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Lebarde
24/10/2021
a aimé ce texte
Un peu
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« tiens cette histoire mérite juste un sourire », ce dernier vers résume bien la situation, mais comme aujourd’hui je ne suis pas vraiment bon public, je ne ferai que la moitié d’un sourire voire même un quart de sourire.
Le propos m’est apparu trop simpliste et un peu pauvre en vocabulaire avec notamment ces répétitions: moitié, sourire ( 3 fois) et une syntaxe parfois pesante. Par ailleurs ce poème présente trop de fautes de prosodie inacceptables en neo-classique: - pas de majuscule en tête de vers - absence de ponctuation à l’exception de deux virgules? - des vers bancals ici ou là, - des césures mal placées, - de nombreux e non élidés, - des hiatus. Dommage, dommage, en fait il suffirait de retravailler sur ces points…. En EL Lebarde |
Cyrill
26/10/2021
a aimé ce texte
Un peu
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C’est dommage que vous vous soyez imposé les contraintes du concours dans la mesure où celui-ci est clos. Je pense que vous auriez pu vous éloigner de cet aspect exercice pour rendre ce texte moins bancal sur le plan de la métrique et vous y auriez gagné en liberté de ton.
La composition me semble parfois maladroite, on peut penser à du remplissage comme ici : « que dire que penser » « ou pourquoi pas » Les rimes me paraissent parfois forcées, vous obligeant à des formulations peu naturelles : « le voila fixé à ma lèvre à présent » => plus naturel eût été : le voilà à présent fixé à ma lèvre. « un aspect respirant la gaîté » => c’est lourd. Les trois derniers vers sont mieux balancés, et m’arrachent un quart de sourire. |
Donaldo75
26/10/2021
a aimé ce texte
Bien
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J’ai trouvé à ce poème une réelle tonalité qui n’aurait pas détonné dans le concours sur le rire qui avait lieu sur le site il y a quelques mois. L’exergue cite Raymond Devos et j’en retrouve le style, comme une inspiration avec son non-sens et sa verve. Le format néo-classique fonctionne bien car il donne un côté désuet au propos, à l’instar des tenues de l’humoriste quand il se montrait sur scène.
Un bon moment. |
Marite
1/11/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce n'est pas seulement des yeux qu'il faut aborder ce poème je pense, mais, en essayant de le lire à voix haute, avec les pauses, le ton adéquat et des auditeurs ou mieux encore, m'imaginant sur scène avec des spectateurs, il m'a séduite ... je crois que Raymond Devos n'était pas très loin et a tendu l'oreille à ma lecture avec un discret sourire ...
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papipoete
1/11/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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bonjour zoug
" approchez mesdames et messieurs ! venez m'acheter un sourire ! soldé de moitié aujourd'hui ; si non satisfait, remboursé ! " Ah, la bonne affaire que j'ai faite là ! NB un article pas facile à vendre, même à brader... Il a été pris sur quelle tête ? un gai luron ou un râleur ? Ce semble être le second cas pour ce client insatisfait, que même un remboursement ne calmera pas... |
Vincendix
1/11/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Zoug,
Mise à part une présentation un peu négligée, sans majuscule en tête de vers, une ponctuation avaricieuse, le traitement de ce sujet est plaisant. Je ne sais pas si le bureau des réclamations du marchand de rires tiendra compte de vos doléances et acceptera un échange ? Vincent |
Virou64
1/11/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un poème assez bien construit malgré quelques imperfections nuisant au rythme et, par conséquent, au confort et au plaisir de lecture: césures , hiatus, e non élidés, principalement, même si nous sommes en "contemporain".
L'absence de majuscules m'a aussi gêné, visuellement cette fois. Voilà pour la forme qui mériterait d'être retravaillée à mon sens... Mais tout cela reste néanmoins accessoire car le thème bien traité, m'a séduit par son originalité et son inventivité, je dirai même sa pétillance. Merci pour ce bon moment de lecture. |
Vincente
2/11/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aime beaucoup la première strophe et l'incidence retenue pour aborder l'angle sourieur par un bout insolite, vraiment original. Imaginer le "rire" comme un produit indépendant, sorte de masque mais offrant les multiples géométries, du sourire taquin au fou-rire mort de rire, mais tout cela tout-de-même accordé, associé à une personnalité spécifique de l'acheteur qui s'en pare, s'en équipe. Cette intention a quelque chose de génial dans la potentialité de ses déclinaisons ; j'aime beaucoup cela.
Dans l'expression ici retenue, le ton badin est très opportun. Mais à part dans cette première strophe très "réussie", je le trouve un peu ampoulé, forcé, et du coup hors siècle, et moins nous concernant, il y transparaît le pendant exercice de style, genre "je vais faire un cas de figure…". C'est dommage ! Car les propositions, elles, fonctionnent bien, originales et d'une certaine manière "cohérentes". Mais je ne bouderais pas le plaisir certain que malgré tout j'ai éprouvé à sa lecture. |