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troupi
29/4/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je n'avais lu que quelques vers et déjà je savais que ce poème était beau, comme on aimerait en lire plus souvent et si toujours je lis plusieurs fois avant de mettre une appréciation cette fois-ci une seule lecture m'a convaincu qu'il s'agit bien d'une belle écriture.
"Inspire l'innocence aux apprentis sourciers.." "Sois sel et pur ferment, tel au pain le levain." "Si les perles chantaient, rosée en frémirait." "Éclabousse, étincelle, ô toi, Larme limpide." je choisis ces vers comme particulièrement bien tournés mais il y en a d'autres. Merci pour cette belle lecture. |
rosebud
9/5/2013
a aimé ce texte
Pas
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Trop pompier pour être émouvant.
Trop d'images tirées par les cheveux: "façon feuille de vigne" "les pentes du volcan" "apprentis sourciers" (même si le jeu de mot est marrant) "barrages hautains" Ca ne marche pas, ça ne prend pas. C'est tarabiscoté et laborieux à force de vouloir trop en dire. |
Ioledane
10/5/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Originale, cette forme en 4+2+1.
J’ai bien aimé ce voyage au fil des circonstances et des moments de vie, sous forme d’exhortation, s'achevant en final lyrique. L’ensemble est plutôt fluide et bien imagé. Mes vers préférés : « Inspire l'innocence aux apprentis sourciers. » « Rejoins le fleuve aisé loin des malentendus. » « Jaillis du plus profond sans faille ni regret, Chasse tous les remords vers l'oubli du secret. » Quelques remarques cependant : - « Nourris à profusion les océans sans fond / Que nul courant contraire en son sein ne confond » : ne serait-ce pas plutôt « en LEUR sein » ? - « Non, ne regrette pas, le temps s'est altéré, / D'inonder un pardon qui brûlait, chavirait. » : j’ai du mal avec la construction de cette phrase. Peut-être des tirets à place des virgules pour encadrer « le temps s’est altéré » ? Et « un pardon qui, brûlant, chavirait » ? - « Si les perles chantaient, rosée en frémirait » : l’absence de l’article me gêne - « Au lever du matin » : un peu prosaïque - « Abreuve aussi les champs de récolte abondante Et la foule affamée au joug des jours fourbus. Délave les couleurs de contrainte latente Et offre les cadeaux patiemment attendus. » : Ici j’aurais vu plutôt des pluriels sur les 1er et 3ème vers, cela serait possible en remplaçant « récolte » par « moissons ». Le 2ème vers est curieusement rattaché au premier par le verbe « abreuve » mais selon quelle logique, je ne la perçois pas. Le verbe « abreuve » ne me paraît pas tout à fait approprié, au demeurant, pour les récoltes : peut-être « recouvre » ? - mais là on n'est plus dans le champ lexical des larmes. |
brabant
21/5/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour WildPath,
Un aussi long texte pour une (aus)si petite chose. D'ailleurs vous le dites dans l'exergue ("petite") et le titre ("Petit") [un torrent peut-il être petit ? cf l'expression "un torrent de larmes"], cette larme donc qui réussit à être douce (eau du torrent) et salée à la fois (eau de la mer), petit exploit ! :) Que d'images ! que de tableaux ! ["Que d'eau ! Que d'eau !" Mac Mahon ?]... foisonnants, maximalistes, minimalistes, parfois contradictoires. Si l'on admet l'humour décalé du titre, ça passe ; sinon, ça casse. Lol L'auteur a une plume, il connaît sa syntaxe et son bréviaire. Je suis très syntaxique, pas très religieux. Aussi me situerai-je à mi-chemin pour évaluer. Lol J'ai préféré la dernière partie, à partir de : "Penche le révolté à l'abandon soudain ... ..." jusqu'à la fin bien évidemment. Merci pour cette lecture :) |
troupi
21/5/2013
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Commentaire modéré
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Robot
21/5/2013
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Que c'est beau! Les mots coulent comme une source et à haute voix, c'est sublime. Je n'aime pas mettre des notes et préfère exprimer mon sentiment.
"Nourris à profusion les océans sans fond Que nul courant contraire en son sein ne confond." Des mots qui parlent, plus qu'à lire, agréables à dire en suivant cette larme. |
Elmousikas
12/7/2013
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Du beau texte en perspective. L'ennuie devient chose inconnue et le plaisir fait seul surface malgré sa longueur. Il y a du punch, du mordant pour qui sait apprécier les mots bien composés "À naître dans la joie ou la douleur insigne" s'ensuit alors comme un appel " Que nul courant contraire en son sein ne confond." le reste laisse pantois et admiratif...
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