Après la quatrième lecture, je dois me rendre à l'évidence (en ce qui me concerne) je ne comprends rien à ce texte.
Il y a très certainement quelque chose qui m'échappe...

bonjour zoe
il y a effectivement quelque chose qui m'échappe help please mercl leni
ps les commentaires m'amènent sur un voie qui est peut-être celle de la compréhension
ALORS ZOE HELP MERCI LENi

alors le help est arrivé LE vOICi

Je ne sais pas si vous avez compris, je ressens plus que je dis en général, pas facile de traduire :)
Donc le meurtrier est l'horizon qui tire un trait sur le soleil pour la 1ère vision et le temps dans la 2ème qui nous offre l'horizon de la mort.
J'ai beaucoup parlé là... Léni va dire : alors elle plus jamais je lui dis : help ! en plus pour ça... :)
Belle journée et merci
OUI merci à toi de m'avoir guidé quelques pas dans ton PALAIS des GLACES

les deux versions se tiennent mais je dois te dire néanmoins que ce n'est pas drôle

Merci d'avoir bien voulu ne pas me laisser seul dans ton palais de glaces



MON SALUT TRES CORDIAL LENI

Bonjour

Alors me voilà bien embêtée !!! Je trouve votre poème très intéressant mais j ai vraiment pas tout compris !!!!!!

J ai trouvé des vers très beaux comme :

Je peins le bruit du vent sur la joue d'une feuille,

Les becs se clouent aux voix des vêpres végétales


Il arrive parfois qu'en tombant la nuit pleure

En reprenant le titre ainsi que votre présentation je me suis posée de multiples questions.

Qui est ce meurtrier ? Le temps qui passe, le vent, la nature ?
Si vous pouvez m éclairer j en serais ravie.

Alors si le meurtrier était le Soleil pour moi tout s’éclaire… et en effet on n’est pas prêt de l’arrêter… et d’ailleurs si tout votre poème parlait du Soleil qui fait sa traversée quotidienne…

Alors il y a de belles évocations assez subtiles dans ce poème ainsi j’aime… Quoi ? Bon en relisant à l’affût de ce que j’y préfère… je me rends compte que j’aime tout… c’est comme un langage inhumain… un peu comme quand l’elfe (la brune) se met à parler dans Le Seigneur des Anneaux..le film, je fonds…

Je cite quand même pour le plaisir :

"De la sente à l’orée, sous l’alcôve, essaim d’ailes !
Il se peut que parfois m’échappe un nom d’oiseau…"

"Je peins le bruit du vent sur la joue d’une feuille,"

"Le regard bouche baie dans un gourmand de ciel."

"Mon pas vacille au cours du clapotis des heures,
Le chemin du retour s’effaçant dans mon dos,
Il m’arrive parfois de songer qu’il est leurre…"

et le dernier vers...touché...


Bravo ! Et si je me trompe bravo quand même ! (Entre oiseaux faut pas être trop chiens)

Bsr,

Je trouve ce poème un brin énigmatique, ce qui n'est pas pour me déplaire. Il est de plus fort bien écrit, de très jolis vers.

Je ne vais citer que "Je peins le bruit du vent sur la joue d'une feuille" mais il y en a d'autres, le vers final notamment.

Alors on doit désigner l'assassin c'est ça?

Le jour.

Bravo, un très bon poème.

Bien cordialement.

Edit: (Et si ce n'est pas le jour l'assassin, pas grave, la belle affaire...)
Perso ne pas forcément tout comprendre d'un texte ne m'empêche nullement de l'apprécier. Et l'inverse non plus, je peux tout comprendre d'un poème et le détester... :) Je ne vois donc pas en quoi, pour ce qui me concerne, l'absence de compréhension serait un motif de non-appréciation.. Et chercher un peu, cela me plaît. Bref.
Je vois par ailleurs en lisant les coms après coup que corbivan pense au soleil, on est pas loin donc question enquête... ;)

Malgré le ponant qui se trouve à l'ouest, si j'ai bien compris, je suis complètement à l'est. J'ai pourtant cherché le but de votre balade, mais j'ai rien trouvé.
C'est terrible parce que je vous sens en adéquation avec vous-même en écrivant cette poésie, mais le hic, c'est que pour moi qui aurait aimé rentré dans votre histoire, je me retrouve avec la porte close, hermétiquement fermée, et cherchant à deviner un code improbable pour comprendre ce que vous racontez.
Sinon je ne suis pas fana de vos jeux de mots ; le regard bouche baie ;
songer qu'il est leurre.
Désolé Zoe-Pivers, mais c'est juste que je n'ai pas été réceptif à votre écrit, et malgré un gros effort d'imagination, je n'y suis pas parvenu.

Troublé et intéressé par le côté énigmatique de ce texte. Une écriture maîtrisée en tout cas même si les métaphores ne m'ont pas révélé qui était ce meurtrier. Serait-ce la nuit qui tombe ?

Désolée Zoe-Pivers, mais je reste moi aussi un peu à côté de ce texte que je trouve trop hermétique. Il y a bien quelques images qui apparaissent avec leur côté poétique, comme dans la première strophe, par exemple, ou le dernier vers que je trouve très beau. Mais dans l'ensemble, je ne parviens pas à ressentir ou à visualiser vraiment ce que vous avez voulu signifier.

Comme Personne, je n'ai pas du tout aimé le jeu de mot "bouche baie"... Je trouve que c'est trop gros, trop lourd et que cela n'apporte rien au texte.

J'ai beau relire l'ensemble, je reste assez perplexe. Je trouve qu'il y a de jolis vers, mais ils sont trop isolés, comme perdu dans votre poème. Je pense à "Il se peut que parfois m'échappe un nom d'oiseau..." ou encore le suivant : "Je peins le bruit du vent sur la joue d'une feuille".

Enfin, je ne vois pas non plus ce que vous avez voulu dire par "Meurtre au ponant". Le titre ne m'éclaire pas du tout sur le poème ; pas plus que vos mots de présentation.

Une prochaine fois, sûrement...

Bonsoir Zoé,

Je vote pour le "jour".
Vous vous êtes bien amusée à nous promener dans cette énigme pleine et entière, avec de très belles évocations tournées de jolies façons. Voici une lecture bien plaisante.

Je me demande toutefois jusqu'à quel point peut-on disperser son lecteur sans l'énerver quelque peu ? Je vous dis cela parce cela m'a déjà joué quelques mauvais tour dans mon court passé d'écrivain. En fait, s'il ne trouve vraiment pas et qu'il pense qu'il aurait dû comprendre, comme dans les devinettes de mots croisés, dans certains rébus (votre incipit par exemple), ou dans votre poème tout simplement où il y avait tout de même quelques indices...! Il va s'imaginer un peu bêbête et ce n'est pas très agréable, vous en conviendrez.
Pour votre texte, je dois reconnaître que je me suis assez bien amusé et il est très beau !

Au plaisir de vous lire.

Bonsoir Zoe-Pivers,

Ouest, océan, occident, ou vent d'ouest ?

Je trouve que dans l'ensemble, votre poème est assez bien fait !
J'ai juste un bémol sur les jeux sur les mots qui me semblent par contre assez moyens : bouche baie, il est leurre... Pareillement pour le mot "choses" qui me semble dénoter dans un simple souci de poétique. La répétition de sombre(s) et voi(e)x aussi me dérange. Même si ça tombe bien dans les sonorités et dans le fond du propos, je n'en suis pas moins déçue de ces touches qui me semblent faciles par rapport aux jolies images qui ponctuent l'ensemble.

J'aime particulièrement la natte d'éclats sombres, l'essaim d'ailes, je peins le bruit du vent sur la joue d'une feuille, le gourmand de ciel, et le vers de clôture qui est juste parfait.

Quant à la polémique de l'hermétisme, j'y suis particulièrement sensible (je suis bien souvent moi-même taxée d'hermétisme), et je pense qu'il n'est pas nécessaire de tout comprendre pour apprécier (y a qu'à regarder tous les gens qui dansent sur des chansons qu'ils ne comprennent pas à moitié). Je suis de ceux qui pensent que l'art se ressent, qu'il n'a d'expression que celle qu'on accepte d'entendre.

Je vous remercie pour ma lecture, que j'ai trouvé fort agréable.

Bonne continuation !

J'aime énormément la façon dont vous écrivez.

Ai-je compris ? Mais ça n'a aucune importance, c'est beau, c'est beau.

Mais si, j'ai compris, le jour meurt,
" De la sente à l'orée, sous l'alcôve, essaims d'ailes !
Il se peut que parfois m'échappe un nom d'oiseau "

Et tout est dit de si belle façon, de la façon, en fait, la plus "naturelle" qui soit.

Je suis très sensible à cet hymne à la nature, à ce moment particulier de fin du jour.

Et la baie allant avec gourmand.

Vous m'avez transportée par vos mots.

Merci pour cette lecture.

Bonjour Zoe-Pivers

Autant je suis restée au large pour mieux apprécier ce poème, autant j'ai admiré vos images mouvantes et émouvantes, figées dans la mobilité d'un regard, la pleine conscience d'une réalité riche d'abstraction pour le commun des mortels.

Mais l'horizon me parlait, votre horizon, celui dont chacun s'approche un peu chaque jour, celui où sont partis ceux qui s'y sont noyés, un peu mon horizon, mon ponant. Le retour impossible...comment oublier ces mots, vos mots, comment ne pas se les approprier ?

Tous les vers me touchent, je ne saurais en citer un plus qu'un autre, il me faudrait citer tout le poème...mais, oh ! le vers final !

Je lis et relis depuis hier et je me sens si bien dans ces vers ô combien profonds de sens, et plus encore après un sympathique échange.
La poésie telle que je l'aime : riche se sens, d'images, de sons et...si poétique.

Merci d'avoir su m'émouvoir avec tant de talent.
Au plaisir de vous relire,
Cristale

bonjour Zoe ,
J'avais lu en aveugle votre texte, et ne l'avais pas commenté, car sa trame me déroutait .
Etant publié, je me hasarde sur la sente jusqu'à l"orée, et me perds à nouveau dans les méandres de " votre meurtre au ponant " ; je cherche en vain la clé qui déverrouillerait l'énigme posée à ma compréhension, mais qu'elle doit être bien cachée !
Cela n'empêche pas mes yeux de lire de beaux vers tels,
" je peins le bruit du vent sur la joue d'une feuille "
et
" le chemin du retour s'effaçant dans mon dos " ;
C'est dommage pour moi de ne pouvoir élucider cette énigme, devoir rester circonspect .
Au plaisir de vous lire, plus facilement !

Moi qui suis d'ordinaire rétif à l'hermétisme, il arrive que certains textes "obscurs" arrivent à m'emporter par leur fluidité. Il y a une grande légèreté dans ce texte grâce aux sonorités choisies mais aussi grâce la construction de la phrase qui est limpide. Ce genre d'élégance devient un atout de premier ordre pour un texte poétique car il lui permet de "couler" d'autant plus facilement.

Quelques explications ici :

http://www.oniris.be/forum/finalement-la-these-du-crime-tombe-a-l-eau-nous-avons-retrouve-le-corps-en-vie-au-petit-matin-t22203s0.html

Merci