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framato
8/10/2010
a aimé ce texte
Passionnément
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Ai-je enfin trouvé
mon image mon visage, mon village ? Les dieux sont-ils cléments ? J'avais lu Paria - L'éveil que j'avais trouvé beau, et il me semble bien que ce texte soit en lien avec celui-ci ). Et il est est magnifique ! Sans doute encore plus beau. Danse fille des campagnes, car la terre respire à nouveau. Un texte très fort, existentiel et important. Ça c'est une poésie qui me parle et avec force ! Je suis subjugué, convaincu et sur les rotules !!! (édition : j'avais lu le texte en espace lecture, et le titre ne mentionnait pas Paria, un souci de respecter l'anonymat, je présume !) |
Lariviere
8/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Superbe texte !
L'écriture est belle et ne manque pas de profondeur. La ponctuation maitrisée mène la fluidité et le rythme. Du début à la fin, les effets et le texte restent de très belle qualité. L'intégralité du poème ruisselle de sens, de sons, d'émotions, d'émerveillement "naïfs" ou de sensibilités subtiles... "Vaudou des bonheurs mondains, tes aiguilles tressaillent sous les vibrations de l'éveil..." Très beau texte, un talent (et un beau travail d'écriture !) qui pointe fortement et qui commence à donner le meilleur de ses fruits... Merci pour cette lecture ! |
shanne
8/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
J'aime beaucoup le titre: surtout lambeaux.J'ai l'impression de lire ou d'entendre, j'abandonne ces lambeaux pour faire peau neuve, ou une ouverture vers quelque chose, je suis sensible aux vers suivants: Si gémir, prier, pleurer est lâche, garder le silence l'est-il moins ? lourd de sens à mes yeux...j'ai l'impression de suivre un chemin de vie bien exprimé, sensations fortes pour moi, bref, très beau et une lecture très agréable Au plaisir de lire une suite...holà, je suis un peu gourmande. En tout cas un grand bravo |
Marite
8/10/2010
a aimé ce texte
Passionnément
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Magnifique Wancrys! Je partage l'avis de Larivière " ... un talent (et un beau travail d'écriture !) qui pointe fortement et qui commence à donner le meilleur de ses fruits...
"Dans les décombres de mes rites, j'ai cherché les vestiges d'un passé qui m'était inconnu. Épris de compassion, ils sont arrivés et ont cherché avec moi. « Une seule main ne peut attacher un fagot », m'ont-ils dit. Alors l'émoi a pris le dessus sur l'orgueil, et j'ai pleuré de soulagement. " Tu trouveras et tu comprendras Wancrys. N'aie aucune crainte, tu ne seras pas seul et tu retrouveras ta Terre et: "...Marqué par Elle à jamais, Tu entendras son rythme, tu percevras son souffle, tu toucheras son âme la paix envahira ton coeur l'espoir illuminera ta vie l'univers s'ouvrira devant toi..." " C'était une partie d'une poésie en vers libres que j'avais présenté en apprentissage il y a ... très longtemps. " |
krull
8/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Beau texte au global décevant (en comparaison) sur sa première partie. Ou la formulation parfois alambiquée ressemble plus à une succession de "belles phrases" juxtaposées qu'a une texte construit.
La deuxième partie plus simple vient du cœur et coule naturellement et emporte l'assentiment de tous. Les autres commentaires ne relevent eux aussi que des passages de cette partie là. Un talent certain qui ne doit pas se perdre à s'écouter. |
Leo
10/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'auteur continue de parcourir le chemin de mémoire et de racines qu'il a ouvert avec le premier opus de "Paria". Il parcourt ce chemin avec la même force, la même intensité, et nous fait ressentir avec force la douleur et l'indicible.
Mais je serai moins enthousiasme pour ce volet que je ne l'ai été pour le premier. En effet, si l'auteur trouve des accents très purs, il les "noie" souvent par un renchérissement inutile, qui loin de renforcer le message, vient l'affaiblir. Un exemple : "Une main se pose sur ma désolation, et me condamne à la douleur du non-châtiment. Être conspué aurait été plus doux, mais les sommités disent : à quoi bon !" La première partie est remarquable : "(...) me condamne à la douleur du non-châtiment". La force de l'image vient d'un oxymore osé, mais fort bien venu, dans lequel on ressent tout le mépris que porte l'oppresseur à l'oppressé : on ne châtie que ce qu'on aime, ne pas châtier est en soi réduire à la dimension d'un objet. Pourquoi avoir rajouter à cette très belle phrase cette "explication", que j'ai mis en italique", qui n'apporte rien de plus ? A mon goût, elle diminue la force du début. L'écriture reste très forte, très belle, et sonne juste. Mais il faut essayer de lui garder cette force pure, ne pas chercher à trop en rajouter : l'accumulation, l'insistance, dans ce contexte, ne peut que desservir l'émotion. Ce n'est pas le volume qui fera la beauté finale de cette très belle poésie. |
Anonyme
18/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'm les poésies qui ont du caractère.
Ici, le phrasé me plait beaucoup, l'utilisation de certaines techniques rythmiques ou lexicales me plaisent particulièrement, à l'image de la première suite de trois vers, cette strophe d'ouverture est magnifique. Personnellement, j'aurais ponctué autrement, certains mécanismes auraient gagné en force d'impact. Cependant, toute l'œuvre est intéressante, d'un point de vue des couleurs, de l'émotionnel engendré par le réel, des auteurs auxquels me renvoient la poésie - qui doivent être lus par l'auteur - et dont il emprunte les techniques. Il y a un côté indéniablement merveilleux dans ces Lambeaux d'errance. J'avais apprécié L'éveil. Idem dito. |
Flupke
9/11/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Wow, je sens tes racines vibrer. (et un peu ta douleur).
Superbe l'intro: Quand ouvrir les boîtes de Pandore lasse, la magie sur les sens se meurt. Requiem pour un prestidigitateur. Bien aimé: Et cassent leurs pipes, les bibliothécaires du patrimoine culturel sans relève assurée. Cela me rappelle un ethnologue qui avait étudié les Dogons (C'est sûr que sur le plan de la tradition orale, un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle). Mais que n'écris-tu des nouvelles avec un tel panache ? Bravo. Amicalement, Flupke |
machin
30/11/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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Ton poème est un immense château fort. Les portes sont lourdes à ouvrir, les salles difficiles à chauffer et à meubler. Tu as beau t’armer de grandiloquence, sortir ta plus belle artillerie de mots, tes pièces restent vides et glaciales.
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chachnikov
14/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
je n'ai pas réussi à être transporté dans votre imaginaire ou réalité romancé. Je trouve ce texte un peu préfabriqué dans ses formulations. Comme cette citation très flon-flon: "Le corps d'un oiseau mort ne reste pas dans les cieux" Par contre je trouve le rythme très bon. Je sens l'énergie du travail, trop à mon goût. Bonne continaution. |
Anonyme
25/5/2012
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Commentaire modéré
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Donaldo75
28/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Wancyrs,
J’ai lu ce poème en prose avec attention ; je suis partagé entre deux avis. Le premier, le moins laudatif, rejoint celui d’un des commentateurs, machin – je ne plaisante pas, c’est vraiment son pseudo – qui compare ton poème à un château fort aux lourdes portes et aux pièces vides et glacées. Il est vrai que tu n’as pas lésiné pour ce qui est de la masse lexicale et je comprends que certains lecteurs puissent se sentir exclus ou avoir du mal à digérer l’ensemble. Le second compare ce poème aux pyramides égyptiennes ; il parait impressionnant, ne laisse pas indifférent et en impose par les efforts déployés pour le rendre presque épique. En tout cas, il y a du travail de très grande qualité. A plus sur d’autres découvertes archéologiques. Donaldo |