps. Cette origine n’est pas recherchée. Vous restez enfermé dans une tautologie « vie des cœurs écroués » et « immobilité des corps prisonniers ». Les causes véritables de l’emprisonnement ne sont pas explorées. La souffrance entraîne un corps « immobile », figé, statufié, paralysé ; la souffrance provoque inaction et passivité, engendre l’incapacité d’une action libératrice, cela à la rigueur peut se comprendre, mais pas à cause du temps, malgré le temps qui passe, plutôt. Le temps passe, et le cœur en souffre, et cette souffrance paralyse le corps, qui demeure immobile, inactif, figé hors du temps. Le corps serait donc victime du temps qui passe, rejeté hors du temps par le temps lui-même. Est-ce ce que vous voulez dire ? Votre texte a toutefois le mérite de susciter une interrogation sur le temps. |
Anonyme
31/10/2015
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J'aime beaucoup : "Poussières de faïence".
Autrement, c'est un peu trop dénotatif (vers 2 - 3 - 4 - 5). Votre message est trop présent ; autrement, dit, ça ne va pas assez au-delà des limites imposées au Verbe par le quotidien où le vécu immédiat... |
Anonyme
31/10/2015
a aimé ce texte
Pas
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J'ai compris des prisonniers dans une camisole de force et le temps qui passe , ça ne m'a pas vraiment interpellé , pas mal écrit mais le temps passe et j'en sais pas plus sur le sujet ???
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costic
1/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Poème qui tisse parfaitement l'idée du temps avec celle des corps. De très belles images qui ont su éveiller des émotions profondes. : le filage des camisoles, le ficelage des secondes, la diatribe de sourd muet et surtout les cœurs écroués.
Poème sensible, troublant. |
ManonLunalice
8/11/2015
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Je note de belles images (le temps qui tricote les secondes par exemple) et une musicalité chantante. Attention peut-être aux virgules pour rien en fin de vers ?
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