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MissNeko
18/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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J'adore ! J aime tout le thème, la plume, la prosodie.
Coup de cœur pour : Je n'ai plus rien de chair pas même le squelette D'un sentiment de vie en vue à l'horizon. L humour de l incipit me plait beaucoup également Merci pour ce partage |
Anonyme
1/9/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Pas mal mais quelques soucis de sens et de mélodie . Surtout ce chapelier à la place de chapelet .
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Alphekka
1/9/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Alors je ne suis pas une grande amatrice de poésie, mais celle ci m'intrigue beaucoup.
J'aime bien la sonorité des mots et certaines constructions comme "les bras de mer ballants". En revanche, certaines rimes me paraissent forcées comme "éparse et comparse". Et le dernier quatrain dénote un peu sur le reste : il change de ton. Je ne suis pas sure de saisir le sens de ce poème. Je n'ai pas fait d'analyse de texte de ce genre depuis le lycée... Aussi je me contente de l'enchaînement des mots qui me plait assez. |
Cox
1/9/2016
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Je ne note pas parce que, je l'avoue en toute candeur, j'ai assez mal compris le poème. Je n'en blâme pas l'auteur : il m'arrive parfois de bloquer sur des choses auxquels d'autres trouveront d'eux-mêmes un sens convaincant.
Je ressens l'évocation d'une déprime généralisée, d'un désespoir, d'une perte d'envie portée par quelques belles images. La fin semble conclure malgré tout sur une espèce d'espoir hors d'haleine que je trouve assez élégant. Mais beaucoup de tournures restent pour moi une énigme et cela me bloque; je suis résolument incapable d'apprécier un texte que je ne comprends que par parcelles. Quelques morceaux me laissent toutefois supposer que c'est un texte que j'aurais pu grandement apprécier s'il m'avait semblé moins hermétique. Désolé pour cet avis sans doute insatisfaisant ^^ |
Anonyme
1/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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Malgré certaines images dont le sens m'échappe, j'ai cru déceler ici la recherche d'un renouveau après une " Dérive sans escale " (?)
J'aime beaucoup le dernier quatrain. |
Vincente
1/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir Zoé,
Le titre m'a attiré, l'exergue inquiété. J'ai bien fait de ne pas passer mon chemin après ces deux lignes en italiques car la suite est riche et la lecture très agréable. Il faut être attentif pour vous lire, votre style est joueur, un peu de laisser aller et l'on passe à côté du meilleur. Avec ces sens (vos sens) qui s'enchevêtrent entre formes et fonds dans "Joindre les maints chemins d'intimes ultime errance" à coup d'homophonie du "maints" et "main" et de l'assonance ultime/intime des "chemins d'errance". Ou "... pas de bon..." dans son opposition de sens en miroir, mais pour dire "D'un pas de bon augure... Et encore "Je n'ai plus rien de chair (cher) pas même le squelette". Vous pourriez nous perdre et perdre votre fil dans ces jeux de mots, mais non vous tenez bien la corde qui nous assure jusqu'à votre fin, qui ne sera pas fatale puisqu'elle nous amène à votre mue suivante. Ne pas oublier d'apprécier "L'abîme oeuvre au relent d'un amer bain de foule," ! Le bain de foule comme amer remarquable de l'abîme, quand on sait le nombre de navires qui se sont abîmés sur de faux amers, foulés dans le bain, et quelle amertume ce relent...une vrai "océan" de trouvailles dans votre "dérive" là ! Un sujet sérieux, disons grave, les vies de l'Âme, qui est traité avec humour sans désinvolture, dans une structure néo-classique qui se lit (lie) toute seule, voilà un bel ouvrage. Au plaisir de vous lire. |
leni
2/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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salut José -PIVERS
excusez mon retard j'avais lu plusieurs fois votre poème avant de le commenter C'est un texte qui pour moi est un peu difficile Le dernier quatrain fort joli du reste semble donner une clef possible de la démarche de l'auteur À l'Homme que je suis remontant les balises, – Où vas-tu ? je mandai – Juste voir d'où je viens, Et toi que fais-tu là ? – Je crois que j'en reviens ; – Et si pour une vie on posait nos valises ? " Nous nous sommes tous un jour attardé devant cette question Et Pierre Dac à qui on demandait qui êtes vous d'où venez-vous où allez-vos a répondu JE SUIS MOI JE VIENS DE CHEZ MOI ET JE RENTRE CHEZ MOI J'espère que vous accepterez un peu d'humour MON SALUT très cordial LENI |
Alcirion
2/9/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Toutes proportions gardées, ce texte m'a fait penser à la Jeune Parque, dans la façon de manier l'ésotérisme, mais aussi pour le niveau et la forme de la langue, une inspiration qui fait penser à la fin du dix-neuvième siècle et au début de la contemporaine rimée.
Dans ce style là, ça ne fonctionne pour moi que quand la phrase, le rythme et les sonorités sont capables de me distraire du sens et ici ça fonctionne, même si tout n'est pas "clairement limpide" (pour la forme bien sûr). Au final, la sensation d'une inspiration certaine. |
Anonyme
3/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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La forme est je pense contraignante pour exprimer ce genre de sentiment. Du coup une impression étrange de retenue mêlée de lâcher-prise.
J'ai dans l'ensemble apprécié. |
Gemini
3/9/2016
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J'aime les auteurs qui savent ainsi manier la plume.
On les retrouve souvent dans le lot de ceux qui savent manier la langue. Il y a dans votre façon de tordre les sens cette recherche des grands rhétoriqueurs du passé à compliquer l'affaire avec la plus grande finesse possible. Bien sûr, il faut suivre, et tout un chacun n'y trouvera pas la même lecture. Mais on doit à tout auteur respecter sa fantaisie. Cet écrit n'en manque pas, comme dit plus haut. Mis à part ce "bienséant / océan " (et le "viens/reviens" difficile à éviter), j'ai trouvé la prosodie juste, ce qui ne gâche rien. Juste une remarque sur la signification de "mander" qui ne veut pas dire demander, mais plutôt faire venir. |
Cristale
3/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Zoé,
Lire votre poésie, c'est comme partir à l'aventure. Le chemin s'en va tranquille mais, si le promeneur quitte des yeux un tant soit peu l'horizon, trésors et surprises surgissent sous les lignes, entre les mots, à chaque tournant, réveillant quelques sens endormis. J'ai aimé vos jolis jeux avec les mots, avec les sons : timbre d'ombre maints chemins Que périsse mon corps, mon amorphe raison divin délit de vie en vue de bras de mer ballants bousculés au relent d'un amer le pouls ténu s’épanche Je ne recopie pas tout et nul doute que je ferai d'autres découvertes dans votre palette de métaphores, d’assonances et d'allitérations. Un poème profond comme une blessure cachée sous un joli tissu qui l'empêcherait de cicatriser. Par un effet miroir, celui, celle qui n'a pas les mots pour exprimer son mal peut s'approprier vos images et les faire siennes :) Le vers final est poignant : "– Et si pour une vie on posait nos valises ? " Bravo ! Cristale |
Anonyme
3/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Zoé,
Très joli poème sur la petite mort, du moins c'est à cela que ça me fait penser, et à la fin la renaissance, toute en douceur, pour une sérénité trouvée. Avant cela évidemment la vie qui secoue, bringuebalé dans les vagues, et puis l'échouage libérateur. J'ai bien aimé les deux premières strophes aussi, qui sont une entrée en la matière en quelque sorte, j'imagine de la méditation, où enfin dans la troisième strophe, vous vous détachez de votre corps. Si c'est cela et que vous en êtes à ce stade, alors je vous envie énormément. En tous cas j'ai passé un bon moment à l'imaginer, merci pour ce doux moment métaphysique, où ce voyage m'aura donné des ailes. |
FABIO
5/9/2016
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C'est joli , bien construit, bien écrit.....surement.
il en faut pour tous les gouts , ceci n'est pas mon style. j'ai lu 2 fois et je doute toujours du sens. Certains poèmes mérite une étude approfondie. |