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| Anonyme
28/8/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je trouve le rythme pentasyllabique et décasyllabique parlés approprié à cette évocation du chat domestique qui se voudrait grand fauve de gouttière, l'impair dit l'inachèvement, la frustration. C'est marrant, le sujet me fait penser à la chanson de Nougaro « Ah tu verras tu verras », il y a la même sorte de rage feutrée, coussinets cachant les griffes.
Le chat est peut-être bien bipède, me dis-je. Probablement. |
| Anonyme
14/9/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bonjour
En tant que grande amoureuse des machines à ronronner je me suis jetée sur ce poème quand j'ai vu le titre. Notre ami félin est andromorphe et chasseur, le voilà qui feule à la lune sa frustration. La fin est aussi savoureuse que fataliste. Beaucoup aimé. Merci pour cette lecture gratuite et le temps que vous y avez passé. Anna en EL |
| Lebarde
4/9/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Beaucoup de fraîcheur et de belles images bien trouvées et souriantes même si la recherche plus ou moins réussie de jeux (bons) (de) mots est un peu forcée et artificielle.
Pas trop client habituellement pour ce genre de poésie mais aujourd’hui je suis de bonne humeur et sans m’enthousiasmer, j’adhère volontiers. Merci pour ce poème plaisant et guilleret En EL Lebarde |
| Cyrill
6/9/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je me sens tout à fait impliqué dans ce mal matoutinal, comme quoi la nuit les humains aussi sont gris et on peut appeler humain un chat ou lycée de Versailles, comme on disait à l’époque.
Un bon rythme pour cette espèce de complainte indécise qui remet en question l’identité spéciste. Un cri presque déchirant s’il n’y avait ce jeu subtil sur les mots qui rend le poème plaisant, et c’est juste ce qu’il faut en dosage drame versus légèreté. Miaou ! |
| Provencao
11/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Yannblev,
" Mais puisque toujours tu as mal au crâne À ce moment-là, Je me tourne et boule, M’endors et ronronne Comme un petit chat." J'ai bien aimé cette fin de l’insatisfaction, où la frustration presque amusante fait tomber le masque. Beau face-à-face avec le désir, l'appétence de ce "matou" et sa réelle lecture, dans l'incompréhension, l'errance:"J’ai mal à virer mon pyjama gris Avec des rayures." Au plaisir de vous lire Cordialement |
| Corto
11/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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On a vraiment l'impression de passer un moment de complicité avec ce chat.
Ce "mal de gouttières, de ciel enluné" est audacieux et parlant. Une vraie réussite. Avec "Ma griffe se tend Pour crocher l’étoile" le tableau devient vivant renforcé bientôt par "Je vibre en moustaches Un velours aux pattes". On le voit ce matou, on comprend ses attentes et ses émotions. La suite à l'avenant est fort bien tournée, et nul doute, ce chat mériterait de trouver sa chatte. Bravo pour ce tableau complice et visuel. |
| papipoete
11/9/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Yannblev
J'ai parfois un " mal de gouttières ", et voudrais bien que contre moi, tu viennes ronronner ! J'essaie d'influencer la lune, d'un coup de griffe, mais rien à faire ; ce soir, comme d'autres hélas, tu as mal à la tête... alors je me retourne, et m'endors en ronronnant. NB ce n'est que mon interprétation... mais mon scénario me convient ! Si c'est le même que celui de l'auteur, j'en suis ravi ! Un poème tout en images et double-sens, que nous pouvons lire en caressant notre matou. Très agréable moment, comme dans l'avant-dernière strophe, particulièrement ! |
| Raoul
11/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'aime beaucoup le rythme chaloupe du poème, il va très bien avec la démarche féline adoptée. Pleins de trouvailles élégantes nées de l'observation, on a l'impression d'être chat. La touche finale est joliment trouvée, elle apporte beaucoup à l'ensemble qui, sans celle-ci, aurait été un peu gratuit. Merci pour cette lecture. |
| Quistero
11/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime bien l'élégance du poème, vos mots qui avancent à pas feutrés. On pouvait se passer de la ponctuation, très humaine. Merci.
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| Miguel
11/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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De belles images et trouvailles, et des choses dites avec une élégance toute chevaleresque. Le assonances donnent une tournure poétique sans imposer trop de rigueur dans cette petite plainte distanciée et souriante à sa façon ; un bien charmant travail.
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| Myo
11/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Il me plait vraiment bien moi ce petit chat avec ses pattes de velours.
Il me donne envie de ronronner. Un poème original avec de belles trouvailles "crocher l'étoile" "Je vibre en moustaches"... Un gentil moment de lecture. |
| Anonyme
11/9/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Bon, comme votre incipit m'y invite : dites, c'est moi ou cette poésie faussement innocente semblant parler d'un félin tout mignon parle en fait d'une tentative de sodomie avortée par un refus de prendre un Advil ? :) C'est en tout cas fort bien écrit. Merci pour le partage. |
| Lotier
12/9/2022
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Ah, l'atout du matou ne fait pas tout, il faut que la féline opine itou…
Sinon la technique d'approche se discute… Quant au poème, je le trouve un peu disloqué, les images sont un peu trop stroboscopiques pour moi. |
| Anonyme
12/9/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour
J'adore ce texte libre tout en images humoristiques. Il est rempli de perles : le mal de gouttières, crocher l'étoile, pyjama gris, etc... etc... on en redemande et on en a jusqu'à cette fin jubilatoire du mal de crâne et du ronronnement. |
| Pouet
16/9/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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slt,
il y a une histoire de "se lover" ici, comme un amoureux cat. Une certaine précision dans la description touchant à un spectre plus universel ; du matou ou du manitou qui caresse la véracité dans le sens du poil? Je crois que j'aime bien les chats et l'amour, et ce poème. |
| Evelit
1/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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J'aime d'abord le thème du texte parce que tout ce qui est en lien avec les animaux me touche.
Il y a des morceaux magnifiques : "j'ai mal à virer mon pyjama gris", "mon oeil se fend à la verticale", "je vibre en moustaches un velours aux pattes". Comme dit Raoul, on a l'impression d'être chat ! Merci pour ce texte ! |
