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WildPath
24/5/2018
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Commentaire modéré
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Anonyme
24/5/2018
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Si j'ai apprécié les deux dernières parties de ce texte, "Le chant des hommes" et "Les racines de vie", je n'ai as su percer le sens véritable des trois autres aux images parfois sophistiquées.
Texte ésotérique, à mon avis, qui appellerait quelques indices selon le bon vouloir de l'auteur-e. |
Anonyme
25/5/2018
a aimé ce texte
Pas
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Malgré une lecture attentive, ce poème n'a pas réussi à me faire entrer dans son univers.
Les mots se lisent mais sans laisser de traces. Ils ne me procurent aucune émotion étant trop accaparé par le fait de percer leur mystérieux bavardage. La formulation employée leurs donne un aspect "froid" éloignant le l'envie d'échange, de partage. Il n'est pas facile de se faire une petite place et mon ressenti glisse désespérant vers une certaine indifférence, pourtant je perçois un petit quelque chose ... trop personnel sans doute. |
David
26/5/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Wildpath,
Je crois que j'avais déjà entendu parlé des "vesnas", en cherchant son singulier, c est une déesse du printemps dans la mythologie Slave. Je ne trouve rien pour "Moraine" malheureusement, et dans le premier passage, je ne sais pas qui est "l'héritière". Il me semble que c'est Vesna, mais une lecture simple indiquerait Moraine. Une ponctuation (autre que l'unique point final du poème !) aurait permis de suivre plus simplement la lecture. En poésie, les fins de vers peuvent avoir un rôle de virgules et les fins de strophes un rôle de point final, mais ça demande de s'exprimer très simplement pour être sans ambiguïté. Ici, les strophes sont très longues et non ponctuées, donc les "phrases" sont complexes. Dans le second passage, des articles semblent occultés, en plus de la ponctuation. Sans savoir si c'est bien ça, je l'ai lu un peu ainsi : "(la) Grisaille et (le) vide oubli (le) Silence et (la) paix (de l)'ennui La langueur abîmée Dans la pierre imprimée Et de ses propres larmes La neige enfin désarme Une étoile chuchote Le secret dont se dote (la) Lumière en son chemin Au silence abyssin" C'est très présent au début, rendant le style presque télégraphique. Sans ponctuation, je ne peux pas savoir si "la neige désarme une étoile" ou si "neige" et "étoile" appartiennent à deux phrases ou deux groupes lexicaux distincts. Je remarque en relisant qu'il y a aussi une seule virgule, un point d'interrogation et d'exclamation, ce qui renforce mon impression que la ponctuation n'est pas pensée autrement mais occultée dans l'écriture, ce qui est souvent très dommage car un lecteur a peu de repère pour se la représenter. Il y a ce final sur "usufruit", qui m'évoque un vocabulaire de notaire, mais il signifie bien jouir sans posséder, ce qui invite à en faire une lecture romantique. Il n'empêche que sa place finale et son registre de vocabulaire d'origine me semble trop contrasté pour ce poème dont j'associerais le propos plutôt à un conte de fée, une ton de légende. Il y a une certaine musique dans les vers mais le poème est difficile à suivre, ce qui me laisse une impression de longueur. Des références ardues au début et comme à contre emploi à la fin brisent ces moment-clés d'une lecture de poème. |