|
|
EtienneNorvins
13/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Séduit par cette évocation d'une confraternité cosmique, qui fait écho à des préoccupations personnelles...
J'aime la gradation initiale de 'l'Etre', de la simple existence à la palpitation émotionnelle, et leur racine commune ('illusion du jour') qui se fait universelle dans la deuxième strophe. La troisième est une apothéose, d'une ravissante simplicité - 'le ciel est dans la rue', magnifique ! Même si je nuancerais pour ma part le demi vers final : le jour n'étant qu'illusion, la nuit est toujours à son revers ? Merci pour cette lecture. [En EL] |
Anonyme
23/5/2022
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour,
À moins d'être un(e) pur(e) génie, sept vers, c'est beaucoup trop peu pour exprimer une image, une vision, un écho, surtout quand ce n'est pas bien agencé comme c'est le cas dans cet embryon de poème. Dès la première phrase, il n'y a pas de liaison avec la deuxième parce que sans verbe actif. Ensuite, c'est un poil mieux mais dans un lexique laxatif rabâché (étoile-soleil-lune-clair-obscur) Cependant, il y a une tentative avec "le jour est venu me me chercher". Mais hélas, ça finit en nawak, le ciel est dans la rue ? Je ne suis pas une grande passionnée des rimes, il n'y en a pas, mais quand même vous auriez pu y mettre un peu de musique... À mon sens, il va falloir retravailler et étoffer ce texte pour proposer quelque chose de plus abouti. Anna en EL |
hersen
19/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
La brièveté du poème va bien avec cette idée simple du jour qui se lève.
la deuxième strophe porte une idée très poétique, le combat du jour pour arriver jusque dans la rue. J'aime beaucoup cette échappée, le jour devenant une entité à part entière; Ce poème me conforte beaucoup dans ce que je constate. D'abord que le très court est très difficile, car il doit porter d'un flash l'étendue de l'idée que l'auteur propose. Et qu'il faut aussi peser chaque mot. L'idée finale "il n'y a plus de nuit" car l'écho des mondes transporte la lumière est saisissante. Merci de cette lecture très impactante. Un vrai bon libre ! |
IsaD
26/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Vraiment beau et tout ce que j'aime... l'essentiel dit en si peu.
Ça résonne, ça vibre, ça illumine "lumière sans lumière" Je n'irai pas plus loin et préfère lire et relire ces quelques mots qui vont de soi (à soi) Merci beaucoup |
Mintaka
26/4/2022
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour Zeste,
Ce poème me fait penser à un tableau impressionniste où la peinture s'exprime par petites touches. Il a son charme parce qu'on peut y glisser ses propres coups de pinceau et se peindre, en filigrane, son tableau à soi. Merci pour ce mini voyage. |
Pouet
26/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Salut,
j'ai beaucoup aimé cette force dans la concision, cette cosmogonie narrée en miniature ouvrant des univers dans les ruelles de notre esprit. Pour dire quelque chose, l'énumération du troisième vers (étoiles, soleil, lune, nuages) ne me séduit qu'à moitié et puis les répétitions de "ciel " et de "jour" aussi " me gênent un peu pour un texte court, en revanche le dernier vers est splendide. Un bon moment de lecture. |
Luz
26/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Zeste,
J'ai cru entendre dans le premier vers celui de Jean Ferrat (c'est beau la vie) : "Tout ce qui tremble et palpite, tout ce qui lutte et se bat". J'ai bien aimé "l'Echo des mondes", c'est court, mais zen et puissant, un haïku long... Merci. Luz |
Eskisse
26/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Zeste
Ma première impression à la lecture de ce poème est celle de la pureté... Peut-être créée par un rythme apaisant en 5 syllabes ou 6 dans le dernier vers. Peut-être créée par l'évocation du cosmos ou par ce jour qui vous rejoint. J'adore la seconde strophe et notamment ce vers : "d’un cocon clair-obscur, le jour est venu me chercher." C'est l'évocation d'une rencontre avec ce lever du jour que parfois nous négligeons tant nous n'y prêtons plus attention et c'est une invitation à la célébration de la vie. Quelques vers seulement, mais qui condensent beaucoup de sensibilité. |
pieralun
26/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Zeste
Un peu trop bref à mon goût, j’ai tout de même pris beaucoup de plaisir à cette lecture. Un texte aéré, lumineux, fluide, qui donne l’impression de venir chercher le lecteur en pleine galaxie pour le ramener ou l’amener sur notre bonne vielle Terre et l’extraire à la nuit. Une naissance ou une renaissance ? |
Cyrano
26/4/2022
a aimé ce texte
Pas
|
Cyrano vous répond
Ah! Non! C'est un peu court, jeune homme! On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme... Cette phrase déconstruite, sans verbes et faite d'appositions, manque pour moi de sens et surtout de musicalité |
papipoete
26/4/2022
a aimé ce texte
Pas
|
bonjour Zeste
Ecrire court est gageure, que certains relèvent avec brio. Mais, restant terre à terre j'essaie comme j'en ai l'habitude, de trouver un sens à ces lignes. Un peu comme devant un point bleu sur une toile blanche, où l'on entendra des " oh, des ah d'admiration ", muet devant votre oeuvre, je reste Zeste ! je lis de tout, du classique de préférence mais ose m'aventurer en terre plus inconnue ; et bien souvent je découvre en " libre ou prose " des pépites, à faire pâlir bien des alexandrins ! " Cet écho des mondes " ne résonne pas en moi ; en suis bien désolé ! |
StephTask
26/4/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Les textes sur les mondes, l’univers sont à la mode depuis quelques temps et je vais être sans doute un peu sévère aujourd’hui, surtout après avoir été subjugué par certains d’entre eux. J’ai eu du mal à entrer dans ce poème assez hermétique. Je ne sais pas à quoi m’accrocher au niveau du sens et je n’arrive pas à me laisser porter par ces mots écrits de manière erratique mais il y a une vraie signature.
Après avoir lu vos autres publications il y a effectivement une cohérence dans votre style que je trouve original. Il se situe entre le haiku long et l’impressionnisme, voire du pointillisme. Finalement, le pseudo Zeste vous caractérise bien avec ces petites touches qui sont loin d’être fades. Cependant d’autres textes ont clairement mieux fonctionné sur moi. En conclusion, je dirais pour l’Echo des mondes : quelques mots râpés jetés en pâture sur nos champs de synapses, le sens ne germe point, l’idée reste en friche, le chaos demeure, mais bizarrement j’ai hâte de vous relire et de retrouver le zeste « du mortel et de l’infini ». |
Myndie
26/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Zeste,
Un poème-pulsation qui, pour être sobre, n’en possède pas moins une belle puissance évocatrice. Ou comment, avec un minimum de mots, produire images et sensations. Je suis charmée par votre court poème, qui, à mille lieues de toute emphase lyrique, se révèle terriblement efficace. Car il est vrai que souvent, s’absorber dans l’observation de ce qui nous entoure nous entraine à explorer nos paysages intérieurs. Votre texte est à la fois un instantané qui fuse à l’instar de la lumière, et une miniature, un concentré de sensations comme peuvent l’être les haïkus (même s’il n’en est pas un). Et, comme il a été dit déjà : Le dernier vers est très beau. Myndie |
Atom
26/4/2022
a aimé ce texte
Bien
|
Oui j'aime bien ce questionnement poétique qui nous ramène un peu au fameux - Poussières d'étoiles - de H. Reeves
Ici l'homme n'est pas descendu de l'arbre mais du ciel. On remonte aux origines stellaires. Bon évidemment là c'est hyper concentré comme approche mais l'idée générale me plait. J'aime bien aussi cette notion d'échos des mondes et de lumière sur lumière qui pourraient renvoyer à mon sens à la notion de causalité... qui nous à permis pourquoi pas de naitre. D'où peut-être ce dernier vers qui peut paraitre un peu prosaïque mais qui montre à sa manière une arrivée dans la matérialité. La vie sur Terre. Je divague un peu mais c'est en tout cas ce que m'inspire ce poème. |
Myo
28/4/2022
a aimé ce texte
Un peu
|
Je ne sais si c'est mon interprétation mais ce texte manque à mes yeux de ... modestie.
Le jour, échappé aux étoiles, au soleil, à la lune est venu vous chercher... et bien, vous voilà le maître de l'univers. L'intention n'est sans doute pas celle que je perçois mais... ça m'empêche de vous suivre sur cette voie. De plus que serait le jour... s'il n'y avait la nuit. L'un pour moi ne peut se vivre pleinement sans cette part d'ombre qui nous habite tous. Désolée, j'attendrai vos explications. |
Vert-de-Gris
3/5/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Coucou Zeste !
En vous lisant, je vois tout l'intérêt de lire les autres. C'est en voyant ce que les gens font qu'on comprend mieux ce que l'on aime soi-même faire ;) J'ai bien aimé, je l'avoue ! Drôlement aimé même. J'aime la relative immodestie que l'on peut discerner, ça me rappelle le ton aphorismatique du vieux Nietzsche ;) J'aime les couleurs baudelairiennes de ces petites évocations ! J'aime bien justement quand la palette se construit de la sorte, à coup de hache tellement c'est évident. L'absence des rimes n'induit pas chez vous, il me semble, une absence de musique ; même si cette dernière est un peu brusque, un peu biblique. Je dirai pour finir que la concision a été un très bon choix selon moi ! Oui, ça fait immodeste, mais ça sauve la couleur et la musique du poème. Plus long ça aurait été mauvais je pense.. Voilà ! tout ça pour dire que votre Echo des mondes a été à mes oreilles l'écho des antiques magies, avec cette facilité presque paresseuse de la recherche poétique, la clarté des images vues en songes et le dédain de la forme devant la présence des parfums spirituels.. Au plaisir de vous lire de nouveau ;) |