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Anonyme
6/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Voilà de l'engagé, du combattif. Deux productions qui alternent les rythmes avec intelligence. Deux productions qui revêtent un aspect politique. Au moins, c'est un auteur qui prend un risque. Je trouve courageux de proposer ce type de poésies, de les exposer. Un ensemble plaisant à lire qui donnera lieu à discussions. Et c'est bien. Un côté slam, je trouve.
"Je suis la breloque qui siège à ta porte, la culpabilité qui t'étreint, l'onde qui trouble ton lac de quiétude, l'enfant de Sodome qui attend tes pierres pécheresses, jadis ton semblable – fils de ta mère -, aujourd'hui un piédestal pour tes gloires... Pourquoi !" |
framato
9/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Dense, profond, dur, et beau ce texte, vraiment. Percutant aussi.
Une lecture que rien ne vient heurter, sauf peut-être ce vers : "combien de temps encore à ruminer de souvenirs habillés de crasse ?" ne rumine-t-on pas quelque chose ? J'aurais mieux compris ruminer des souvenirs. Le reste est assez fort, existentiel... croire et attendre, sans s'apitoyer sur soi. J'ai beaucoup apprécié, merci à l'auteur de nous offrir à lire ce texte fort. |
kamel
12/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
les mots sortent avec force et s'alignent en vers pour dénoncer son sort délabré.les mots s'éparpillent en surface en cachant un secret bien profond ,celui de s'ensevelir cette graine et de pouvoir la voir un jour germer mais qu'importe ,le silence,l'attente, le murmure,la patience restent lié à ce pleur sur ce sort . J'ai aimé le ton de ce poème qui explique un thème profond ,très profond même au niveau de son énonciation. Bonne continuation. |
shanne
12/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Ce qui m'a attirée ? Pas vraiment le titre au départ mais la présentation: La peur est un opium que nous avons longtemps fumé, en silence Peur ? nécessaire pour avancer mais qui ne doit pas être excessive. Opium, sédatif, analgésique et je dirais anxiolytique. Bref, j'ai lu et je ne suis pas déçue. Oui, je renais en arrêtant progressivement cet opium, je prends conscience. J'aime bien: Tuez toute attente , recommencer...Une lueur arrive, Dieu, mon opium, tu me demandes quoi vraiment ? Pleure sur ton corps délabré... là, non, je ne veux plus. Pourquoi, dois je nuit et jour implorer ? La patience, à force d'attendre le messie, s'érode. Le constat est là: je veux me passer de toi pour vivre. Pour moi, c'est super, une lecture très agréable et un grand merci à vous |
Anonyme
21/1/2011
a aimé ce texte
Bien
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malgré de belles images, la force des vers, je ne suis pas touchée par ce poème, une fois de plus l'auteur en fait trop dans l'émotion, dans le courroux. le ton est colère mais il ne vient pas jusqu'à ma sensibilité. et pourtant j'aime chaque mots que je trouve accessibles, originaux, puissants, le ton ne s'essouffle du début à la fin.
alors peut-être est-ce à cause de la longueur dont l'humeur du narrateur qui au début m'a plu mais à la fin vite lassé? dans ce cas ce n'est pas la faute de l'auteur. car en dehors de l'émotion qui n'a pas fait écho en moi, je ne trouve rien à dire au niveau de la forme. par contre cette strophe me touche car elle dit de manière très belle ce que je pense aussi: "Le paysan cafre réveille l'aube de son pas nonchalant, traîne le boulet désir ; si doux est le lit aux premières lueurs du jour, lancinant est le cri du ventre quand à mi-course, le soleil s'attarde. La brise matinale ne martyrise plus sa peau pelée ; elle se love dans les anfractuosités que le temps a drainées sur son faciès. Il a beau nourrir l'humanité, ses actions ne caracolent pas au sommet de la bourse des valeurs humaines." |
Marite
23/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne pouvais pas lire ce texte sans relire "Paria : L'éveil":
" ... et je t'ai vu assassiner mes racines, égorger mes tabous, brûler mes rites. ... Entre cime et gouffre, je cherche mon visage, mon image, mon village ... Les dieux bientôt me livreront ..." et "Paria - Lambeaux d'errance"/ " ... Dans les décombres de mes rites, j'ai cherché les vestiges d'un passé qui m'était inconnu. ... Aveuglé par ta science, j'avais oublié combien les choses les plus simples étaient agréables... Ai-je enfin trouvé mon image, mon visage, mon village ? Les dieux sont-ils cléments ? " Dans ce troisième volet de Paria je n'ai pas trouvé la réponse. L'écriture est toujours aussi puissante pour décrire la désillusion et la révolte baillonnée. Où sont partis les Dieux ? Renaissance dans la douleur ... tout à reconstruire. L' ensemble des trois volets forme un très beau morceau Wancrys. |
chachnikov
3/2/2011
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Commentaire modéré
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Astras
3/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quel beau mélange de l'épique et du vers-libre !
Ce texte m'a fait penser à la noblesse des récits de la Grèce Antique, concernant le fond. J'adore cette forme qui flâne quelque part entre l'iambe et l'hexamètre, - bravo pour le courage de l'avoir fait, il fallait oser! La fraicheur des métaphores a également épinglé mon attention. Malgré le fait que ce soit un poème qui parle plutôt à l'esprit au détriment du cœur, j'ai beaucoup aimé! |
Flupke
14/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Wancyrs,
Un texte fort, truffé de pépites: J’ai bien aimé en particulier : La hargne – charogne de ma crédulité trahie La nuit enseigne l’oubli Ses mains calleuses seront taire son anxiété (superbe !) Par contre dans le contexte de ton poème je dirais l’avoir supplante l’être, mais il ne s’agit pas ici d’un correction. Une saine révolte, violente mais qui semble contrôlée car elle ne tire pas dans tous les sens, ne semble pas aveugle. J’ai beaucoup aimé. Merci. Amicalement, Flupke |
Eric-Paul
14/5/2011
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Commentaire modéré
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