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Anje
22/1/2019
a aimé ce texte
Pas
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Néo-classique
Quelque chose échappe à ma compréhension dans "expert patenté où rêve la folie". Et cela nuit à la compréhension du premier quatrain entier. Dans le second, les répétitions de "âme" (comme "l'oubli" dans le premier) et celles de "vive" me paraissent alourdir la lecture. Une lourdeur qui revient au tercet suivant par l'allitération de "eur". Le v12 compte-t-il 12 ou 11 syllabes ? Cette lecture ne m'a pas convaincu. Je reste sur l'impression d'inachevé, d'un tricot à retricoter pour quelques mailles emberlificotées. Anje en EL |
senglar
1/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bontemps YVONRICHEBOURG,
Ah il n'y a pas à dire votre sonnet a une couleur, c'est une danse macabre où l'oeil comme l'esprit doivent s'arrêter sur les différent éléments d'une farandole où vous vous débattez contre le Temps satan et aussi avec vous-même. Combat gothique plutôt rare sur la blanche page du Net... qui oblige à se circonvoler au cheminement sinueux de vos vers serpentins, bataille de verbes, sujet qui ruse, objet qui cabotine (Ben oui un peu quand même) et puis certains vocables triturent tandis que d'autres ahanent. Ne vous glorifiez pas trop pour finir, ce que vous croyez victoire n'est que miette. Le temps saura attendre ! Vous me rétorquerez avec raison que tout est bon à prendre. Senglar |
papipoete
1/2/2019
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour YvonRichebourg
Toi Satan, qui me fais signe d'approcher, ne compte pas que je me hâte d'accélérer le temps ; il déroule heures et jours bien trop vite, et si mon âme prend des bleus, elle devra faire avec ! Attends, je n'arrive pas ! je résiste ! NB si je pense avoir approché votre idée, je trouve que le chemin de vos vers est quelque peu tarabiscoté, et l'on progresse avec peine jusqu'au dénouement de votre poème ! ( à l'image du 1er vers du premier tercet ) l'ultime dodécasyllabe me laisse également dubitatif ! au 10e vers, " frappeur/ripe " ces sonorités heurtent l'ouïe ! |
Vincente
1/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai bien aimé l'approche singulière de votre regard sur le temps.
Pour contrecarrer sa linéarité cadencée, vous proposez un style tourmenté, assez distordu, comme une approche à contretemps qui laisse apparaître bien des dommages collatéraux. J'ai tout d'abord eu difficulté à entendre et à synchroniser ces deux angles de perception. Le cadre structuré du sonnet était chahuté par des formulations intrigantes "Âme morte ou bien vive afin qu'elle s'enflamme," ou "Si mon esprit frappeur ripe et pousse son heur, / Plus loin que le malheur ou le mal sans esprit.", très proches de constructions slamées. En final, après de nombreuses relectures, j'ai pu trouver intéressante cette façon de contrecarrer, "Mais je te résiste, hôte d'un temps qui file", l'avance qui à terme nous tuera sûrement tous. |
Anonyme
1/2/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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" Vade retro Satana " " Mais je te résiste, hôte d'un temps qui file ".
Satan se mêlerait-il au temps qui court pour nous triturer l'esprit ? " Pensez à vous panser, vous les plaies de mon âme " J'ai assez bien aimé ce parallèle et la façon de le traiter. Le premier quatrain a ma préférence |