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Pouet
16/6/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Slt,
un poème que j'ai trouvé fort juste dans l'expression, la description, les sentiments. L'idée qu'ils nous voient comme dans un songe me semble fort bien rêvée. Le langage ne fait ni dans la grandiloquence, ni dans le maniérisme, ni dans la sensiblerie. Le poème ne singe pas. Le langage n'en fait pas trop. Le regard posé est intelligent, la lecture fort agréable. Pouet |
Anonyme
20/6/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un titre étrange que l'auteur nous expliquera, j'espère. Un poème surprenant, on ne sait rapidement plus qui le narrateur évoque. De l'humain ou du singe. Bien sûr, en relecture, je lis des vers concernant l'attitude des singes. Une belle leçon d'observation au zoo. J'ai aimé l'allitération remplaçant la rime entre "singe" et songe". J'ai vraiment apprécié le dernier quatrain. Et comme il apparait que même les arbres ressentent et s'expriment, que dire des animaux et en particulier des singes. (on regrette juste de devoir leur rendre visite au zoo). Merci du partage, Éclaircie |
Donaldo75
23/6/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Comment ne pas voir les références à Jacques Brel ? Il y a pas mal d'emprunts au chanteur belge et ça fait désordre, parce que dans le texte que je lis, il manque le souffle, la dynamique poétique. Sans vouloir comparer les amateurs qui participent au site, et donc l'auteur, au génial Jacques Brel, je crois que l'idée d'origine est bonne mais l'ensemble manque de colonne vertébrale, du fait de ses emprunts, de son peu d'originalité finalement, et d'un relief limité.
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papipoete
3/7/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Yannblev
Je regarde les singes me regarder ; ils semblent ne pas me voir, de " cet air bon qu'ont les braves gens " Ils ne doivent pas savoir la vie de leurs ancêtres, et croire qu'un singe ça ne naît qu'au zoo ? A moins qu'ils fassent semblant, " avec cet air-là et l'oeil indulgent " ? NB Nous savons que notre " cousin " est très intelligent ; peut-être même parle-t-il d'oeil à oeil avec ses parents ; ceux que leurs pépés et mémés transmirent sur la vie dans la forêt, avant que l'homme vint les kidnapper ? Une scène touchante que celle de ces prisonniers, que la geôle ne semble pas attrister ( n'ayant jamais connu les grands arbres ) Chaque strophe a son charme, dans ce poème aux faux airs de pantoum. Si les rimes sont fausses parfois, les décasyllabes ont tous la même pointure ! |