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troupi
16/12/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Sacré Wancyrs, avec toi on ne peut pas s'attendre à du banal. Même si tous ces néologismes ne sont pas toujours faciles à lire il participent d'un étrange voyage où tu nous entraines. Ces situations peut-être plus oniriques que vécues ; du moins certaines, emportent notre imaginaire et c'est pour cela que je trouve incongrue cette phrase " on aurait dit deux oranges assoiffées d'une bouche sèche."
tellement prosaïque, alors que "Étendue sur le dos, les contours de ses seins s'enfigurinent dans ma mémoire contemplative" participe tellement de ce singulier voyage. On se surprend à planer tout au long de ton poème et d'un coup c'est la brutale chute ; retour au réel, deux oranges et une bouche sèche !!! Alors que ce retour au réel tu l'avais si bien amené avec : "Une femme dans mon lit et, de mon matelas pneumatique je la contemple s'éveiller. Elle me sourit, Comme tu le fais si bien… Je t'aime tu sais ? Bref mis à part ce détail ( qui n'en est pas un pour moi) j'ai beaucoup apprécié. A bientôt Wancyrs. |
Miguel
16/12/2013
a aimé ce texte
Bien
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Une belle fantaisie pleine de charme avec sa dimension onirique. Mais ce qui est trouvaille au début perd de sa force par un emploi abusif. Ces noms devenus verbes, ces néologismes en "en", devenant systématiques, n'opèrent plus de la même façon, dommage car ce n'est pas sans beauté au début.
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CharlesJosephin
17/12/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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sous le charme des mots qui naissent et se réinventent et réinventent avec leurs naissances une histoire qui aurait pu être banale, et finalement ne l'est pas.
Très imagés, chargés d'émotions, et si riche de sa réelle complexité: "Tu m'aimes, je le sais ! Mais moi… Et moi ? Je m'enclume sous les coups des désirs, quand l'affection sentence mes plaisirs ; je crains que l'on s'empaysage dans mon espace, je crains que ma liberté s'encaptive " le "elle, tu, je, une" comme un élastique qui se rapproche, reprend distance, revient... j'aime beaucoup. J'aurais rêvé comme me l'écrive tiens! |
MissNode
18/12/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Tu m'embêtes, Wan, au point que je ne vais pas évaluer :
J'applaudis la structure avant tout puis la créativité de l'écriture et surtout l'habileté à mener le propos (détails ensuite) Mais dans le même temps, c'est limite si je ne trouve pas la construction limite manipulatrice les créations "en" saoulantes et le propos facile La structure : elle/lui (le narrateur) - ses doutes à lui - la rencontre fortuite - retour à elle/lui... ce déroulement est bien fluide pour raconter une histoire en délicatesse et en prenant l'air d'un monologue. Quand je dis "limite manipulatrice" c'est que cette ossature est enrobée de la beauté de l'écriture, qui, moi, m'a fascinée jusqu'à me faire admettre qu'une compagne-régulière puisse éventuellement remercier une maîtresse-incartade d'avoir révélé à "son homme" l'amour qu'il éprouve pour elle (compagne). C'est vraiment bien mené : à la fin, j'adhère à tout : l'écriture avant tout, la construction, le propos ! Les créations en "en" : parvenue à la troisième, j'ai trouvé ça saoulant, limite lourd, puis c'est devenu naturel, comme faisant partie intégrante de ce (nouveau) langage de l'amour, tout "en"veloppant, et j'ai fini par applaudir l'audace qui crée avec succès l'univers particulièrement intime de ce texte. Au terme de cette longue critique, je m'aperçois donc que je suis conquise ce qui efface mes doutes initiaux, et donc j'évalue :)) |
Anonyme
18/12/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai trouvé ce texte très fort. Les mots sont vraiment bien choisis et ils racontent bien l'histoire de ce "je t'aime tu sais ?"
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Anonyme
19/12/2013
a aimé ce texte
Bien
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Je salue l'originalité de cette poésie, fallait oser triturer de la sorte le vocabulaire ! Ce n'est pas si choquant que ça finalement, on finit même par adopter ces néologisme à répétition et les considérer comme un autre langage, un langage au service de l'amour.
C'est deux vers m'ont particulièrement marqué car quelque part je m'y retrouve : "Car en moi cette âme solitaire Qui toujours s'entiche des déserts…" |
Anonyme
28/12/2013
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Désolé, mais je trouve ce texte pompeux à souhait et c'est sans doute dû au fait que vous n'avez de cesse de l'empesantir avec tous ces préfixes. Du coup vos néologismes sont pour la plupart laids, et je n'en comprends même pas l'utilité.
En fin de compte (et ce n'est que mon avis bien sûr) ce texte aurait gagné à être dénué de toute cette fioriture. |