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Gemini
13/9/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Si je comprends qu'un cobra puisse être plus effrayant qu'un simple serpent, j'ai plus de mal à m'imaginer me faire mordre par un cobra qu'un simple serpent. Je pense donc que serpent aurait suffi pour imager le venin. Je n'ai pas compris le rôle de "en" vers 2, je crois qu'on dit "pris dans un étau" et pas "entre", vers 3.
Pour le reste, sans parler de prosodie, j'ai trouvé l'écriture mal maitrisée (par exemple v10 il fallait dire : au plus je pense à toi et au plus tu prospères), le rythme haché, et le tout sans harmonie. Au vers final, je trouve puérile l'idée de vouloir vaincre sa peur en lui demandant de s'en aller. Au bout du compte, je pense que, comme l'amour, il vaut mieux écrire sur la peur après coup. A quoi sert la date ? |
izabouille
17/9/2018
a aimé ce texte
Bien
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Il y a quelques erreurs de construction, par exemple "qui se disperse et EN dissout votre intestin", le "en" n'est pas très utile.
"Cela vous brûle au plus profond de vos entrailles" : je mettrais "elle brûle les profondeurs de vos entrailles" "la peur, elle est drapée..." le "elle" n'est pas non plus utile. "Et fait de vous pour le prédateur..." il faudrait mettre des virgules, ce serait moins lourd. "Le supplice se fait vif..." je mettrais "devient vif" mais tout ça n'est que mon humble avis. Et puis, le narrateur s'adresse au lecteur et ensuite, le narrateur devient "Je", c'est un peu confus je trouve et ça m'a un peu gênée. Sinon le contenu est là, il y a de l'idée, la description de la peur telle que vous la faites est juste. Je trouve que cette poésie mériterait un re-travail. Bonne continuation |
papipoete
18/9/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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néo-classique
J'ai peur de la peur ; elle me paralyse tel un poison, et quand elle n'est pas là, je l'imagine tapie là ... NB un sentiment inné chez l'homme et l'animal, que l'on peut combattre, non sans avoir peur ! La 3e strophe est en possession du héros, et tel un camelot ne cesse de frapper à sa porte ! Mais de l'avoir combattue, à main et coeur nu, je sais que la " créature de l'enfer " peut se mettre à trembler ! Techniquement, je ne vois pas à part " apparat/appât " qui peut se discuter, de faute à votre texte . papipoète |
Castelmore
2/10/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Peu d'idées développées
Des images convenues ... Là peur au ventre , la peur de la peur, un peu niaises Des approximations ... Bref pas grand chose ... à part un très joli vers La bouche sèche, la salive devient sable alexandrin bancal ... Avec un sourire |
Anonyme
2/10/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai trouvé cette " Peur " morbide qui étreint le narrateur, exprimée par des images sans trop d'originalité. Certaines même assez surprenantes : " drapée du plus bel apparat " bel apparat pour définir la peur me semble peu adapté.
" fait de vous pour le prédateur un appât ". La peur est engendrée par des situations diverses ; peut-on parler de prédateurs ? Je n'ai pas été séduit par ce texte. A vous lire une prochaine fois. |
INGOA
3/10/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour, désolée de ne pas aimer ce texte à la ponctuation parfois hasardeuse et, surtout, aux expressions souvent disgracieuses (qui se disperse et en dissout votre intestin - cela vous brûle au plus profond de vos entrailles etc...). Quel est le sujet de pris (entre un étau) et serrés (par des tenailles) ? Entrailles mot féminin pluriel ?
Des incohérences : La Peur, elle est drapée du plus bel apparat, puis six lignes après Quelle laideur ! Le dernier vers, plein de convenance : Je t'en prie, cesse donc de frapper à ma porte est… déconcertant. Si ce texte a été écrit en juillet 2013, vous auriez pu (du) en améliorer l'écriture. |
Lulu
6/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Zaknafein,
J'ai bien aimé ce texte, notamment pour son mot essentiel exprimé à la fin… Mais j'ai parfois été déroutée par la ponctuation. Elle m'a empêchée de lire le texte de façon fluide… Cela dit, la peur s'exprime au travers du poème d'une manière simple et claire si l'on s'en tient aux mots, et j'ai beaucoup aimé les rimes avec leur musique douce et tranquille. C'est assez simple, et j'aime cette simplicité, ce tutoiement "Tu m'étreins, vile créature de l'enfer / Je songe à toi et davantage tu prospères"... La personnification me touche souvent en poésie. Je la trouve ici fort efficace. Juste un bémol, mais c'est tout personnel et donc très subjectif : je n'aime pas trop l'interpellation avec les "vous", comme "un cobra qui vous injecte son venin…" ou "votre intestin", ou encore "vous brûle", "vos entrailles"... Je n'aime pas trop cette figure qui alourdit beaucoup l'expression à mon sens… Au plaisir de vous relire à nouveau. Mes encouragements. |