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Anonyme
21/5/2012
a aimé ce texte
Pas ↑
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Je suis dubitatif devant ce texte qui s'il a la fleuve comme unité, manque quand même de liant d'un paragraphe à l'autre.
Certes l'eau est présente sous des formes variées, amie ou ennemie, drôle ou sombre, mais je ne ressens aucun lien fort. C'est aussi je pense en partie dû à l'inégale qualité entre les parties. La 1 est banale, bourrée d'évidences et de clichés, ce qui d'ailleurs coupe l'envie de rentrer dans le texte. La 2 est belle, rêveuse,. Les 3-4 et 5 sont correctes, sans reliefs vraiment, mais avec des jolies choses. Les deux dernières sont fades, banales sans reliefs. Bref, un ensemble trop inégal et sans assez d'unité pour moi. |
Anonyme
29/5/2012
a aimé ce texte
Pas
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Le titre nous amène à penser que le voyage se fera au long d’un fleuve et la première partie nous entraîne au large ce qui m’a déconcertée.
« On s’en va tous et c’est pareil » séparée des autres paragraphes : on attendrait une suite, « pareil » que quoi ? Et ce mot « pareil » est assez disgracieux, à mon goût; s’il peut évoquer l’appareillage d’un navire, on le retrouve souvent et ça me gêne un peu. Le mélange de la mer et du fleuve sont un peu disharmonieux à la lecture. Le parallèle entre ce fleuve de vie et l’écriture ainsi que les amours ne me semble pas très fluide et pourraient faire l’objet de deux, voire trois poèmes distincts. Les différents paragraphes sont des bribes de vie, des éclairages sur ce fleuve du temps. Cependant le lien entre tous manque un peu. Si le fond du poème repose sur de bonnes images, la forme est par moment un peu trop convenue. La recherche des allitérations me semble une belle idée et les répétitions évoquent le mouvement de l’eau. |
Anonyme
31/5/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai été vraiment séduit par ce texte qui m'a enchanté, embarqué sans répit. Barque des condamnés où tous les écueils sont possibles, le tout dans un flux et un reflux où la musique est toujours présente. Merci pour cette lecture.
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funambule
12/6/2012
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Une compil perso? Aphorismes mêlés à des choses plus visuelles? Forcément l'auteur est "lien" mais quelque chose de décousu tout de même demeure qui égare le lecteur entre les jolies choses à lire. Les "bribes" séparément m'attirent, me parlent... l'ensemble désamorce l'intérêt.
Quelques mots en passant et aucun jugement! Il est des lieux pour tout, certains pour les mélanges. |
brabant
18/6/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Zénobi,
Pourquoi avoir choisi de laisser les initiales M.B. et B.F. réduites à leur simple expression, mystérieuses et laissant le lecteur dans l'ignorance ? Initiales de (d'un) écrivain, adresse à une connaissance. Le lecteur se sent intrus face à cette confidentialité. Le thème, "Fluviales", renvoie aux cours d'eau, aux fleuves. Or le "1", Bombard (et son Zodiac) et le Radeau de la Méduse renvoient à la mer, ainsi que le rat, le navire, le mousse et le capitaine. Sans doute ne faut-il prendre le poème 1 que dans sa valeur symbolique qui est un thème qui vient chapeauter les autres poèmes qui ont cependant pour support l'eau douce... pas si douce en fait, dans la lignée du poème introducteur. Bombard avait-il connu de réels succès dans le dessalage de l'eau de mer ? Pourquoi si peu d'usines de désalinisation de nos jours ? Vaste problème... dirait ou ne dirait pas le grand Charles ! Poème 2 : l'eau et la peau ? Je ne vois pas. Mue et ressac ? 3 : j'aime le "nocher". 4 : image compliquée, le verbe 'fluer' n'est pas très beau. 5 : j'aime la "noise" et le "lisant", mais je trouve qu'on mélange les eaux courantes et les eaux stagnantes. Le message est brouillé, ce qui est bien entendu conforme à une noise fortement délictuelle. 6 : le limaçon avec sa bave ne me plaît pas trop ici. Bon, dans la lignée de la noise... Mais un limaçon c'est tout petit. 7 : c'est un peu le bilan de tout ce qui est dit avant. Un constat d'échec sur la vie, la mort, l'amour, la vanité des choses. Mais l'eau, surtout celle des fleuves, qui a emporté tout cela - n'y a-t-il pas lavage et essorage, au gré du flux et de reflux, et du courant, sur les galets et les cailloux ? - n'a-t-elle pas accompli son travail de polissage ? Pourquoi rester sur l'amertume ? J'avoue m'être quelque peu perdu au fil de ces "Fluviales" ? |